La Révolution bat en retraite. La nouvelle aristocratie communiste et les ouvriers (Russie, 1920-24)
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- Nombre de pages414
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.3 kg
- Dimensions12,5 cm × 19,5 cm × 3,2 cm
- ISBN978-2-913112-67-4
- EAN9782913112674
- Date de parution14/08/2020
- CollectionLes nuits rouges
- ÉditeurLes Nuits rouges
- TraducteurJean-Claude Lamoureux
- PréfacierEric Aunoble
Résumé
On a souvent du mal à se représenter comment la Russie est passée de la prise du pouvoir par les bolchéviques fin 1917 à la terreur stalinienne. Simon Pirani a choisi de décrire une partie du processus en étudiant la vie quotidienne et les conditions de travail des ouvriers de Moscou pendant la période 1920-24, et en se faisant l'écho de leurs revendications et de leurs protestations face à une classe dirigeante en formation qui alternait encore répression et dialogue.
L'auteur explique que les travailleurs en général, au sortir des ravages de la guerre civile, firent le choix de soutenir le nouveau régime, afin de rétablir les productions indispensables et un minimum de régularité dans les approvisionnements alimentaires et ce malgré l'écrasement de la révolte de Cronstadt et des grèves de Pétrograd en 1921. Mais ce choix, ils le firent, insiste Pirani, en sachant bien qu'en échange ils devraient abandonner les quelques libertés et pouvoirs politiques qu'ils détenaient encore.
L'auteur explique que les travailleurs en général, au sortir des ravages de la guerre civile, firent le choix de soutenir le nouveau régime, afin de rétablir les productions indispensables et un minimum de régularité dans les approvisionnements alimentaires et ce malgré l'écrasement de la révolte de Cronstadt et des grèves de Pétrograd en 1921. Mais ce choix, ils le firent, insiste Pirani, en sachant bien qu'en échange ils devraient abandonner les quelques libertés et pouvoirs politiques qu'ils détenaient encore.
On a souvent du mal à se représenter comment la Russie est passée de la prise du pouvoir par les bolchéviques fin 1917 à la terreur stalinienne. Simon Pirani a choisi de décrire une partie du processus en étudiant la vie quotidienne et les conditions de travail des ouvriers de Moscou pendant la période 1920-24, et en se faisant l'écho de leurs revendications et de leurs protestations face à une classe dirigeante en formation qui alternait encore répression et dialogue.
L'auteur explique que les travailleurs en général, au sortir des ravages de la guerre civile, firent le choix de soutenir le nouveau régime, afin de rétablir les productions indispensables et un minimum de régularité dans les approvisionnements alimentaires et ce malgré l'écrasement de la révolte de Cronstadt et des grèves de Pétrograd en 1921. Mais ce choix, ils le firent, insiste Pirani, en sachant bien qu'en échange ils devraient abandonner les quelques libertés et pouvoirs politiques qu'ils détenaient encore.
L'auteur explique que les travailleurs en général, au sortir des ravages de la guerre civile, firent le choix de soutenir le nouveau régime, afin de rétablir les productions indispensables et un minimum de régularité dans les approvisionnements alimentaires et ce malgré l'écrasement de la révolte de Cronstadt et des grèves de Pétrograd en 1921. Mais ce choix, ils le firent, insiste Pirani, en sachant bien qu'en échange ils devraient abandonner les quelques libertés et pouvoirs politiques qu'ils détenaient encore.