La carte postale. 2 volumes
Edition en gros caractères

Par : Anne Berest
Prix des étudiants de Sciences Po
Coup de coeur

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  • Nombre de pages912
  • PrésentationPack
  • FormatEdition en gros caractères
  • Poids1.15 kg
  • Dimensions15,6 cm × 24,0 cm × 6,0 cm
  • ISBN979-10-269-0553-0
  • EAN9791026905530
  • Date de parution29/11/2021
  • Collection16
  • ÉditeurA Vue d'Oeil

Résumé

" "La carte postale n'était pas signée. Il y avait l'opéra Garnier d'un côté, et de l'autre, les prénoms des grands-parents de ma mère, de sa tante et son oncle, morts à Auschwitz en 1942. Vingt ans plus tard, j'ai décidé de savoir qui nous l'avait envoyée. J'ai retracé le destin romanesque des Rabinovitch, leur fuite de Russie, leur voyage en Lettonie puis en Palestine. Et enfin, leur arrivée à Paris, avec la guerre et son désastre.
J'ai essayé de comprendre comment ma grand-mère Myriam fut la seule qui échappa à la déportation. Et éclaircir les mystères qui entouraient ses deux mariages. Le roman de mes ancêtres, est aussi une quête initiatique sur la signification du mot "Juif" dans une vie laïque". A. B. Edition adaptée facile à lire : malvoyance ; fatigue visuelle ; troubles de l'apprentissage ; troubles cognitifs ; troubles DYS ; dyslexie ; dysgraphie ; TDA/H ; alphabétisation, FLE.
"
" "La carte postale n'était pas signée. Il y avait l'opéra Garnier d'un côté, et de l'autre, les prénoms des grands-parents de ma mère, de sa tante et son oncle, morts à Auschwitz en 1942. Vingt ans plus tard, j'ai décidé de savoir qui nous l'avait envoyée. J'ai retracé le destin romanesque des Rabinovitch, leur fuite de Russie, leur voyage en Lettonie puis en Palestine. Et enfin, leur arrivée à Paris, avec la guerre et son désastre.
J'ai essayé de comprendre comment ma grand-mère Myriam fut la seule qui échappa à la déportation. Et éclaircir les mystères qui entouraient ses deux mariages. Le roman de mes ancêtres, est aussi une quête initiatique sur la signification du mot "Juif" dans une vie laïque". A. B. Edition adaptée facile à lire : malvoyance ; fatigue visuelle ; troubles de l'apprentissage ; troubles cognitifs ; troubles DYS ; dyslexie ; dysgraphie ; TDA/H ; alphabétisation, FLE.
"

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

7 Coups de cœur
de nos libraires
Charlotte F.Decitre Ecully
5/5
Toujours se souvenir des ancêtres exterminés
C’est puissant la mémoire généalogique, quand on ne sait rien ou si peu mais que tout est contenu dans son corps comme une intuition. Un seul objet peut tout réveiller, comme cette carte postale pour Anne Berest, et provoquer ce besoin irrépressible de connaître l’histoire de ses ancêtres. De 1919 en Russie à nos jours en France, nous découvrons la famille Rabinovitch réduite à cette désignation mortifère : les Juifs. Nombre de livres de petits enfants, comme « Le ghetto intérieur » de Santiago H. Amigorena, nous instruisent et nous font réfléchir sur les conséquences dévastatrices de l’antisémitisme. Ne jamais les oublier est notre seul devoir.
C’est puissant la mémoire généalogique, quand on ne sait rien ou si peu mais que tout est contenu dans son corps comme une intuition. Un seul objet peut tout réveiller, comme cette carte postale pour Anne Berest, et provoquer ce besoin irrépressible de connaître l’histoire de ses ancêtres. De 1919 en Russie à nos jours en France, nous découvrons la famille Rabinovitch réduite à cette désignation mortifère : les Juifs. Nombre de livres de petits enfants, comme « Le ghetto intérieur » de Santiago H. Amigorena, nous instruisent et nous font réfléchir sur les conséquences dévastatrices de l’antisémitisme. Ne jamais les oublier est notre seul devoir.
Matt - 1Furet du Nord Roissy
5/5
Un roman pour mémoire
A mi-chemin entre témoignage, roman historique et enquête, Anne Berest nous livre ici un roman magistral sur l'histoire de sa famille. A partir d'une mystérieuse carte postale, l'auteure retrace l'histoire de ses ancêtres depuis les années 1920 en Russie, jusqu'au cœur de la Seconde Guerre Mondiale... Un récit poignant, remarquablement bien écrit, à découvrir sans tarder.
