La personne incarnée. Etude sur la phénoménologie et la philosophie existentialiste
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 22 juillet et le 25 juilletCet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 22 juillet et le 25 juillet
- Nombre de pages304
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.35 kg
- Dimensions14,5 cm × 23,0 cm × 0,2 cm
- ISBN2-7010-0256-7
- EAN9782701002569
- Date de parution01/01/1947
- CollectionBiblio archives de philosophie
- ÉditeurBeauchesne (éditions)
Résumé
Le but du présent ouvrage n'est pas de donner un exposé complet, historique et philosophique, du mouvement phénoménologique. Ce mouvement a pris une telle ampleur et on trouve parmi les phénoménologues tant de différences, qu'un tel exposé demanderait un volume de dimensions considérables. Notre but a été plus modeste. Nous désirions, après avoir donné un aperçu rapide de l'origine de la phénoménologie, examiner la position de Husserl en vue de trouver les bases véritables et les limites de la méthode phénoménologique.
Le résultat de cet examen devait à son tour nous conduire vers une connaissance plus profonde de la personne humaine, de la personne en général. Il faut en dire autant du mouvement existentialiste. Ce mouvement est en outre si récent et les quelques auteurs existentialistes sont si bien connus, qu'un exposé historique ne nous a pas paru nécessaire. Nos analyses s'occupent exclusivement des problèmes, assez nombreux d'ailleurs, que ce mouvement philosophique pose au sujet de l'homme.
Car l'existentialisme est avant tout, sinon exclusivement, une philosophie de l'être humain, une description phénoménologique de sa façon d'exister. Il voudrait éviter d'expliquer l'homme par autre chose que lui-même, et de recourir à des abstractions comme la Conscience, l'Esprit, la Raison, la Vie et autres semblables fictions. Il nous reste à voir si cette attitude, justifiée comme point de départ, peut se maintenir jusqu'au bout sans fausser la donnée.
et si renoncer à expliquer le réel par des constructions abstraites, exige la négation de tout être transcendant, créateur du monde.
Le résultat de cet examen devait à son tour nous conduire vers une connaissance plus profonde de la personne humaine, de la personne en général. Il faut en dire autant du mouvement existentialiste. Ce mouvement est en outre si récent et les quelques auteurs existentialistes sont si bien connus, qu'un exposé historique ne nous a pas paru nécessaire. Nos analyses s'occupent exclusivement des problèmes, assez nombreux d'ailleurs, que ce mouvement philosophique pose au sujet de l'homme.
Car l'existentialisme est avant tout, sinon exclusivement, une philosophie de l'être humain, une description phénoménologique de sa façon d'exister. Il voudrait éviter d'expliquer l'homme par autre chose que lui-même, et de recourir à des abstractions comme la Conscience, l'Esprit, la Raison, la Vie et autres semblables fictions. Il nous reste à voir si cette attitude, justifiée comme point de départ, peut se maintenir jusqu'au bout sans fausser la donnée.
et si renoncer à expliquer le réel par des constructions abstraites, exige la négation de tout être transcendant, créateur du monde.
Le but du présent ouvrage n'est pas de donner un exposé complet, historique et philosophique, du mouvement phénoménologique. Ce mouvement a pris une telle ampleur et on trouve parmi les phénoménologues tant de différences, qu'un tel exposé demanderait un volume de dimensions considérables. Notre but a été plus modeste. Nous désirions, après avoir donné un aperçu rapide de l'origine de la phénoménologie, examiner la position de Husserl en vue de trouver les bases véritables et les limites de la méthode phénoménologique.
Le résultat de cet examen devait à son tour nous conduire vers une connaissance plus profonde de la personne humaine, de la personne en général. Il faut en dire autant du mouvement existentialiste. Ce mouvement est en outre si récent et les quelques auteurs existentialistes sont si bien connus, qu'un exposé historique ne nous a pas paru nécessaire. Nos analyses s'occupent exclusivement des problèmes, assez nombreux d'ailleurs, que ce mouvement philosophique pose au sujet de l'homme.
Car l'existentialisme est avant tout, sinon exclusivement, une philosophie de l'être humain, une description phénoménologique de sa façon d'exister. Il voudrait éviter d'expliquer l'homme par autre chose que lui-même, et de recourir à des abstractions comme la Conscience, l'Esprit, la Raison, la Vie et autres semblables fictions. Il nous reste à voir si cette attitude, justifiée comme point de départ, peut se maintenir jusqu'au bout sans fausser la donnée.
et si renoncer à expliquer le réel par des constructions abstraites, exige la négation de tout être transcendant, créateur du monde.
Le résultat de cet examen devait à son tour nous conduire vers une connaissance plus profonde de la personne humaine, de la personne en général. Il faut en dire autant du mouvement existentialiste. Ce mouvement est en outre si récent et les quelques auteurs existentialistes sont si bien connus, qu'un exposé historique ne nous a pas paru nécessaire. Nos analyses s'occupent exclusivement des problèmes, assez nombreux d'ailleurs, que ce mouvement philosophique pose au sujet de l'homme.
Car l'existentialisme est avant tout, sinon exclusivement, une philosophie de l'être humain, une description phénoménologique de sa façon d'exister. Il voudrait éviter d'expliquer l'homme par autre chose que lui-même, et de recourir à des abstractions comme la Conscience, l'Esprit, la Raison, la Vie et autres semblables fictions. Il nous reste à voir si cette attitude, justifiée comme point de départ, peut se maintenir jusqu'au bout sans fausser la donnée.
et si renoncer à expliquer le réel par des constructions abstraites, exige la négation de tout être transcendant, créateur du monde.