La fin de l'antijudaïsme chrétien. L'Eglise catholique et les Juifs de la Révolution française au concile Vatican II
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 24 juin et le 26 juinCet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 24 juin et le 26 juin
- Nombre de pages312
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.488 kg
- Dimensions15,7 cm × 24,1 cm × 2,4 cm
- ISBN978-2-204-13531-3
- EAN9782204135313
- Date de parution16/03/2023
- ÉditeurCerf
Résumé
Un parcours des relations entre l'Eglise catholique et le peuple juif, de la Révolution française au concile Vatican II ; ou comment l'Eglise a progressivement tourné la page d'un antijudaïsme pluriséculaire. Une synthèse accessible basée sur de nombreuses sources inédites. En reconnaissant la filiation spirituelle entre le peuple du Nouveau Testament et celui de l'Ancien Testament, l'Eglise a mis fin à une tradition antijuive pluriséculaire.
Cette évolution n'aurait pas été possible sans l'engagement courageux d'hommes et de femmes - des convertis pour la plupart - en faveur de la défense de la race aînée. Ce sont ces pionniers du dialogue judéo-chrétien, souvent méconnus et parfois même oubliés, que l'ouvrage entend faire revivre tout au long de ses pages. Fruit de plusieurs années de recherche et basé sur de nombreuses lectures, il a pu bénéficier de la récente ouverture des archives du pontificat de Pie XII, le pape de la Shoah.
A l'encontre de la tendance dominante de l'historiographie actuelle, il juge utile de maintenir la distinction classique entre l'antijudaïsme religieux d'un côté et l'antisémitisme racial de l'autre. Si le second n'a hélas pas disparu aujourd'hui et connait même d'inquiétants signes de recrudescence dans nos pays occidentaux, il ne peut plus s'appuyer sur le premier. L'Eglise catholique a définitivement tourné la page, dans son enseignement comme dans ses pratiques, de l'antijudaïsme même s'il reste sans doute encore beaucoup à faire pour effacer toute trace de judéophobie dans la prédication et la catéchèse.
Cette évolution n'aurait pas été possible sans l'engagement courageux d'hommes et de femmes - des convertis pour la plupart - en faveur de la défense de la race aînée. Ce sont ces pionniers du dialogue judéo-chrétien, souvent méconnus et parfois même oubliés, que l'ouvrage entend faire revivre tout au long de ses pages. Fruit de plusieurs années de recherche et basé sur de nombreuses lectures, il a pu bénéficier de la récente ouverture des archives du pontificat de Pie XII, le pape de la Shoah.
A l'encontre de la tendance dominante de l'historiographie actuelle, il juge utile de maintenir la distinction classique entre l'antijudaïsme religieux d'un côté et l'antisémitisme racial de l'autre. Si le second n'a hélas pas disparu aujourd'hui et connait même d'inquiétants signes de recrudescence dans nos pays occidentaux, il ne peut plus s'appuyer sur le premier. L'Eglise catholique a définitivement tourné la page, dans son enseignement comme dans ses pratiques, de l'antijudaïsme même s'il reste sans doute encore beaucoup à faire pour effacer toute trace de judéophobie dans la prédication et la catéchèse.
Un parcours des relations entre l'Eglise catholique et le peuple juif, de la Révolution française au concile Vatican II ; ou comment l'Eglise a progressivement tourné la page d'un antijudaïsme pluriséculaire. Une synthèse accessible basée sur de nombreuses sources inédites. En reconnaissant la filiation spirituelle entre le peuple du Nouveau Testament et celui de l'Ancien Testament, l'Eglise a mis fin à une tradition antijuive pluriséculaire.
Cette évolution n'aurait pas été possible sans l'engagement courageux d'hommes et de femmes - des convertis pour la plupart - en faveur de la défense de la race aînée. Ce sont ces pionniers du dialogue judéo-chrétien, souvent méconnus et parfois même oubliés, que l'ouvrage entend faire revivre tout au long de ses pages. Fruit de plusieurs années de recherche et basé sur de nombreuses lectures, il a pu bénéficier de la récente ouverture des archives du pontificat de Pie XII, le pape de la Shoah.
A l'encontre de la tendance dominante de l'historiographie actuelle, il juge utile de maintenir la distinction classique entre l'antijudaïsme religieux d'un côté et l'antisémitisme racial de l'autre. Si le second n'a hélas pas disparu aujourd'hui et connait même d'inquiétants signes de recrudescence dans nos pays occidentaux, il ne peut plus s'appuyer sur le premier. L'Eglise catholique a définitivement tourné la page, dans son enseignement comme dans ses pratiques, de l'antijudaïsme même s'il reste sans doute encore beaucoup à faire pour effacer toute trace de judéophobie dans la prédication et la catéchèse.
Cette évolution n'aurait pas été possible sans l'engagement courageux d'hommes et de femmes - des convertis pour la plupart - en faveur de la défense de la race aînée. Ce sont ces pionniers du dialogue judéo-chrétien, souvent méconnus et parfois même oubliés, que l'ouvrage entend faire revivre tout au long de ses pages. Fruit de plusieurs années de recherche et basé sur de nombreuses lectures, il a pu bénéficier de la récente ouverture des archives du pontificat de Pie XII, le pape de la Shoah.
A l'encontre de la tendance dominante de l'historiographie actuelle, il juge utile de maintenir la distinction classique entre l'antijudaïsme religieux d'un côté et l'antisémitisme racial de l'autre. Si le second n'a hélas pas disparu aujourd'hui et connait même d'inquiétants signes de recrudescence dans nos pays occidentaux, il ne peut plus s'appuyer sur le premier. L'Eglise catholique a définitivement tourné la page, dans son enseignement comme dans ses pratiques, de l'antijudaïsme même s'il reste sans doute encore beaucoup à faire pour effacer toute trace de judéophobie dans la prédication et la catéchèse.