L'âme et la corde
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- Nombre de pages304
- PrésentationBroché
- Poids0.332 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 0,2 cm
- ISBN978-2-283-02514-7
- EAN9782283025147
- Date de parution19/10/2013
- ÉditeurBuchet-Chastel
Résumé
"Quand j'ai eu cinq ans, on s'est cotisé pour m'acheter un violon. Depuis ce jour, le violon fait partie de moi-même". Né à Haïfa en 1922, Ivry Gitlis se rend à Paris à l'âge de dix ans pour commencer la carrière de soliste international la moins conformiste et la plus libre qui soit. Premier prix du conservatoire à treize ans, il étudie avec les plus grands violonistes en Belgique, à Londres puis aux Etats-Unis.
Sa participation au concours Marguerite Long-Jacques Thibaud fut l'occasion d'une bataille mémorable entre le jury et le public qui le soutenait. Ce musicien hors normes, qui sera le premier artiste israélien à se produire en URSS, ne connaît pas de frontières et est aussi heureux dans le répertoire classique que dans le jazz ou la musique tzigane. En 1972, il fonde le festival de Vence, célèbre pour le caractère novateur de sa programmation.
Il donne toujours des concerts, et depuis une trentaine d'années se produit souvent au Japon où il est adoré du public. L'Âme et la Corde est l'autobiographie de cet artiste exceptionnel. Parue pour la première fois en 1980, la version éditée aujourd'hui est augmentée du récit des trente années qui viennent de s'écouler. Ivry Gitlis y raconte avec un style inimitable ses relations à son instrument, la musique, le public.
"Il faut jouer comme si c'était pour vous une question de vie ou de mort".
Sa participation au concours Marguerite Long-Jacques Thibaud fut l'occasion d'une bataille mémorable entre le jury et le public qui le soutenait. Ce musicien hors normes, qui sera le premier artiste israélien à se produire en URSS, ne connaît pas de frontières et est aussi heureux dans le répertoire classique que dans le jazz ou la musique tzigane. En 1972, il fonde le festival de Vence, célèbre pour le caractère novateur de sa programmation.
Il donne toujours des concerts, et depuis une trentaine d'années se produit souvent au Japon où il est adoré du public. L'Âme et la Corde est l'autobiographie de cet artiste exceptionnel. Parue pour la première fois en 1980, la version éditée aujourd'hui est augmentée du récit des trente années qui viennent de s'écouler. Ivry Gitlis y raconte avec un style inimitable ses relations à son instrument, la musique, le public.
"Il faut jouer comme si c'était pour vous une question de vie ou de mort".
"Quand j'ai eu cinq ans, on s'est cotisé pour m'acheter un violon. Depuis ce jour, le violon fait partie de moi-même". Né à Haïfa en 1922, Ivry Gitlis se rend à Paris à l'âge de dix ans pour commencer la carrière de soliste international la moins conformiste et la plus libre qui soit. Premier prix du conservatoire à treize ans, il étudie avec les plus grands violonistes en Belgique, à Londres puis aux Etats-Unis.
Sa participation au concours Marguerite Long-Jacques Thibaud fut l'occasion d'une bataille mémorable entre le jury et le public qui le soutenait. Ce musicien hors normes, qui sera le premier artiste israélien à se produire en URSS, ne connaît pas de frontières et est aussi heureux dans le répertoire classique que dans le jazz ou la musique tzigane. En 1972, il fonde le festival de Vence, célèbre pour le caractère novateur de sa programmation.
Il donne toujours des concerts, et depuis une trentaine d'années se produit souvent au Japon où il est adoré du public. L'Âme et la Corde est l'autobiographie de cet artiste exceptionnel. Parue pour la première fois en 1980, la version éditée aujourd'hui est augmentée du récit des trente années qui viennent de s'écouler. Ivry Gitlis y raconte avec un style inimitable ses relations à son instrument, la musique, le public.
"Il faut jouer comme si c'était pour vous une question de vie ou de mort".
Sa participation au concours Marguerite Long-Jacques Thibaud fut l'occasion d'une bataille mémorable entre le jury et le public qui le soutenait. Ce musicien hors normes, qui sera le premier artiste israélien à se produire en URSS, ne connaît pas de frontières et est aussi heureux dans le répertoire classique que dans le jazz ou la musique tzigane. En 1972, il fonde le festival de Vence, célèbre pour le caractère novateur de sa programmation.
Il donne toujours des concerts, et depuis une trentaine d'années se produit souvent au Japon où il est adoré du public. L'Âme et la Corde est l'autobiographie de cet artiste exceptionnel. Parue pour la première fois en 1980, la version éditée aujourd'hui est augmentée du récit des trente années qui viennent de s'écouler. Ivry Gitlis y raconte avec un style inimitable ses relations à son instrument, la musique, le public.
"Il faut jouer comme si c'était pour vous une question de vie ou de mort".