A mi-chemin entre témoignage, roman historique et enquête, Anne Berest nous livre ici un roman magistral sur l'histoire de sa famille. A partir d'une mystérieuse carte postale, l'auteure retrace l'histoire de ses ancêtres depuis les années 1920 en Russie, jusqu'au cœur de la Seconde Guerre Mondiale... Un récit poignant, remarquablement bien écrit, à découvrir sans tarder.
Line GFuret du Nord Douai
5/5
Faire vivre nos morts
Anne Berest signe ici un roman poignant qui mêle à la fois son histoire personnelle et celle de ses aïeux. Une carte postale anonyme reçue par sa mère vingt ans plus tôt va être le déclencheur de cette enquête familiale qui aura pour but de retracer la vie et la mort des Rabinovitch dans les camps de concentration. Ce récit sensible présente cinq générations d'une même famille juive qui a vécu, dans sa chair, les turpitudes de l'histoire de France. À lire absolument !.
Anne Berest signe ici un roman poignant qui mêle à la fois son histoire personnelle et celle de ses aïeux. Une carte postale anonyme reçue par sa mère vingt ans plus tôt va être le déclencheur de cette enquête familiale qui aura pour but de retracer la vie et la mort des Rabinovitch dans les camps de concentration. Ce récit sensible présente cinq générations d'une même famille juive qui a vécu, dans sa chair, les turpitudes de l'histoire de France. À lire absolument !.
Anth0nyFuret du Nord Arcueil
5/5
Passionnant !
Quatre prénoms sur une carte postale, tracés d'une écriture maladroite, quatre personnes disparues dans les camps pendant la guerre. Avec "La carte postale", Anne Berest retrace l'histoire de sa famille maternelle avant, pendant et après la Seconde guerre mondiale. Un travail de mémoire nécessaire pour ne pas oublier les horreurs du passé. Une quête passionnante, digne d'un polar. Un travail d'enquête considérable. Dès les premières pages, on est littéralement happés par l'histoire. Avec sa plume aiguisée, Anne Berest réussit à ne jamais perdre notre intérêt ! Prix Renaudot des lycéens 2021
Quatre prénoms sur une carte postale, tracés d'une écriture maladroite, quatre personnes disparues dans les camps pendant la guerre. Avec "La carte postale", Anne Berest retrace l'histoire de sa famille maternelle avant, pendant et après la Seconde guerre mondiale. Un travail de mémoire nécessaire pour ne pas oublier les horreurs du passé. Une quête passionnante, digne d'un polar. Un travail d'enquête considérable. Dès les premières pages, on est littéralement happés par l'histoire. Avec sa plume aiguisée, Anne Berest réussit à ne jamais perdre notre intérêt ! Prix Renaudot des lycéens 2021
Jenny SQY OuestFuret du Nord Montigny-le-Bretonneux
5/5
Une aventure dans le passé entre douceur et amertume
C'est un livre comme on en lit peu. Il est de ceux qui, dès les premières pages, nous font dire que l'on tient entre nos mains, un grand roman. A mi-chemin entre enquête et fiction, La Carte Postale raconte cette drôle d'histoire qui est arrivée à Anne Berest en 2003. Tout part d'une carte postale banale venue d'on ne sait où et qui ne contient que 4 noms : ceux d'ancêtres morts en déportation à Auschwitz. Qui a envoyé cette carte ? Et pourquoi maintenant ? C'est ce que va tenter de découvrir Anne Berest dans ce livre. Un roman magistral à lire absolument !
C'est un livre comme on en lit peu. Il est de ceux qui, dès les premières pages, nous font dire que l'on tient entre nos mains, un grand roman. A mi-chemin entre enquête et fiction, La Carte Postale raconte cette drôle d'histoire qui est arrivée à Anne Berest en 2003. Tout part d'une carte postale banale venue d'on ne sait où et qui ne contient que 4 noms : ceux d'ancêtres morts en déportation à Auschwitz. Qui a envoyé cette carte ? Et pourquoi maintenant ? C'est ce que va tenter de découvrir Anne Berest dans ce livre. Un roman magistral à lire absolument !
Amandine B. - 2Decitre Annecy
5/5
A la recherche de son passé
Une carte postale... 4 prénoms...ceux de ses ancêtres tous morts à Auschwitz.... Anne Berest nous emmène au cœur de l'histoire de sa famille, de la Russie à la France en passant par Israël. Mais surtout au cœur de l'Histoire, la nôtre, celle de notre passé. Une enquête à la fois intime et universelle, très touchante .
Une carte postale... 4 prénoms...ceux de ses ancêtres tous morts à Auschwitz.... Anne Berest nous emmène au cœur de l'histoire de sa famille, de la Russie à la France en passant par Israël. Mais surtout au cœur de l'Histoire, la nôtre, celle de notre passé. Une enquête à la fois intime et universelle, très touchante .
