La magie dans l'Inde antique
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- Nombre de pages233
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.344 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 1,5 cm
- ISBN979-10-94879-16-0
- EAN9791094879160
- Date de parution23/03/2017
- ÉditeurClé d'Or Editions
Résumé
La lune, à ma voix, descend sur la terre; Le soleil s'arrête au sommet des cieux; Je commande aux morts, aux démons, aux dieux L'impossible, allons, j'en fais mon affaire ! (Karpuramanjari, I, 25, rôle du sorcier folâtre.) Ne pas croire en la magie n'est point une raison de la dédaigner. Elle a tenu, dans la constitution des sociétés primitives et dans le développement même de l'esprit humain, une place dont tous à peu près sont d'accord et que d'aucuns seraient plutôt portés à surfaire qu'à ravaler.
Victor henry, professeur de sanscrit et de grammaire comparée des langues indo-européennes à l'université de la Sorbonne au début du 20ème siècle, nous livre ici un aperçu des connaissances magiques et ésotériques telles qu'elles s'inscrivaient au sein de la religion et de la société indienne Védique (entre le 2ème millénaire et 500 av. JC), Brahamique (-600 à 500) puis Hindoue, dévoilant ainsi l'importance qu'ont pu revêtir la magie et l'ésotérisme dans le développement de ces civilisations, et permettant d'appréhender sous un il nouveau les syncrétismes modernes fondés sur les traditions magiques et spirituelles indiennes.
Victor henry, professeur de sanscrit et de grammaire comparée des langues indo-européennes à l'université de la Sorbonne au début du 20ème siècle, nous livre ici un aperçu des connaissances magiques et ésotériques telles qu'elles s'inscrivaient au sein de la religion et de la société indienne Védique (entre le 2ème millénaire et 500 av. JC), Brahamique (-600 à 500) puis Hindoue, dévoilant ainsi l'importance qu'ont pu revêtir la magie et l'ésotérisme dans le développement de ces civilisations, et permettant d'appréhender sous un il nouveau les syncrétismes modernes fondés sur les traditions magiques et spirituelles indiennes.
La lune, à ma voix, descend sur la terre; Le soleil s'arrête au sommet des cieux; Je commande aux morts, aux démons, aux dieux L'impossible, allons, j'en fais mon affaire ! (Karpuramanjari, I, 25, rôle du sorcier folâtre.) Ne pas croire en la magie n'est point une raison de la dédaigner. Elle a tenu, dans la constitution des sociétés primitives et dans le développement même de l'esprit humain, une place dont tous à peu près sont d'accord et que d'aucuns seraient plutôt portés à surfaire qu'à ravaler.
Victor henry, professeur de sanscrit et de grammaire comparée des langues indo-européennes à l'université de la Sorbonne au début du 20ème siècle, nous livre ici un aperçu des connaissances magiques et ésotériques telles qu'elles s'inscrivaient au sein de la religion et de la société indienne Védique (entre le 2ème millénaire et 500 av. JC), Brahamique (-600 à 500) puis Hindoue, dévoilant ainsi l'importance qu'ont pu revêtir la magie et l'ésotérisme dans le développement de ces civilisations, et permettant d'appréhender sous un il nouveau les syncrétismes modernes fondés sur les traditions magiques et spirituelles indiennes.
Victor henry, professeur de sanscrit et de grammaire comparée des langues indo-européennes à l'université de la Sorbonne au début du 20ème siècle, nous livre ici un aperçu des connaissances magiques et ésotériques telles qu'elles s'inscrivaient au sein de la religion et de la société indienne Védique (entre le 2ème millénaire et 500 av. JC), Brahamique (-600 à 500) puis Hindoue, dévoilant ainsi l'importance qu'ont pu revêtir la magie et l'ésotérisme dans le développement de ces civilisations, et permettant d'appréhender sous un il nouveau les syncrétismes modernes fondés sur les traditions magiques et spirituelles indiennes.