Prix du meilleur livre sur la danse

La ballerine & El Comandante. L’histoire secrète du Ballet de Cuba

Par : Isis Wirth

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  • Nombre de pages237
  • PrésentationBroché
  • Poids0.33 kg
  • Dimensions14,7 cm × 21,0 cm × 2,2 cm
  • ISBN978-2-84941-379-1
  • EAN9782849413791
  • Date de parution19/04/2013
  • CollectionLes moutons noirs
  • ÉditeurLes Pérégrines
  • PréfacierJean-François Bouthors

Résumé

Ce livre est le récit d'un pacte faustien entre une artiste et un dictateur. Alicia Alonso, la fondatrice du Ballet national de Cuba, est l'une des plus grandes étoiles du XXe siècle. Née en décembre 1920, elle a travaillé avec les meilleurs chorégraphes et créé ses propres versions des ballets classiques. De l'"école cubaine", dont elle est la mère, sont sortis de fabuleux danseurs. Mais cette réussite, alors qu'elle était presque aveugle, est indissociable du régime totalitaire installé par Fidel Castro.
Ce dernier a vu dans le ballet un formidable outil de propagande interne et externe. Il a offert à Alicia Alonso, qui avait déjà commencé une très brillante carrière aux Etats-Unis, les moyens de poursuivre son rêve. En contrepartie, le "Cobra Noir" a accepté d'apporter, dans ses pires moments et jusqu'à aujourd'hui, un soutien sans faille au régime. Dans cette première biographie d'Alicia Alonso en français, Isis Wirth met en lumière cette complicité tragique.
Unis par une même passion pour le pouvoir, la ballerine et El Comandante ont écrit une histoire qui s'achève de façon pathétique dans le marasme, la gérontocratie et, pour le ballet, la fuite des danseurs.
Ce livre est le récit d'un pacte faustien entre une artiste et un dictateur. Alicia Alonso, la fondatrice du Ballet national de Cuba, est l'une des plus grandes étoiles du XXe siècle. Née en décembre 1920, elle a travaillé avec les meilleurs chorégraphes et créé ses propres versions des ballets classiques. De l'"école cubaine", dont elle est la mère, sont sortis de fabuleux danseurs. Mais cette réussite, alors qu'elle était presque aveugle, est indissociable du régime totalitaire installé par Fidel Castro.
Ce dernier a vu dans le ballet un formidable outil de propagande interne et externe. Il a offert à Alicia Alonso, qui avait déjà commencé une très brillante carrière aux Etats-Unis, les moyens de poursuivre son rêve. En contrepartie, le "Cobra Noir" a accepté d'apporter, dans ses pires moments et jusqu'à aujourd'hui, un soutien sans faille au régime. Dans cette première biographie d'Alicia Alonso en français, Isis Wirth met en lumière cette complicité tragique.
Unis par une même passion pour le pouvoir, la ballerine et El Comandante ont écrit une histoire qui s'achève de façon pathétique dans le marasme, la gérontocratie et, pour le ballet, la fuite des danseurs.