La grâce des brigands

Par : Véronique Ovaldé
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  • Nombre de pages291
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.29 kg
  • Dimensions12,0 cm × 18,1 cm × 1,9 cm
  • ISBN978-2-8236-2171-6
  • EAN9782823621716
  • Date de parution15/03/2024
  • ÉditeurEditions de l'Olivier

Résumé

Maria Cristina Väätonen a seize ans lorsqu'elle quitte la ville de son enfance, une bourgade située dans le Grand Nord, entourée de marais et plongée dans la brume la plupart de l'année. Elle laisse derrière elle un père taciturne, une mère bigote et une soeur jalouse pour s'installer à Santa Monica (Los Angeles). C'est le début des années 1970 et des rêves libertaires. Elle n'a pas encore écrit le roman dans lequel elle réglera ses comptes avec sa famille et qui la propulsera sur la scène littéraire. Et elle n'est pas encore l'amante de Rafael Claramunt. Séducteur invétéré, cet excentrique a connu son heure de gloire et se consacre désormais à entretenir sa légende d'écrivain nobélisable. Est-il un pygmalion ou un imposteur qui cherche à s'approprier le talent de Maria Cristina ?
Maria Cristina Väätonen a seize ans lorsqu'elle quitte la ville de son enfance, une bourgade située dans le Grand Nord, entourée de marais et plongée dans la brume la plupart de l'année. Elle laisse derrière elle un père taciturne, une mère bigote et une soeur jalouse pour s'installer à Santa Monica (Los Angeles). C'est le début des années 1970 et des rêves libertaires. Elle n'a pas encore écrit le roman dans lequel elle réglera ses comptes avec sa famille et qui la propulsera sur la scène littéraire. Et elle n'est pas encore l'amante de Rafael Claramunt. Séducteur invétéré, cet excentrique a connu son heure de gloire et se consacre désormais à entretenir sa légende d'écrivain nobélisable. Est-il un pygmalion ou un imposteur qui cherche à s'approprier le talent de Maria Cristina ?

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

2 Coups de cœur
de nos libraires
.Furet du Nord Lille
4/5
LA GRACE DES BRIGANDS
Un écrivain à succès écoute sa mère qui lui livre sa vie. Une très belle écriture, un roman tout en délicatesse et néanmoins puissant.
Un écrivain à succès écoute sa mère qui lui livre sa vie. Une très belle écriture, un roman tout en délicatesse et néanmoins puissant.
Anne-Laure D.Decitre Ecully
5/5
Conte de fée cruel
Maria Cristina Väätonen, écrivain à succès, retourne dans sa ville natale afin de rencontrer son neveu dont elle ignorait l'existence. Ce voyage est l'occasion pour elle de repenser à sa vie: son enfance dans les années 70, coincée entre une mère au fanatisme religieux étouffant, un père passif et silencieux et une soeur mentalement déficiente depuis un accident, son arrivée en Californie, lieu de liberté totale, la rencontre avec son mentor et pygmalion Rafael Claramunt, le succès et ses conséquences... Véronique Ovaldé dresse une nouvelle fois le portrait bouleversant d'une femme malmenée par la vie, sa famille, les hommes, qui tente de vivre comme elle l'entend... Un beau roman sur la Vie, ses surprises et ses douleurs, où l'on retrouve les thèmes récurrents de l'oeuvre de l'auteur (le couple, l'émancipation des femmes, les hommes qui déçoivent, la liberté, la famille;la mort...) et son écriture si particulière, réaliste, poétique, étrange, à la manière d'un conte de fée désenchanté...
Maria Cristina Väätonen, écrivain à succès, retourne dans sa ville natale afin de rencontrer son neveu dont elle ignorait l'existence. Ce voyage est l'occasion pour elle de repenser à sa vie: son enfance dans les années 70, coincée entre une mère au fanatisme religieux étouffant, un père passif et silencieux et une soeur mentalement déficiente depuis un accident, son arrivée en Californie, lieu de liberté totale, la rencontre avec son mentor et pygmalion Rafael Claramunt, le succès et ses conséquences... Véronique Ovaldé dresse une nouvelle fois le portrait bouleversant d'une femme malmenée par la vie, sa famille, les hommes, qui tente de vivre comme elle l'entend... Un beau roman sur la Vie, ses surprises et ses douleurs, où l'on retrouve les thèmes récurrents de l'oeuvre de l'auteur (le couple, l'émancipation des femmes, les hommes qui déçoivent, la liberté, la famille;la mort...) et son écriture si particulière, réaliste, poétique, étrange, à la manière d'un conte de fée désenchanté...
