La responsabilité sociale de l'entreprise, vecteur d'un droit de la mondialisation ?
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- Nombre de pages570
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.888 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 3,0 cm
- ISBN978-2-39013-138-0
- EAN9782390131380
- Date de parution16/08/2017
- CollectionParadigme
- ÉditeurBruylant
Résumé
Cet ouvrage propose à partir d'études de terrain et de monographies une analyse critique pluridisciplinaire, comparative et internationale de l'autorégulation de la globalisation de l'économie au nom de la RSE. Il défend l'idée que les Accords-cadres internationaux sont des normes établissant les règles du jeu d'une gouvernance mondiale au sein des entreprises transnationales, qu'ils sont par leur enrichissement continu l'esquisse d'un système de relations professionnelles globalisé.
L'ouvrage met en évidence les failles et les limites des systèmes d'inspections privées mis en place par les entreprises transnationales. Il s'appuie sur la théorie de la capture et de la contre capture pour mettre en perspective la tendance récente à légaliser des notions et des techniques nées ou portées par la RSE. Partant de l'hypothèse d'une juridiscisation de la RSE, les auteurs démontrent que la RSE est bien le véhicule/vecteur d'un droit de la globalisation de l'économie qui se construit avec des acteurs multiples, sur des espaces encastrés, sur la base de droits et de valeurs consacrées au plan international et selon un mode de co-regulation mais aussi sans doute de co-évaluation.
L'ouvrage met en évidence les failles et les limites des systèmes d'inspections privées mis en place par les entreprises transnationales. Il s'appuie sur la théorie de la capture et de la contre capture pour mettre en perspective la tendance récente à légaliser des notions et des techniques nées ou portées par la RSE. Partant de l'hypothèse d'une juridiscisation de la RSE, les auteurs démontrent que la RSE est bien le véhicule/vecteur d'un droit de la globalisation de l'économie qui se construit avec des acteurs multiples, sur des espaces encastrés, sur la base de droits et de valeurs consacrées au plan international et selon un mode de co-regulation mais aussi sans doute de co-évaluation.
Cet ouvrage propose à partir d'études de terrain et de monographies une analyse critique pluridisciplinaire, comparative et internationale de l'autorégulation de la globalisation de l'économie au nom de la RSE. Il défend l'idée que les Accords-cadres internationaux sont des normes établissant les règles du jeu d'une gouvernance mondiale au sein des entreprises transnationales, qu'ils sont par leur enrichissement continu l'esquisse d'un système de relations professionnelles globalisé.
L'ouvrage met en évidence les failles et les limites des systèmes d'inspections privées mis en place par les entreprises transnationales. Il s'appuie sur la théorie de la capture et de la contre capture pour mettre en perspective la tendance récente à légaliser des notions et des techniques nées ou portées par la RSE. Partant de l'hypothèse d'une juridiscisation de la RSE, les auteurs démontrent que la RSE est bien le véhicule/vecteur d'un droit de la globalisation de l'économie qui se construit avec des acteurs multiples, sur des espaces encastrés, sur la base de droits et de valeurs consacrées au plan international et selon un mode de co-regulation mais aussi sans doute de co-évaluation.
L'ouvrage met en évidence les failles et les limites des systèmes d'inspections privées mis en place par les entreprises transnationales. Il s'appuie sur la théorie de la capture et de la contre capture pour mettre en perspective la tendance récente à légaliser des notions et des techniques nées ou portées par la RSE. Partant de l'hypothèse d'une juridiscisation de la RSE, les auteurs démontrent que la RSE est bien le véhicule/vecteur d'un droit de la globalisation de l'économie qui se construit avec des acteurs multiples, sur des espaces encastrés, sur la base de droits et de valeurs consacrées au plan international et selon un mode de co-regulation mais aussi sans doute de co-évaluation.