LaurelineDecitre Part-Dieu
5/5
Un livre qui prend aux trippes
2003. Une carte postale anonyme arrive. Sur la carte, comme seul texte, quatres prénoms: ceux des ancètres d'Anne, tous décédés à Auschwitz en 1942. Sa mère met bien vite la carte de côté. Mais des années plus tard, Anne, sur le point d'accoucher, veut en savoir plus sur l'histoire de sa famille. Et la carte ressurgit. Entre histoire de la guerre, d'une famille et enquète sur la carte postale, Anne nous guide dans une histoire à la fois intime et mondiale, entre passé et présent, avec une grande fluidité. Très touchant.
2003. Une carte postale anonyme arrive. Sur la carte, comme seul texte, quatres prénoms: ceux des ancètres d'Anne, tous décédés à Auschwitz en 1942. Sa mère met bien vite la carte de côté. Mais des années plus tard, Anne, sur le point d'accoucher, veut en savoir plus sur l'histoire de sa famille. Et la carte ressurgit. Entre histoire de la guerre, d'une famille et enquète sur la carte postale, Anne nous guide dans une histoire à la fois intime et mondiale, entre passé et présent, avec une grande fluidité. Très touchant.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.7/5
sur 3 notes dont 3 avis lecteurs
Pour ne pas les oublier
Roman biographique d'une famille juive au cours du XXème siècle. Pour Myriam, la grand-mère de l'auteure, sa vie fut une succession de déménagements, de déracinements. c'est le récit de ses arrière grands-parents, ocles et tantes qui vont être déportés tant en Pologne, qu'en Tchéquie, en France. Roman riche aussi sur la signification du mot "juif" dans un pays et une société laics.
Roman biographique d'une famille juive au cours du XXème siècle. Pour Myriam, la grand-mère de l'auteure, sa vie fut une succession de déménagements, de déracinements. c'est le récit de ses arrière grands-parents, ocles et tantes qui vont être déportés tant en Pologne, qu'en Tchéquie, en France. Roman riche aussi sur la signification du mot "juif" dans un pays et une société laics.
Le genre de livre qu’on ne peut s’arrêter de lire
Super livre. C’est le genre de livre que l’on ne peut s’arrêter de lire.
Super livre. C’est le genre de livre que l’on ne peut s’arrêter de lire.
Très grand coup de coeur
En 2003, Lélia, la mère de l’auteur, reçoit avec perplexité une étrange carte postale. Anonyme, elle ne comporte que les prénoms de quatre membres de la famille, morts à Auschwitz en 1942. Près de vingt ans plus tard, Anne Berest se met en tête de découvrir qui a bien pu envoyer ce message énigmatique. Son enquête va lui faire exhumer un siècle d’histoire familiale, depuis la fuite de Russie des Rabinovitch, en passant par la Lettonie et par la Palestine, jusqu’à leur installation à Paris et l’horreur qui les y attendait pendant la seconde guerre mondiale. La grand-mère de l’auteur, Myriam, fut la seule à échapper au funeste destin de la famille entière. Elle a laissé à sa fille et à ses deux petites-filles le terrible poids d’un silence étourdissant… Bien avant Anne, Lélia avait commencé à recoller les morceaux de ce passé barricadé dans le mutisme maternel, rassemblant et recoupant au cours de longues et minutieuses investigations les traces qui, dans leurs boîtes d’archive, attendaient de trouver leur place dans la mémoire des vivants. L’histoire des Rabinovitch met en pleine lumière le vieux serpent de mer de l’antisémitisme, les exils répétés et les renaissants espoirs d’intégration, la confiance demeurée malgré les alarmes, et finalement la prise au piège d’un impensable savamment orchestré. Avec justesse et intelligence, la narration restitue contexte et processus, décortiquant comment, insensiblement, a pu s’imposer une idéologie massivement meurtrière, au point de susciter le zèle d’un Etat français devançant les exigences nazies. Piqué par l’énigme de la carte postale, le lecteur se retrouve happé par l’enquête menée par l’auteur, et c’est à pieds joints qu’il plonge dans ce récit sensible et vivant courant sur cinq générations. Dépourvue du moindre pathos, la narration bouleverse d’autant plus qu’elle se déroule avec la plus grande sobriété. Son réalisme saisissant vous emmène coeur et dents serrés au bout de l’insoutenable, et c’est le moins que l’on puisse faire que de savoir et de se souvenir. Ecrire et lire cette histoire, c’est sortir les victimes du néant où on l’on a voulu les plonger, puis les laisser bien après la défaite allemande. Car il aura fallu des années, puis encore un demi-siècle, pour que l’administration française finisse par reconnaître d’abord le simple décès, puis la mort en déportation des victimes des camps… Tout en creusant le sillon de la mémoire, l’enquête d’Anne Berest nous confronte également à la réalité contemporaine. Comment ne pas se sentir troublé lorsque l’on découvre avec elle ce que sont devenus la maison et les biens personnels de ses arrière-grands-parents, la gêne et l’hostilité patentes des descendants des anciens voisins ? Au fur et à mesure que s’emboîtent les bribes du passé, ce sont toutes leurs répercussions sur le présent qui nous sautent peu à peu à la figure et nous interrogent. Pour l’auteur, elles sont le déclencheur d’une réflexion intime sur son identité, sur l’influence de ce passé sur sa personnalité profonde et sur sa manière de vivre sa judaïcité. Initialement choisi sur un quiproquo entre les écrivains Anne et Claire, que j’ignorais sœurs, ce livre sur lequel je me suis précipitée, sans même me préoccuper à l’avance de son contenu, m’a subjuguée. Grave, parfois éprouvant, tendu comme un thriller, il est écrit avec une sincérité, une sensibilité et une clairvoyance qui vous vont aussi droit au coeur qu’il marque votre esprit. Un très grand coup de coeur.