  • Inattendu
  • Emouvant
  • XXe siècle
  • Enfance
  • Californie
  • Canada
  • famille
  • liberté
  • emancipation
  • Bouleversant
  • Maria Cristina Väätonen
  • Rafael Claramunt
  • Judy Garland

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.4/5
sur 23 notes dont 10 avis lecteurs
2/5
La grâce des brigands
Si le dernier Véronique Ovaldé avait tout pour plaire : une héroïne volontaire, une myriade de personnages caractériels, une aventure humaine personnelle, c'était sans compter sur la pâleur des personnages qui peuplent le livre. Une histoire tiède et lisse qui manque d'humanité autant que d'audace. L'écriture de l'auteur, souvent simple et ennuyeuse, apparait parfois lente et dénuée d'empathie... Une rencontre ratée avec cet écrivain pourtant si souvent apprécié. http://art-enciel.over-blog.com/2014/01/la-gr%C3%A2ce-des-brigands-de-v%C3%A9ronique-ovald%C3%A9.html
Si le dernier Véronique Ovaldé avait tout pour plaire : une héroïne volontaire, une myriade de personnages caractériels, une aventure humaine personnelle, c'était sans compter sur la pâleur des personnages qui peuplent le livre. Une histoire tiède et lisse qui manque d'humanité autant que d'audace. L'écriture de l'auteur, souvent simple et ennuyeuse, apparait parfois lente et dénuée d'empathie... Une rencontre ratée avec cet écrivain pourtant si souvent apprécié. http://art-enciel.over-blog.com/2014/01/la-gr%C3%A2ce-des-brigands-de-v%C3%A9ronique-ovald%C3%A9.html
  • Ennuyant
quelle deception !
C'est la première fois que j'ai du mal a finir un livre de Veronique Ovalde. Autant j'avais aime ses autres histoires originales et inattendues autant celle ci m'est apparue sans intérêt. Aucun sentiment ressenti lors de la lecture, des personnages fades et sans relief. Ma déception est a la hauteur des espoirs que je mettais dans cette lecture. Dommage ...
C'est la première fois que j'ai du mal a finir un livre de Veronique Ovalde. Autant j'avais aime ses autres histoires originales et inattendues autant celle ci m'est apparue sans intérêt. Aucun sentiment ressenti lors de la lecture, des personnages fades et sans relief. Ma déception est a la hauteur des espoirs que je mettais dans cette lecture. Dommage ...
  • Ennuyant
Une autre femme, une autre fuite
Dans la lignée littéraire de Véronique Ovaldé, l’héroïne du roman La grâce des brigands est une femme issue d’un milieu familial atypique qui rêve d’une autre vie et part à la rencontre de son destin. Fuir la maison rose de Lapérouse, une mère tyrannique et bigote et un sentiment de culpabilité. Regretter un père aimant mais discret, finlandais illettré qui a pourtant su trouver sa place à force de courage et de volonté. Maria Cristina part pour l’Université de Los Angeles. Elle abandonnera vite ses études pour s’installer chez Joanne, une femme très libérée qui, enceinte, souhaite maintenant faire une pause. C’est grâce à Joanne que Maria Cristina trouve son premier emploi comme assistante du célèbre écrivain, Rafael Claramunt. Car, cette fois, l’auteur parle aussi de son métier d’auteur, en faisant une belle mise en abyme ( le narrateur écrit l’histoire de Maria Cristina qui écrit elle-même son passé). Elle peint ainsi à la fois les sources d’inspiration et les revers de médailles de la célébrité avec quelques clins d’œil sur le rapport entre notoriété et talent. " Elle ne sait pas si être poreuse à d’autres vies que la sienne est une fatalité ou une richesse." " Il dit que le but de toutes les histoires c’est de satisfaire le désir ardent de celui qui les lit." " Nous sommes dans un système de dévalorisation de la compétence et du talent."L’écriture est un moyen d’évasion, d’émancipation, de confession pour la jeune Maria Cristina mais dans ce milieu elle y trouvera aussi le mensonge, les inconvénients de la popularité. Il lui faudra trouver dans ce qu’elle croyait être un nouveau monde les vraies personnes qui lui apporteront la sérénité et la félicité. Beaucoup de thèmes sont évoqués sans jamais s’appesantir sur aucun. Ce qui fait la richesse et la légèreté de ce roman. J’aime la façon dont l’auteur sait créer de belles figures féminines, des femmes fragiles et fortes à la fois. Les femmes de ses romans sont inoubliables grâce à leurs racines, leur destin et leur charme. Ce dernier roman est toutefois un peu moins féérique et dépaysant que Ce que je sais de Vera Candida
