L'Eglise de France après Vatican II. Actes du colloque "Retour sur l'Eglise de France après le concile Vatican II 1965-1973, le regard de l'histoire" du 16 et 17 octobre 2009

Par : Jean-François Galinier-Pallerola, Augustin Laffay, Bernard Minvielle

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  • Nombre de pages367
  • PrésentationBroché
  • Poids0.542 kg
  • Dimensions15,2 cm × 23,7 cm × 3,1 cm
  • ISBN978-2-84573-933-8
  • EAN9782845739338
  • Date de parution06/05/2011
  • ÉditeurParole et Silence

Résumé

« Le grand vent du Concile a soulevé beaucoup de poussière (…). Il ne faudrait pas s’en plaindre, mais au contraire se hâter d’ouvrir les fenêtres pour que la poussière s’en aille définitivement », écrivait le cardinal Garrone en 1967. Ouvrir les fenêtres, démolir les murs de la citadelle : l’Eglise de France entre dans une phase de mutations rapides, d’expériences et de turbulences. Crise catholique rejoignant la crise politique et sociale des années soixante-dix ? Les témoins de la période sont partagés entre enthousiasme et angoisse.
Le contexte d’expansion économique et de contestation généralisée marque profondément la façon dont le Concile a été compris et reçu, plus dans un esprit de rupture que de continuité. Un tiers de siècle plus tard, il est trop tôt pour faire un bilan complet ; mais le changement de génération invite à recueillir les témoignages des acteurs et à aborder la période de façon dépassionnée, avec sérénité et rigueur scientifique.
Cet ouvrage, l’un des tout premiers consacrés à ce thème, présente un dossier de témoignages et une réflexion universitaire d’historiens et de théologiens sur la mise en oeuvre de la réforme liturgique, les nouveautés de la vie pastorale, la crise que traversent les communautés religieuses et les séminaires. L’histoire religieuse est intégrée dans l’évolution culturelle et sociale de la France des années 1970 : l’Eglise n’a pas subi le contrecoup de mai 68, elle en est un acteur.
« Le grand vent du Concile a soulevé beaucoup de poussière (…). Il ne faudrait pas s’en plaindre, mais au contraire se hâter d’ouvrir les fenêtres pour que la poussière s’en aille définitivement », écrivait le cardinal Garrone en 1967. Ouvrir les fenêtres, démolir les murs de la citadelle : l’Eglise de France entre dans une phase de mutations rapides, d’expériences et de turbulences. Crise catholique rejoignant la crise politique et sociale des années soixante-dix ? Les témoins de la période sont partagés entre enthousiasme et angoisse.
Le contexte d’expansion économique et de contestation généralisée marque profondément la façon dont le Concile a été compris et reçu, plus dans un esprit de rupture que de continuité. Un tiers de siècle plus tard, il est trop tôt pour faire un bilan complet ; mais le changement de génération invite à recueillir les témoignages des acteurs et à aborder la période de façon dépassionnée, avec sérénité et rigueur scientifique.
Cet ouvrage, l’un des tout premiers consacrés à ce thème, présente un dossier de témoignages et une réflexion universitaire d’historiens et de théologiens sur la mise en oeuvre de la réforme liturgique, les nouveautés de la vie pastorale, la crise que traversent les communautés religieuses et les séminaires. L’histoire religieuse est intégrée dans l’évolution culturelle et sociale de la France des années 1970 : l’Eglise n’a pas subi le contrecoup de mai 68, elle en est un acteur.