La question de la beauté et le discours romanesque au début du XIIIe siècle

Par : Marie-Pascale Halary
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  • Nombre de pages790
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids1.045 kg
  • Dimensions15,5 cm × 23,5 cm × 3,7 cm
  • ISBN978-2-7453-4550-9
  • EAN9782745345509
  • Date de parution26/01/2018
  • CollectionNouvelle biblio du Moyen Age
  • ÉditeurHonoré Champion

Résumé

L'étude porte sur la question de la beauté dans plusieurs romans : le Perlesvaus, le Lancelot propre, la Queste del Saint Graal, le Bel Inconnu de Renaud de Beaujeu, Meraugis de Portlesguez de Raoul de Houdenc, le Roman de la Rose de Guillaume de Lorris. Il s'agit de déterminer si la représentation du beau ressortit à une conception unifiée. L'enquête associe à l'examen du corpus l'observation d'oeuvres vernaculaires du XIIe siècle, celle des arts poétiques et de textes théologiques.
Il ressort que, sans être l'équivalent roman de la pulchritudo, la "beauté romanesque" est à la fois une res, dotée de caractéristiques sensibles relativement stables, et un signum, ouvert sur un aliud aliquid.
L'étude porte sur la question de la beauté dans plusieurs romans : le Perlesvaus, le Lancelot propre, la Queste del Saint Graal, le Bel Inconnu de Renaud de Beaujeu, Meraugis de Portlesguez de Raoul de Houdenc, le Roman de la Rose de Guillaume de Lorris. Il s'agit de déterminer si la représentation du beau ressortit à une conception unifiée. L'enquête associe à l'examen du corpus l'observation d'oeuvres vernaculaires du XIIe siècle, celle des arts poétiques et de textes théologiques.
Il ressort que, sans être l'équivalent roman de la pulchritudo, la "beauté romanesque" est à la fois une res, dotée de caractéristiques sensibles relativement stables, et un signum, ouvert sur un aliud aliquid.