L'a-préhension du réel.. La physique en questions
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- Nombre de pages281
- PrésentationBroché
- Poids0.585 kg
- Dimensions15,3 cm × 23,0 cm × 2,1 cm
- ISBN90-5709-004-X
- EAN9789057090042
- Date de parution01/01/1997
- ÉditeurArchives Contemporaines
Résumé
Le laser et l'ordinateur sont des effets de l'accroissement considérable de nos connaissances objectives. C'est une évidence pour le citoyen sensé qui constate que la science est une activité humaine, liée comme les autres aux enjeux sociaux et déliée de toute croyance. Ce progrès des connaissances est allé de pair avec l'abandon progressif des idées dites scientistes qui tentaient de nous imposer une conception scientifique du monde. Cette situation laisse le champ libre aux questions les plus intéressantes, celles qui sont issues des contenus de l'activité de recherche. On considère ainsi comme un paradoxe le fait que la science et la physique en particulier sont incapables de nous donner une vision plus claire de ce qu'est l'espace ou de ce qu'est un quanton (électron, photon, quark ou toute autre entité de la faune des "particules" élémentaires) alors que les théories relatives à ces objets sont de bonnes théories, et même de très bonnes théories, qui prévoient les phénomènes avec une précision inégalée. Quelles sont les sources de cette apparente contradiction ? Il est possible d'en trouver dans la relation de l'histoire interne de la physique. Mais, pourquoi s'interdire de penser qu'il existe dans le champ de l'histoire générale des idées des concepts utiles au physicien ? Après tout, le philosophe, le psychanalyste, ou le spécialiste es communication sont aussi confrontés à la question du réel et de l'impossible de la représentation. Cet ouvrage se propose de préciser les enjeux que les théories de la relativité et la théorie quantique ont induits et de trouver des "lieux communs" ou l'interdisciplinarité puisse trouver son sens, où le dialogue rompu entre le philosophe et la science puisse être renoué.
Le laser et l'ordinateur sont des effets de l'accroissement considérable de nos connaissances objectives. C'est une évidence pour le citoyen sensé qui constate que la science est une activité humaine, liée comme les autres aux enjeux sociaux et déliée de toute croyance. Ce progrès des connaissances est allé de pair avec l'abandon progressif des idées dites scientistes qui tentaient de nous imposer une conception scientifique du monde. Cette situation laisse le champ libre aux questions les plus intéressantes, celles qui sont issues des contenus de l'activité de recherche. On considère ainsi comme un paradoxe le fait que la science et la physique en particulier sont incapables de nous donner une vision plus claire de ce qu'est l'espace ou de ce qu'est un quanton (électron, photon, quark ou toute autre entité de la faune des "particules" élémentaires) alors que les théories relatives à ces objets sont de bonnes théories, et même de très bonnes théories, qui prévoient les phénomènes avec une précision inégalée. Quelles sont les sources de cette apparente contradiction ? Il est possible d'en trouver dans la relation de l'histoire interne de la physique. Mais, pourquoi s'interdire de penser qu'il existe dans le champ de l'histoire générale des idées des concepts utiles au physicien ? Après tout, le philosophe, le psychanalyste, ou le spécialiste es communication sont aussi confrontés à la question du réel et de l'impossible de la représentation. Cet ouvrage se propose de préciser les enjeux que les théories de la relativité et la théorie quantique ont induits et de trouver des "lieux communs" ou l'interdisciplinarité puisse trouver son sens, où le dialogue rompu entre le philosophe et la science puisse être renoué.