Dans la lignée littéraire de Véronique Ovaldé, l’héroïne du roman La grâce des brigands est une femme issue d’un milieu familial atypique qui rêve d’une autre vie et part à la rencontre de son destin. Fuir la maison rose de Lapérouse, une mère tyrannique et bigote et un sentiment de culpabilité. Regretter un père aimant mais discret, finlandais illettré qui a pourtant su trouver sa place à force de courage et de volonté. Maria Cristina part pour l’Université de Los Angeles. Elle abandonnera vite ses études pour s’installer chez Joanne, une femme très libérée qui, enceinte, souhaite maintenant faire une pause. C’est grâce à Joanne que Maria Cristina trouve son premier emploi comme assistante du célèbre écrivain, Rafael Claramunt. Car, cette fois, l’auteur parle aussi de son métier d’auteur, en faisant une belle mise en abyme ( le narrateur écrit l’histoire de Maria Cristina qui écrit elle-même son passé). Elle peint ainsi à la fois les sources d’inspiration et les revers de médailles de la célébrité avec quelques clins d’œil sur le rapport entre notoriété et talent. " Elle ne sait pas si être poreuse à d’autres vies que la sienne est une fatalité ou une richesse." " Il dit que le but de toutes les histoires c’est de satisfaire le désir ardent de celui qui les lit." " Nous sommes dans un système de dévalorisation de la compétence et du talent."L’écriture est un moyen d’évasion, d’émancipation, de confession pour la jeune Maria Cristina mais dans ce milieu elle y trouvera aussi le mensonge, les inconvénients de la popularité. Il lui faudra trouver dans ce qu’elle croyait être un nouveau monde les vraies personnes qui lui apporteront la sérénité et la félicité. Beaucoup de thèmes sont évoqués sans jamais s’appesantir sur aucun. Ce qui fait la richesse et la légèreté de ce roman. J’aime la façon dont l’auteur sait créer de belles figures féminines, des femmes fragiles et fortes à la fois. Les femmes de ses romans sont inoubliables grâce à leurs racines, leur destin et leur charme. Ce dernier roman est toutefois un peu moins féérique et dépaysant que Ce que je sais de Vera Candida
  • Maria Cristina Väätonen
  • Rafael Claramunt
  • Lapérouse
  • Santa Monica
Mitigé
Le titre de ma critique résume le sentiment qui m'habite en refermant la dernière page de cet ouvrage. L'écriture: elle est magnifique. Peu habitué à une telle longueur de phrase, j'ai d'abord eu du mal. Mais comment ne pas reconnaitre une écriture fluide, des descriptions très détaillées, une poésie certaine dans les phrases... et du coup, cela déteint sur moi et je ne mets quasiment pas de ponctuation dans cette phrase! Ce narrateur inconnu est aussi intéressant car il vous pousse à continuer la lecture pour savoir qui il est et s'il joue un role dans l'intrigue. L'enchainement des parties: bien pensé, avec des chapitres très courts ou un peu long, racontant l'histoire de Maria Christina Vaatonen, de sa "famille" qu'elle fuit, de cette maison "rose cul" qu'elle abandonne, de ce père lui conseillant la fuite alors qu'il l'aime éperdument. Par contre l'intrigue... j'ai eu du mal à accrocher. Y a eu des moments en milieu de livre ou j'ai failli abandonner.. trop long, trop incensé, trop "violent" (les folies des années libertaires, sexe, alcool, drogue...). J'ai pas aimé cette partie la trop en décalage avec la poésie des débuts et de la fin. Je n'ai pas aimé non plus cette impression de déjà vu ressentie par moment (des similitutes avec l'histoire d'Harry Quebert). C'était mon premier Ovaldé et mon deuxième livre de la rentrée littéraire. Je ne regrette pas cette lecture mais elle ne m'a pas emballé pour autant. Il faudra que je relise Véronique Ovaldé pour me faire une opinion plus tranchée!
