La Rue De La Boue Jaune
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- Nombre de pages187
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.24 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 1,5 cm
- ISBN2-910884-31-7
- EAN9782910884314
- Date de parution12/04/2001
- ÉditeurBleu de Chine
Résumé
" Can Xue, de son vrai nom Deng Xiaohua, est née à Changsha, dans la province du Hunan, en 1953. Fille d'un journaliste, éditeur du Quotidien du Nouveau Hunan, étiqueté " droitier " en 1957, elle verra son enfance et son adolescence écrasées par la Révolution culturelle. Cette expérience, dont on peut dire avec pudeur qu'elle fut destructrice, marquera à jamais Can Xue et son écriture romanesque. Ses exégètes étrangers voient en elle " une anomalie dans la littérature chinoise ", " la moins traditionnelle, la plus moderniste des écrivains chinoises contemporaines ", une " inclassable, à cause de la particularité de son écriture quasi surréaliste ", voient dans sa création " une représentation symbolique du capitalisme naissant, une allégorie freudienne d'une sexualité refoulée, une exploration de l'identité féminine... ". C'est assez dire que la richesse des textes de Can Xue autorise une large pluralité de lectures : ainsi le lecteur pourra-t-il voir dans la longue nouvelle ici traduite, soit une allégorie politique, soit un conte fantastique, soit un assemblage de proses poétiques, soit un tissu serré d'allusions littéraires (tant chinoises qu'occidentales), soit, enfin, une mise en scène des rapports humains dans la Chine d'après la Révolution culturelle, rapports tantôt tragiques, tantôt grotesques, jamais harmonieux... Ou tout cela à la fois. " Françoise Naour, Université Charles-de-Gaulle/Lille 3
" Can Xue, de son vrai nom Deng Xiaohua, est née à Changsha, dans la province du Hunan, en 1953. Fille d'un journaliste, éditeur du Quotidien du Nouveau Hunan, étiqueté " droitier " en 1957, elle verra son enfance et son adolescence écrasées par la Révolution culturelle. Cette expérience, dont on peut dire avec pudeur qu'elle fut destructrice, marquera à jamais Can Xue et son écriture romanesque. Ses exégètes étrangers voient en elle " une anomalie dans la littérature chinoise ", " la moins traditionnelle, la plus moderniste des écrivains chinoises contemporaines ", une " inclassable, à cause de la particularité de son écriture quasi surréaliste ", voient dans sa création " une représentation symbolique du capitalisme naissant, une allégorie freudienne d'une sexualité refoulée, une exploration de l'identité féminine... ". C'est assez dire que la richesse des textes de Can Xue autorise une large pluralité de lectures : ainsi le lecteur pourra-t-il voir dans la longue nouvelle ici traduite, soit une allégorie politique, soit un conte fantastique, soit un assemblage de proses poétiques, soit un tissu serré d'allusions littéraires (tant chinoises qu'occidentales), soit, enfin, une mise en scène des rapports humains dans la Chine d'après la Révolution culturelle, rapports tantôt tragiques, tantôt grotesques, jamais harmonieux... Ou tout cela à la fois. " Françoise Naour, Université Charles-de-Gaulle/Lille 3