La Civilisation de l'Afrique romaine
2e édition actualisée
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- Nombre de pages359
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.615 kg
- Dimensions16,1 cm × 24,8 cm × 2,0 cm
- ISBN2-85121-100-5
- EAN9782851211002
- Date de parution01/04/1990
- ÉditeurInstitut Etudes Augustiniennes
Résumé
Pour connaître l'Afrique romaine il faut utiliser une documentation très diverse (archéologie, écrits, architecture,...), très riche mais qui comporte peu de documents exceptionnels : le chercheur n'aura à s'occuper ni d'événements extraordinaires, ni d'oeuvres artistiques ou littéraires de tout premier ordre, -sauf celles de saint Augustin. Dans le présent ouvrage l'auteur a essayé avant tout de comprendre un mode de vie d'hommes moyens.
Peut-être, le lecteur jugera-t-il avec quelque dédain cette société, assurément moins brillante que les grandes civilisations de la Mésopotamie, de l'Egypte ou de la Grèce. Il verra cependant que la part de ces Africains dans le progrès général de l'humanité n'est pas négligable. Dans la première édition, l'auteur avait presqu'entièrement laissé de côté la question religieuse. Entre temps, M. Leglay, en trois tomes magistraux, a dit tout ce qui pouvait être dit du principal culte africain, celui de Saturne.
Mais on ne peut analyser une société antique sans tenir compte de la pensée religieuse ; on lui a consacré quelques passages dans le dernier chapitre, ainsi que des mises au point dans l'Etat des questions. Celles-ci, complétant les notes, forment la bibliographie critique du présent ouvrage.
Peut-être, le lecteur jugera-t-il avec quelque dédain cette société, assurément moins brillante que les grandes civilisations de la Mésopotamie, de l'Egypte ou de la Grèce. Il verra cependant que la part de ces Africains dans le progrès général de l'humanité n'est pas négligable. Dans la première édition, l'auteur avait presqu'entièrement laissé de côté la question religieuse. Entre temps, M. Leglay, en trois tomes magistraux, a dit tout ce qui pouvait être dit du principal culte africain, celui de Saturne.
Mais on ne peut analyser une société antique sans tenir compte de la pensée religieuse ; on lui a consacré quelques passages dans le dernier chapitre, ainsi que des mises au point dans l'Etat des questions. Celles-ci, complétant les notes, forment la bibliographie critique du présent ouvrage.
Pour connaître l'Afrique romaine il faut utiliser une documentation très diverse (archéologie, écrits, architecture,...), très riche mais qui comporte peu de documents exceptionnels : le chercheur n'aura à s'occuper ni d'événements extraordinaires, ni d'oeuvres artistiques ou littéraires de tout premier ordre, -sauf celles de saint Augustin. Dans le présent ouvrage l'auteur a essayé avant tout de comprendre un mode de vie d'hommes moyens.
Peut-être, le lecteur jugera-t-il avec quelque dédain cette société, assurément moins brillante que les grandes civilisations de la Mésopotamie, de l'Egypte ou de la Grèce. Il verra cependant que la part de ces Africains dans le progrès général de l'humanité n'est pas négligable. Dans la première édition, l'auteur avait presqu'entièrement laissé de côté la question religieuse. Entre temps, M. Leglay, en trois tomes magistraux, a dit tout ce qui pouvait être dit du principal culte africain, celui de Saturne.
Mais on ne peut analyser une société antique sans tenir compte de la pensée religieuse ; on lui a consacré quelques passages dans le dernier chapitre, ainsi que des mises au point dans l'Etat des questions. Celles-ci, complétant les notes, forment la bibliographie critique du présent ouvrage.
Peut-être, le lecteur jugera-t-il avec quelque dédain cette société, assurément moins brillante que les grandes civilisations de la Mésopotamie, de l'Egypte ou de la Grèce. Il verra cependant que la part de ces Africains dans le progrès général de l'humanité n'est pas négligable. Dans la première édition, l'auteur avait presqu'entièrement laissé de côté la question religieuse. Entre temps, M. Leglay, en trois tomes magistraux, a dit tout ce qui pouvait être dit du principal culte africain, celui de Saturne.
Mais on ne peut analyser une société antique sans tenir compte de la pensée religieuse ; on lui a consacré quelques passages dans le dernier chapitre, ainsi que des mises au point dans l'Etat des questions. Celles-ci, complétant les notes, forment la bibliographie critique du présent ouvrage.