La Suisse peut-elle se défendre seule ?. Défense autonome, coopération militaire - Des guerres de Bourgogne à nos jours
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- Nombre de pages160
- PrésentationBroché
- Poids0.33 kg
- Dimensions15,0 cm × 22,0 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-88295-609-5
- EAN9782882956095
- Date de parution04/05/2011
- ÉditeurCabédita
- PréfacierJean Abt
Résumé
Un petit pays, qui manque de matières premières et importe une grande partie de ses biens de consommation, et ne supporterait donc pas un blocus étanche, peut-il se défendre seul contre un envahisseur puissant et déterminé? Par ailleurs, la neutralité est-elle compatible avec des conversations d'états-majors, officieuses ou officielles, visant à une collaboration militaire avec un Etat tiers, dans l'hypothèse d'une invasion de la Suisse ? Cette question récurrente depuis les guerres de Bourgogne sous-tend la crise que l'armée suisse connaît aujourd'hui.
Les réponses de l'auteur se veulent celles que pourrait donner un homme d'Etat ou encore un haut responsable militaire, et non celles d'experts ou de juristes préoccupés de couper les cheveux en seize ou par leur carrière.
Les réponses de l'auteur se veulent celles que pourrait donner un homme d'Etat ou encore un haut responsable militaire, et non celles d'experts ou de juristes préoccupés de couper les cheveux en seize ou par leur carrière.
Un petit pays, qui manque de matières premières et importe une grande partie de ses biens de consommation, et ne supporterait donc pas un blocus étanche, peut-il se défendre seul contre un envahisseur puissant et déterminé? Par ailleurs, la neutralité est-elle compatible avec des conversations d'états-majors, officieuses ou officielles, visant à une collaboration militaire avec un Etat tiers, dans l'hypothèse d'une invasion de la Suisse ? Cette question récurrente depuis les guerres de Bourgogne sous-tend la crise que l'armée suisse connaît aujourd'hui.
Les réponses de l'auteur se veulent celles que pourrait donner un homme d'Etat ou encore un haut responsable militaire, et non celles d'experts ou de juristes préoccupés de couper les cheveux en seize ou par leur carrière.
Les réponses de l'auteur se veulent celles que pourrait donner un homme d'Etat ou encore un haut responsable militaire, et non celles d'experts ou de juristes préoccupés de couper les cheveux en seize ou par leur carrière.