L'ascèse cynique. Un commentaire de Diogène Laërce VI 70-71
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- Nombre de pages303
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.395 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,6 cm
- ISBN2-7116-0913-8
- EAN9782711609130
- Date de parution01/12/1986
- CollectionHistoire Doctrines Antiquité
- ÉditeurVrin
Résumé
Le cynisme, en raison peut-être de son mépris pour la spéculation théorique et de la rareté des textes de contenu doctrinal qui en a résulté, reste le parent pauvre de la philosophie antique. Le présent ouvrage est l'un des premiers à lui être exclusivement consacré. Pour rendre compte d'un passage doxographique, transmis par Diogène Laërce, sur l'ascèse selon Diogène le Cynique, il tente de retrouver, à travers l'analyse d'un riche corpus d'anecdotes et de "dits" diogéniens, l'inspiration fondamentale qui oriente tout le projet philosophique du cynisme ancien.
C'est dans le concept d'ascèse, c'est-à-dire d'un entraînement capable d'assurer le bonheur de l'homme en proie aux vicissitudes de l'existence, que s'exprime cette inspiration initiale. La comparaison du projet cynique avec le socratisme et le stoïcisme révèle l'originalité de la démarche proposée par Diogène. Au terme, cette élucidation de la conception cynique de l'ascèse autorise une interprétation nouvelle du passage doxographique laërtien et une vérification de son authenticité.
La voie diogénienne, "raccourci vers la vertu", a été empruntée jusqu'à la fin de l'antiquité par maints adeptes, comme l'atteste le Répertoire, publié en appendice, de tous les Cyniques qu'un inventaire minutieux a permis de découvrir.
C'est dans le concept d'ascèse, c'est-à-dire d'un entraînement capable d'assurer le bonheur de l'homme en proie aux vicissitudes de l'existence, que s'exprime cette inspiration initiale. La comparaison du projet cynique avec le socratisme et le stoïcisme révèle l'originalité de la démarche proposée par Diogène. Au terme, cette élucidation de la conception cynique de l'ascèse autorise une interprétation nouvelle du passage doxographique laërtien et une vérification de son authenticité.
La voie diogénienne, "raccourci vers la vertu", a été empruntée jusqu'à la fin de l'antiquité par maints adeptes, comme l'atteste le Répertoire, publié en appendice, de tous les Cyniques qu'un inventaire minutieux a permis de découvrir.
Le cynisme, en raison peut-être de son mépris pour la spéculation théorique et de la rareté des textes de contenu doctrinal qui en a résulté, reste le parent pauvre de la philosophie antique. Le présent ouvrage est l'un des premiers à lui être exclusivement consacré. Pour rendre compte d'un passage doxographique, transmis par Diogène Laërce, sur l'ascèse selon Diogène le Cynique, il tente de retrouver, à travers l'analyse d'un riche corpus d'anecdotes et de "dits" diogéniens, l'inspiration fondamentale qui oriente tout le projet philosophique du cynisme ancien.
C'est dans le concept d'ascèse, c'est-à-dire d'un entraînement capable d'assurer le bonheur de l'homme en proie aux vicissitudes de l'existence, que s'exprime cette inspiration initiale. La comparaison du projet cynique avec le socratisme et le stoïcisme révèle l'originalité de la démarche proposée par Diogène. Au terme, cette élucidation de la conception cynique de l'ascèse autorise une interprétation nouvelle du passage doxographique laërtien et une vérification de son authenticité.
La voie diogénienne, "raccourci vers la vertu", a été empruntée jusqu'à la fin de l'antiquité par maints adeptes, comme l'atteste le Répertoire, publié en appendice, de tous les Cyniques qu'un inventaire minutieux a permis de découvrir.
C'est dans le concept d'ascèse, c'est-à-dire d'un entraînement capable d'assurer le bonheur de l'homme en proie aux vicissitudes de l'existence, que s'exprime cette inspiration initiale. La comparaison du projet cynique avec le socratisme et le stoïcisme révèle l'originalité de la démarche proposée par Diogène. Au terme, cette élucidation de la conception cynique de l'ascèse autorise une interprétation nouvelle du passage doxographique laërtien et une vérification de son authenticité.
La voie diogénienne, "raccourci vers la vertu", a été empruntée jusqu'à la fin de l'antiquité par maints adeptes, comme l'atteste le Répertoire, publié en appendice, de tous les Cyniques qu'un inventaire minutieux a permis de découvrir.