Le titre de ma critique résume le sentiment qui m'habite en refermant la dernière page de cet ouvrage. L'écriture: elle est magnifique. Peu habitué à une telle longueur de phrase, j'ai d'abord eu du mal. Mais comment ne pas reconnaitre une écriture fluide, des descriptions très détaillées, une poésie certaine dans les phrases... et du coup, cela déteint sur moi et je ne mets quasiment pas de ponctuation dans cette phrase! Ce narrateur inconnu est aussi intéressant car il vous pousse à continuer la lecture pour savoir qui il est et s'il joue un role dans l'intrigue. L'enchainement des parties: bien pensé, avec des chapitres très courts ou un peu long, racontant l'histoire de Maria Christina Vaatonen, de sa "famille" qu'elle fuit, de cette maison "rose cul" qu'elle abandonne, de ce père lui conseillant la fuite alors qu'il l'aime éperdument. Par contre l'intrigue... j'ai eu du mal à accrocher. Y a eu des moments en milieu de livre ou j'ai failli abandonner.. trop long, trop incensé, trop "violent" (les folies des années libertaires, sexe, alcool, drogue...). J'ai pas aimé cette partie la trop en décalage avec la poésie des débuts et de la fin. Je n'ai pas aimé non plus cette impression de déjà vu ressentie par moment (des similitutes avec l'histoire d'Harry Quebert). C'était mon premier Ovaldé et mon deuxième livre de la rentrée littéraire. Je ne regrette pas cette lecture mais elle ne m'a pas emballé pour autant. Il faudra que je relise Véronique Ovaldé pour me faire une opinion plus tranchée!
Le poids du passé...
A l'âge de seize ans, Maria Cristina Väätonen quitte le grand Nord et sa famille pour étudier à Los Angeles. Là-bas elle va rencontrer son mentor, qui sera aussi son premier amant... elle y écrira son premier roman et tentara de fuir un passé qui a laissé de nombreuses empreintes. Il s'agit là d'un roman sur la fuite en avant, celle qui nous permet de nous affranchir d'un passé plus ou moins lourd à porter et de nous recontruire pour affronter l'avenir de manière plus sereine. Il s'agit aussi d'un roman sur les liens du sang qui peuvent soit peser sur nos vies soit nous pousser vers l'avant. Une très belle écriture m'a portée tout au long de ce récit et petit à petit j'ai été embarquée dans cette histoire qui débute au présent pour ensuite plonger dans le passé de Maria Cristina jusqu'à la rencontre avec son neveu.
A l'âge de seize ans, Maria Cristina Väätonen quitte le grand Nord et sa famille pour étudier à Los Angeles. Là-bas elle va rencontrer son mentor, qui sera aussi son premier amant... elle y écrira son premier roman et tentara de fuir un passé qui a laissé de nombreuses empreintes. Il s'agit là d'un roman sur la fuite en avant, celle qui nous permet de nous affranchir d'un passé plus ou moins lourd à porter et de nous recontruire pour affronter l'avenir de manière plus sereine. Il s'agit aussi d'un roman sur les liens du sang qui peuvent soit peser sur nos vies soit nous pousser vers l'avant. Une très belle écriture m'a portée tout au long de ce récit et petit à petit j'ai été embarquée dans cette histoire qui débute au présent pour ensuite plonger dans le passé de Maria Cristina jusqu'à la rencontre avec son neveu.
  • XXIe siècle
  • LOS ANGELES
  • Lapérouse
La grâce des brigands
Véronique Ovaldé nous conte l'histoire de Maria Cristina Väätonen, californienne d'adoption, écrivain à succès, jeune femme indépendante mais solitaire. C'est à l'adolescence que Maria Cristina coupe les ponts avec son étrange famille, laissant derrière elle, l'univers étriqué de son village natal dans le grand nord. Et pourtant un simple coup de fil va la ramener vers son passé. Ce nouveau roman de Véronique Ovaldé est fantasque, incisif et ensorcelant. Les personnages sont délicieusement excentriques et déjantés. Entre légèreté et gravité, Véronique Ovaldé porte un regard perçant sur les relations homme-femme, les blessures de l'enfance, l'imposture et le succès.
Véronique Ovaldé nous conte l'histoire de Maria Cristina Väätonen, californienne d'adoption, écrivain à succès, jeune femme indépendante mais solitaire. C'est à l'adolescence que Maria Cristina coupe les ponts avec son étrange famille, laissant derrière elle, l'univers étriqué de son village natal dans le grand nord. Et pourtant un simple coup de fil va la ramener vers son passé. Ce nouveau roman de Véronique Ovaldé est fantasque, incisif et ensorcelant. Les personnages sont délicieusement excentriques et déjantés. Entre légèreté et gravité, Véronique Ovaldé porte un regard perçant sur les relations homme-femme, les blessures de l'enfance, l'imposture et le succès.
