L'utopie d'une Provence éternelle. L'oeuvre des Martin
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- Nombre de pages196
- PrésentationBroché
- Poids0.685 kg
- Dimensions20,0 cm × 25,0 cm × 1,6 cm
- ISBN2-84975-047-6
- EAN9782849750476
- Date de parution15/09/2005
- ÉditeurFage Editions
Résumé
Etienne Martin (1856-1945), peintre provençal, fut le créateur et le conservateur du Musée de Digne, pendant 42 ans. La rétrospective que le musée Gassendi consacre à cet artiste mal connu et à son père Paul Martin (1830-1903), aquarelliste de l'Ecole marseillaise et lui-même mécène à l'origine de la collection de peintures du musée, révèle, derrière l'œuvre picturale en apparence limpide et facile où se confronte le mythe d'une Provence idyllique, un être complexe et inquiet dont les activités et aspirations (il est peintre, musicien, essayiste, président d'institutions culturelles...) s'entrelacent et reflètent une identité qui se cherche. Des extraits des essais et communications académiques publiés entre 1903 et 1939 mais surtout des centaines de pages dans lesquelles Etienne Martin fixa souvenirs, impressions et réflexions sur son temps éclairent ses préoccupations de peintre, lequel finira par se dissoudre dans l'identité de conservateur.
Etienne Martin (1856-1945), peintre provençal, fut le créateur et le conservateur du Musée de Digne, pendant 42 ans. La rétrospective que le musée Gassendi consacre à cet artiste mal connu et à son père Paul Martin (1830-1903), aquarelliste de l'Ecole marseillaise et lui-même mécène à l'origine de la collection de peintures du musée, révèle, derrière l'œuvre picturale en apparence limpide et facile où se confronte le mythe d'une Provence idyllique, un être complexe et inquiet dont les activités et aspirations (il est peintre, musicien, essayiste, président d'institutions culturelles...) s'entrelacent et reflètent une identité qui se cherche. Des extraits des essais et communications académiques publiés entre 1903 et 1939 mais surtout des centaines de pages dans lesquelles Etienne Martin fixa souvenirs, impressions et réflexions sur son temps éclairent ses préoccupations de peintre, lequel finira par se dissoudre dans l'identité de conservateur.