La faïence de Moulins. Un tempérament de feu

Par : Christelle Meyer, Benoît-Henry Papounaud

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 8 août et le 19 août
      Cet article doit être commandé chez un fournisseur. Votre colis vous sera expédié 8 à 17 jours après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages157
  • PrésentationBroché
  • Poids0.56 kg
  • Dimensions22,0 cm × 21,5 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-35848-004-8
  • EAN9782358480048
  • Date de parution23/06/2009
  • CollectionD'un regard l'autre
  • ÉditeurBleu autour
  • PréfacierJean Rosen

Résumé

Moulins fut un centre faïencier actif de la France du XVIIIe siècle. Ses premiers chefs-d'oeuvre, apparus vers 1730, s'inspirent, en particulier dans ses décors " populaires ", de la production phare de Nevers. Puis, dans les années 1750-1760, Moulins s'adonne avec brio au style rocaille, alors prisé dans l'Europe entière, et, à l'instar des manufactures de Rouen ou de Sinceny, s'approprie avec originalité le décor " au Chinois ", dont il fait sa spécialité. Cet ouvrage, dû au musée Anne-de-Beaujeu de Moulins, comble un manque : la remarquable faïence stannifère de grand feu de la capitale du Bourbonnais avait jusqu'ici fait l'objet d'une unique publication qui remonte à 1922.
Moulins fut un centre faïencier actif de la France du XVIIIe siècle. Ses premiers chefs-d'oeuvre, apparus vers 1730, s'inspirent, en particulier dans ses décors " populaires ", de la production phare de Nevers. Puis, dans les années 1750-1760, Moulins s'adonne avec brio au style rocaille, alors prisé dans l'Europe entière, et, à l'instar des manufactures de Rouen ou de Sinceny, s'approprie avec originalité le décor " au Chinois ", dont il fait sa spécialité. Cet ouvrage, dû au musée Anne-de-Beaujeu de Moulins, comble un manque : la remarquable faïence stannifère de grand feu de la capitale du Bourbonnais avait jusqu'ici fait l'objet d'une unique publication qui remonte à 1922.