La véridique histoire d'Ah Q (Ah Q Zhengzhuan, version Française)
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- Nombre de pages110
- PrésentationBroché
- Poids0.094 kg
- Dimensions11,1 cm × 17,8 cm × 0,7 cm
- ISBN979-10-92475-28-9
- EAN9791092475289
- Date de parution20/05/2015
- CollectionENA.DIVERS
- ÉditeurNON AGIR
- TraducteurAlexis Brossollet
Résumé
Par l'un des plus grands auteurs chinois du siècle passé, une nouvelle-dé de l'histoire de la littérature chinoise. Nouvelle traduction. Ah Q, paysan sans éducation ni occupation fixe, Mène une existence précaire, hébergé dans le temple des dieux du village. C'est un trublion méprisé de tous, et traité de tous les noms, capable au besoin de se traiter lui-même d'insecte pour se sortir d'une mauvaise passe, mais qui cherche noise à tout le monde à tout bout de champ, et se fait rosser en conséquence.
Ce pauvre hère, méprisable et pitoyable, est pour Lu Xun l'occasion d'une satire d'une ironie cinglante : , une satire double. Ainsi Ah Q est, dans l'esprit de l'auteur, emblématique de la décadence du peuple chinois et de sa mentalité, à l'orée du XXe siècle : prompt à s'attaquer au plus faible, il est veule devant les plus forts et des riches dont il accepte les coups sans broncher. L'autre objet de la satire est la Révolution de 1911 elle-même, dont les conséquences à terme avaient été une déception pour Lu Xun, et qu'il considérait comme un échec.
Ce pauvre hère, méprisable et pitoyable, est pour Lu Xun l'occasion d'une satire d'une ironie cinglante : , une satire double. Ainsi Ah Q est, dans l'esprit de l'auteur, emblématique de la décadence du peuple chinois et de sa mentalité, à l'orée du XXe siècle : prompt à s'attaquer au plus faible, il est veule devant les plus forts et des riches dont il accepte les coups sans broncher. L'autre objet de la satire est la Révolution de 1911 elle-même, dont les conséquences à terme avaient été une déception pour Lu Xun, et qu'il considérait comme un échec.
Par l'un des plus grands auteurs chinois du siècle passé, une nouvelle-dé de l'histoire de la littérature chinoise. Nouvelle traduction. Ah Q, paysan sans éducation ni occupation fixe, Mène une existence précaire, hébergé dans le temple des dieux du village. C'est un trublion méprisé de tous, et traité de tous les noms, capable au besoin de se traiter lui-même d'insecte pour se sortir d'une mauvaise passe, mais qui cherche noise à tout le monde à tout bout de champ, et se fait rosser en conséquence.
Ce pauvre hère, méprisable et pitoyable, est pour Lu Xun l'occasion d'une satire d'une ironie cinglante : , une satire double. Ainsi Ah Q est, dans l'esprit de l'auteur, emblématique de la décadence du peuple chinois et de sa mentalité, à l'orée du XXe siècle : prompt à s'attaquer au plus faible, il est veule devant les plus forts et des riches dont il accepte les coups sans broncher. L'autre objet de la satire est la Révolution de 1911 elle-même, dont les conséquences à terme avaient été une déception pour Lu Xun, et qu'il considérait comme un échec.
Ce pauvre hère, méprisable et pitoyable, est pour Lu Xun l'occasion d'une satire d'une ironie cinglante : , une satire double. Ainsi Ah Q est, dans l'esprit de l'auteur, emblématique de la décadence du peuple chinois et de sa mentalité, à l'orée du XXe siècle : prompt à s'attaquer au plus faible, il est veule devant les plus forts et des riches dont il accepte les coups sans broncher. L'autre objet de la satire est la Révolution de 1911 elle-même, dont les conséquences à terme avaient été une déception pour Lu Xun, et qu'il considérait comme un échec.