  • Merveilleux
Entre Nostalgie et Introspection
Véronique Ovaldé nous raconte, par le biais d'un narrateur anonyme, la vie de Maria Cristina Vaatoren.... Sa famille étant toxique, celle-ci a décidé de partir très jeune suivre sa propre route.... Ce qui lui permettra de se réaliser en tant qu'écrivain. Sa vie privée, quant à elle, sera semée d'instant de grâce et de désenchentement. Un roman nostalgique qui nous promène des années 70 à nos jours.... qui me laisse sans avis tranché, et incapable de dire si j'ai aimé ou non. Surement pas mon coup de coeur de cette rentrée littéraire, mais intéressant tout de même.
Véronique Ovaldé nous raconte, par le biais d'un narrateur anonyme, la vie de Maria Cristina Vaatoren.... Sa famille étant toxique, celle-ci a décidé de partir très jeune suivre sa propre route.... Ce qui lui permettra de se réaliser en tant qu'écrivain. Sa vie privée, quant à elle, sera semée d'instant de grâce et de désenchentement. Un roman nostalgique qui nous promène des années 70 à nos jours.... qui me laisse sans avis tranché, et incapable de dire si j'ai aimé ou non. Surement pas mon coup de coeur de cette rentrée littéraire, mais intéressant tout de même.
  • Triste
  • XXIe siècle
La grâce, tout simplement
A 17 ans à peine, Maria Cristina Väätonen a quitté Lapérouse, village du Grand Nord canadien pour une université de Los Angeles. Elle a laissé derrière elle, un père taciturne, une mère bigote et caractérielle et une sœur diminuée mentalement après un accident. En Californie, elle a rencontré Rafael Claramunt, poète mexicain, écrivain sur le retour, menteur, dandy, héroïnomane. Il est devenu son amant et son mentor. Vingt ans après, Maria Cristina est une écrivain reconnue qui a réglé ses comptes avec sa famille dans son premier roman autobiographique, « La Vilaine soeur ». Mais sa vie qu’elle aime tant va être bouleversée par un appel de sa mère qui la somme de revenir d’urgence à Lapérouse… Racontée par un narrateur anonyme, la vie de Maria Cristina déroule son fil de la maison couleur « rose-cul » de La Pérouse la résidence avec piscine de santa Monica, des forêts humides au Pacifique, du froid au soleil, de la morale intransigeante à la libération des mœurs, de l’absence d’amour à l’éveil des sentiments. Comme un papillon sort de sa chrysalide, Maria Cristina échappe à une famille étouffante pour s’épanouir dans l’écriture. Et, même si la réalité s’éloigne de son rêve de petite fille qui ne prévoyait ni les petites trahisons entre amis, ni les tremblements de terre, sa vie aura été riche d’expériences, de joies et d’amour. Un roman envoûtant et langoureux qui a la grâce, celle des brigands, ou celle des histoires qui savent captiver le lecteur de la première à la dernière page. Sans doute le meilleur roman de Véronique Ovaldé.
A 17 ans à peine, Maria Cristina Väätonen a quitté Lapérouse, village du Grand Nord canadien pour une université de Los Angeles. Elle a laissé derrière elle, un père taciturne, une mère bigote et caractérielle et une sœur diminuée mentalement après un accident. En Californie, elle a rencontré Rafael Claramunt, poète mexicain, écrivain sur le retour, menteur, dandy, héroïnomane. Il est devenu son amant et son mentor. Vingt ans après, Maria Cristina est une écrivain reconnue qui a réglé ses comptes avec sa famille dans son premier roman autobiographique, « La Vilaine soeur ». Mais sa vie qu’elle aime tant va être bouleversée par un appel de sa mère qui la somme de revenir d’urgence à Lapérouse… Racontée par un narrateur anonyme, la vie de Maria Cristina déroule son fil de la maison couleur « rose-cul » de La Pérouse la résidence avec piscine de santa Monica, des forêts humides au Pacifique, du froid au soleil, de la morale intransigeante à la libération des mœurs, de l’absence d’amour à l’éveil des sentiments. Comme un papillon sort de sa chrysalide, Maria Cristina échappe à une famille étouffante pour s’épanouir dans l’écriture. Et, même si la réalité s’éloigne de son rêve de petite fille qui ne prévoyait ni les petites trahisons entre amis, ni les tremblements de terre, sa vie aura été riche d’expériences, de joies et d’amour. Un roman envoûtant et langoureux qui a la grâce, celle des brigands, ou celle des histoires qui savent captiver le lecteur de la première à la dernière page. Sans doute le meilleur roman de Véronique Ovaldé.
