La Savoie s'ancre à la République. 1870-1871

Par : Maurice Messiez

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  • Nombre de pages263
  • PrésentationBroché
  • Poids0.47 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,8 cm
  • ISBN2-85092-005-3
  • EAN9782850920059
  • Date de parution01/07/2006
  • CollectionL'histoire en Savoie
  • ÉditeurSociété savoisienne d'histoire

Résumé

En 1870, la Savoie n'était française que depuis dix années, et la défaite brutale de l'Empire ouvrait une période d'inquiétude. Dans le cadre du gouvernement de Défense nationale de Léon Gambetta, l'opinion publique a été mobilisée, des troupes ont été levées dans chaque département. Les " mobiles " savoyards ont combattu courageusement. Le sacrifice de ceux que commandait Albert Costa de Beauregard à Bethoncourt pour débloquer Belfort, objectif de l'armée de l'Est, continue d'ailleurs à être, sur place, commémoré.
Pendant ce temps, les préfets nouvellement nommés, Jules Philippe à Annecy, Eugène Guiter à Chambéry, contribuaient à faire triompher les idéaux d'une république modérée. La paix signée, aux premières élections le triomphe des républicains signifiait que désormais la Savoie s'ancrait à la République. Maurice Messiez nous fait vivre ces mois d'incertitudes et de passions où l'Empire devenu libéral s'écroule, laissant à Bonneville, Annecy, Chambéry les élites se positionner, rivaliser, annonçant la mise en place de la Troisième République.
En 1870, la Savoie n'était française que depuis dix années, et la défaite brutale de l'Empire ouvrait une période d'inquiétude. Dans le cadre du gouvernement de Défense nationale de Léon Gambetta, l'opinion publique a été mobilisée, des troupes ont été levées dans chaque département. Les " mobiles " savoyards ont combattu courageusement. Le sacrifice de ceux que commandait Albert Costa de Beauregard à Bethoncourt pour débloquer Belfort, objectif de l'armée de l'Est, continue d'ailleurs à être, sur place, commémoré.
Pendant ce temps, les préfets nouvellement nommés, Jules Philippe à Annecy, Eugène Guiter à Chambéry, contribuaient à faire triompher les idéaux d'une république modérée. La paix signée, aux premières élections le triomphe des républicains signifiait que désormais la Savoie s'ancrait à la République. Maurice Messiez nous fait vivre ces mois d'incertitudes et de passions où l'Empire devenu libéral s'écroule, laissant à Bonneville, Annecy, Chambéry les élites se positionner, rivaliser, annonçant la mise en place de la Troisième République.