La phénoménologie aux confins
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- Nombre de pages113
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.18 kg
- Dimensions15,0 cm × 22,0 cm × 0,8 cm
- ISBN2-905670-33-9
- EAN9782905670335
- Date de parution01/06/1992
- ÉditeurTrans-Europ-Repress
Résumé
"La phénoménologie aux confins" rassemble quatre études — qui furent d'abord quatre conférences prononcées au Collège International de Philosophie, en novembre 1991. Leur caractère commun est qu'au lieu de s'installer dans l'évidence déjà donnée du concept de "phénoménologie", elles tentent de le mettre à l'épreuve sur ses limites, voire à partir de traditions "lointaines". Ainsi Richard Cobb-Stevens explore-t-il la façon dont la tradition analytique mésentend, à partir de Brentano et de Frege, l'intentionnalité husserlienne, tandis que Jacques Taminiaux montre avec une parfaite exactitude comment la pensée de Heidegger se délimite, sur tous les points essentiels, à partir de celle de Husserl.
A son tour le "Dasein" se trouve porté à la limite de sa plus grande minceur (ce qui ne veut pas dire de son exténuation) dans l'étude de Gérard Granel, qui met en question les paragraphes 1-3 de "Sein und Zeit". Enfin Elisabeth Rigal éclaire dans tous ses méandres l'étrange poursuite par Wittgenstein d'une "phénoménologie" qui, presque jusqu'à la fin, semble ne devoir jamais justifier son nom.
A son tour le "Dasein" se trouve porté à la limite de sa plus grande minceur (ce qui ne veut pas dire de son exténuation) dans l'étude de Gérard Granel, qui met en question les paragraphes 1-3 de "Sein und Zeit". Enfin Elisabeth Rigal éclaire dans tous ses méandres l'étrange poursuite par Wittgenstein d'une "phénoménologie" qui, presque jusqu'à la fin, semble ne devoir jamais justifier son nom.
"La phénoménologie aux confins" rassemble quatre études — qui furent d'abord quatre conférences prononcées au Collège International de Philosophie, en novembre 1991. Leur caractère commun est qu'au lieu de s'installer dans l'évidence déjà donnée du concept de "phénoménologie", elles tentent de le mettre à l'épreuve sur ses limites, voire à partir de traditions "lointaines". Ainsi Richard Cobb-Stevens explore-t-il la façon dont la tradition analytique mésentend, à partir de Brentano et de Frege, l'intentionnalité husserlienne, tandis que Jacques Taminiaux montre avec une parfaite exactitude comment la pensée de Heidegger se délimite, sur tous les points essentiels, à partir de celle de Husserl.
A son tour le "Dasein" se trouve porté à la limite de sa plus grande minceur (ce qui ne veut pas dire de son exténuation) dans l'étude de Gérard Granel, qui met en question les paragraphes 1-3 de "Sein und Zeit". Enfin Elisabeth Rigal éclaire dans tous ses méandres l'étrange poursuite par Wittgenstein d'une "phénoménologie" qui, presque jusqu'à la fin, semble ne devoir jamais justifier son nom.
A son tour le "Dasein" se trouve porté à la limite de sa plus grande minceur (ce qui ne veut pas dire de son exténuation) dans l'étude de Gérard Granel, qui met en question les paragraphes 1-3 de "Sein und Zeit". Enfin Elisabeth Rigal éclaire dans tous ses méandres l'étrange poursuite par Wittgenstein d'une "phénoménologie" qui, presque jusqu'à la fin, semble ne devoir jamais justifier son nom.