En 2003, Lélia, la mère de l’auteur, reçoit avec perplexité une étrange carte postale. Anonyme, elle ne comporte que les prénoms de quatre membres de la famille, morts à Auschwitz en 1942. Près de vingt ans plus tard, Anne Berest se met en tête de découvrir qui a bien pu envoyer ce message énigmatique. Son enquête va lui faire exhumer un siècle d’histoire familiale, depuis la fuite de Russie des Rabinovitch, en passant par la Lettonie et par la Palestine, jusqu’à leur installation à Paris et l’horreur qui les y attendait pendant la seconde guerre mondiale. La grand-mère de l’auteur, Myriam, fut la seule à échapper au funeste destin de la famille entière. Elle a laissé à sa fille et à ses deux petites-filles le terrible poids d’un silence étourdissant… Bien avant Anne, Lélia avait commencé à recoller les morceaux de ce passé barricadé dans le mutisme maternel, rassemblant et recoupant au cours de longues et minutieuses investigations les traces qui, dans leurs boîtes d’archive, attendaient de trouver leur place dans la mémoire des vivants. L’histoire des Rabinovitch met en pleine lumière le vieux serpent de mer de l’antisémitisme, les exils répétés et les renaissants espoirs d’intégration, la confiance demeurée malgré les alarmes, et finalement la prise au piège d’un impensable savamment orchestré. Avec justesse et intelligence, la narration restitue contexte et processus, décortiquant comment, insensiblement, a pu s’imposer une idéologie massivement meurtrière, au point de susciter le zèle d’un Etat français devançant les exigences nazies. Piqué par l’énigme de la carte postale, le lecteur se retrouve happé par l’enquête menée par l’auteur, et c’est à pieds joints qu’il plonge dans ce récit sensible et vivant courant sur cinq générations. Dépourvue du moindre pathos, la narration bouleverse d’autant plus qu’elle se déroule avec la plus grande sobriété. Son réalisme saisissant vous emmène coeur et dents serrés au bout de l’insoutenable, et c’est le moins que l’on puisse faire que de savoir et de se souvenir. Ecrire et lire cette histoire, c’est sortir les victimes du néant où on l’on a voulu les plonger, puis les laisser bien après la défaite allemande. Car il aura fallu des années, puis encore un demi-siècle, pour que l’administration française finisse par reconnaître d’abord le simple décès, puis la mort en déportation des victimes des camps… Tout en creusant le sillon de la mémoire, l’enquête d’Anne Berest nous confronte également à la réalité contemporaine. Comment ne pas se sentir troublé lorsque l’on découvre avec elle ce que sont devenus la maison et les biens personnels de ses arrière-grands-parents, la gêne et l’hostilité patentes des descendants des anciens voisins ? Au fur et à mesure que s’emboîtent les bribes du passé, ce sont toutes leurs répercussions sur le présent qui nous sautent peu à peu à la figure et nous interrogent. Pour l’auteur, elles sont le déclencheur d’une réflexion intime sur son identité, sur l’influence de ce passé sur sa personnalité profonde et sur sa manière de vivre sa judaïcité. Initialement choisi sur un quiproquo entre les écrivains Anne et Claire, que j’ignorais sœurs, ce livre sur lequel je me suis précipitée, sans même me préoccuper à l’avance de son contenu, m’a subjuguée. Grave, parfois éprouvant, tendu comme un thriller, il est écrit avec une sincérité, une sensibilité et une clairvoyance qui vous vont aussi droit au coeur qu’il marque votre esprit. Un très grand coup de coeur.
Finistère
Anne Berest
Grand Format
23,90 €
Gabriële
Anne Berest, Claire Berest
Poche
9,40 €
Sagan 1954
Anne Berest
Poche
7,90 €