La presse bretonne dans la collaboration. La Dépêche de Brest et L'Ouest-Eclair sous l'Occupation 1940-1944
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- Nombre de pages223
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.3 kg
- Dimensions15,5 cm × 22,0 cm × 3,0 cm
- ISBN978-2-36785-047-4
- EAN9782367850474
- Date de parution14/06/2022
- ÉditeurYoran Embanner
Résumé
"Enfin, la France a un chef" , exulte L'Ouest-Eclair du 1er novembre 1940, arborant dans sa "une" un portrait du maréchal Pétain. Le ton était le même pour l'autre grand quotidien breton de l'époque, La Dépêche de Brest, qui approuve aussi le régime de Vichy. Jusqu'à leurs derniers numéros, en juillet-août 1944, les deux journaux vont afficher leur pétainisme et un soutien sans faille à la "Nouvelle Europe" sous l'égide de l'Allemagne nazie.
Interdits de parution à la Libération en raison de leur collaboration effective, les deux journaux ont été remplacés en 1944 par Ouest-France et Le Télégramme de Brest, qui multipliaient alors les actes d'allégeance au nouveau pouvoir gaulliste, sans aucun doute pour mieux faire oublier les années noires de compromissions. C'est cette histoire que l'auteur s'efforce de remettre en lumière sans rien cacher des faits avérés et confirmés par les écrits que l'on peut aisément consulter dans les archives.
Interdits de parution à la Libération en raison de leur collaboration effective, les deux journaux ont été remplacés en 1944 par Ouest-France et Le Télégramme de Brest, qui multipliaient alors les actes d'allégeance au nouveau pouvoir gaulliste, sans aucun doute pour mieux faire oublier les années noires de compromissions. C'est cette histoire que l'auteur s'efforce de remettre en lumière sans rien cacher des faits avérés et confirmés par les écrits que l'on peut aisément consulter dans les archives.
"Enfin, la France a un chef" , exulte L'Ouest-Eclair du 1er novembre 1940, arborant dans sa "une" un portrait du maréchal Pétain. Le ton était le même pour l'autre grand quotidien breton de l'époque, La Dépêche de Brest, qui approuve aussi le régime de Vichy. Jusqu'à leurs derniers numéros, en juillet-août 1944, les deux journaux vont afficher leur pétainisme et un soutien sans faille à la "Nouvelle Europe" sous l'égide de l'Allemagne nazie.
Interdits de parution à la Libération en raison de leur collaboration effective, les deux journaux ont été remplacés en 1944 par Ouest-France et Le Télégramme de Brest, qui multipliaient alors les actes d'allégeance au nouveau pouvoir gaulliste, sans aucun doute pour mieux faire oublier les années noires de compromissions. C'est cette histoire que l'auteur s'efforce de remettre en lumière sans rien cacher des faits avérés et confirmés par les écrits que l'on peut aisément consulter dans les archives.
Interdits de parution à la Libération en raison de leur collaboration effective, les deux journaux ont été remplacés en 1944 par Ouest-France et Le Télégramme de Brest, qui multipliaient alors les actes d'allégeance au nouveau pouvoir gaulliste, sans aucun doute pour mieux faire oublier les années noires de compromissions. C'est cette histoire que l'auteur s'efforce de remettre en lumière sans rien cacher des faits avérés et confirmés par les écrits que l'on peut aisément consulter dans les archives.