Oui, mais non...
Les années 80, cela me rappelle mon enfance, mon innocence quant à la laideur de ce monde. Y replonger par le biais d'un roman pourquoi pas, mais mes souvenirs, mes impressions sont forcément un peu faussées. L'univers de l'écriture et donc de la littérature me plait autant qu'il me fascine. Cela m'a aidé à rentrer dans l'intrigue alors que je l'avoue, Véronique Ovaldé fait parti des auteurs que je ne connais pas à travers ses livres, mais plus à travers ses divers passages télévisés ("La grande Librairie" sur France 5) et qui m'a toujours laissé avec un sentiment d'agacement. Ce n'est pas un jugement juste, mais c'est ainsi. Je reconnais qu'elle a su me faire plonger dans un monde différent que je n'avais jamais rencontré auparavant. Après dire que j'ai apprécié pleinement, je ne le pourrais pas. C'est comme s'il manquait quelque chose ou comme si cette chose m'oppressait par son manque. Je ne sais pas si je suis très limpide, mais c'est le mieux que je puisse dire. L'écriture m'a séduite en revanche tout comme nombres de petits détails ici ou là. Certains m'ont fait sourire. Un autre détail sans aucun doute, mais je me demande où l'auteur est allée pécher des noms pareils pour ses personnages. Ils sont parfois à coucher dehors ! Amusant un moment puis…
Les années 80, cela me rappelle mon enfance, mon innocence quant à la laideur de ce monde. Y replonger par le biais d'un roman pourquoi pas, mais mes souvenirs, mes impressions sont forcément un peu faussées. L'univers de l'écriture et donc de la littérature me plait autant qu'il me fascine. Cela m'a aidé à rentrer dans l'intrigue alors que je l'avoue, Véronique Ovaldé fait parti des auteurs que je ne connais pas à travers ses livres, mais plus à travers ses divers passages télévisés ("La grande Librairie" sur France 5) et qui m'a toujours laissé avec un sentiment d'agacement. Ce n'est pas un jugement juste, mais c'est ainsi. Je reconnais qu'elle a su me faire plonger dans un monde différent que je n'avais jamais rencontré auparavant. Après dire que j'ai apprécié pleinement, je ne le pourrais pas. C'est comme s'il manquait quelque chose ou comme si cette chose m'oppressait par son manque. Je ne sais pas si je suis très limpide, mais c'est le mieux que je puisse dire. L'écriture m'a séduite en revanche tout comme nombres de petits détails ici ou là. Certains m'ont fait sourire. Un autre détail sans aucun doute, mais je me demande où l'auteur est allée pécher des noms pareils pour ses personnages. Ils sont parfois à coucher dehors ! Amusant un moment puis…
  • Drôle
  • XXe siècle
  • Crispant
Véronique Ovaldé
Véronique Ovaldé, née en 1972, a toujours été attirée par la littérature. Après un BTS édition et des études de lettres, elle publie son premier roman en 2000 aux éditions du Seuil intitulé «Le sommeil du poisson». Depuis elle a publié une dizaine de romans, d’abord aux éditions Actes Sud «Les hommes en général me plaisent beaucoup» (2003), «Déloger l’animal» (2005) puis à partir de 2008 aux éditions de l’Olivier, tous fort bien accueillis par les lecteurs et la critique. Ainsi «Et mon cœur transparent» (2008) est récompensé par le prix France Culture Télérama, tandis que «Ce que je sais de Vera Candida» (2009) reçoit trois prix : le Prix Renaudot des lycéens, le Prix France Télévisions en 2009, et le Grand Prix des lectrices de Elle en 2010. Son dernier ouvrage «Des vies d’oiseaux» est paru en 2011.
Château de Pommard
Véronique Ovaldé, Benjamin Chelly
Livre neuf à prix réduit
15,00 €
39,60 €
La nuit du Dodo
Véronique Ovaldé, Aline Zalko
Grand Format
15,00 €