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  • Nombre de pages228
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.19 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-8097-1147-9
  • EAN9782809711479
  • Date de parution07/01/2016
  • CollectionPicquier poche
  • ÉditeurPhilippe Picquier
  • TraducteurCorinne Atlan

Résumé

Dans ce roman, au ton volontairement plus léger que celui des Bébés de la consigne automatique, Murakami a voulu écrire, selon ses propres termes, un «roman sans drogue, sans violence et sans sexe, sur la renaissance et l’espoir». Kyoko a vingt et un ans. Elle est venue à New York à la recherche d’un souvenir d’enfance. Dans cette histoire d’un voyage à travers les Etats-Unis, l’auteur donne tour à tour la parole aux différents personnages qu’elle croise.
Obstinée et ingénue, animée d’un surprenant enthousiasme pour la vie, Kyoko les entraîne malgré eux dans son sillage. Son amour des êtres, sa tendresse et sa compassion naturelle éblouissent autour d’elle les couleurs désastreuses de la vie et renouent les fils de l’espoir pour les amis de rencontre. Véritable quête intérieure, dans un monde multiracial en proie à la violence, Kyoko est un roman initiatique.
Un conte moderne dont la justesse de ton et la sobriété de langage réussissent à maintenir le lecteur dans un perpétuel état d’alerte et d’émotion.
Dans ce roman, au ton volontairement plus léger que celui des Bébés de la consigne automatique, Murakami a voulu écrire, selon ses propres termes, un «roman sans drogue, sans violence et sans sexe, sur la renaissance et l’espoir». Kyoko a vingt et un ans. Elle est venue à New York à la recherche d’un souvenir d’enfance. Dans cette histoire d’un voyage à travers les Etats-Unis, l’auteur donne tour à tour la parole aux différents personnages qu’elle croise.
Obstinée et ingénue, animée d’un surprenant enthousiasme pour la vie, Kyoko les entraîne malgré eux dans son sillage. Son amour des êtres, sa tendresse et sa compassion naturelle éblouissent autour d’elle les couleurs désastreuses de la vie et renouent les fils de l’espoir pour les amis de rencontre. Véritable quête intérieure, dans un monde multiracial en proie à la violence, Kyoko est un roman initiatique.
Un conte moderne dont la justesse de ton et la sobriété de langage réussissent à maintenir le lecteur dans un perpétuel état d’alerte et d’émotion.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4/5
sur 3 notes dont 1 avis lecteur
Kyoko
Kyoko Murakami Ryù Ce récit a la particularité d’être dans la lignée des « Récits chorale » Où chacun des narrateurs raconte l’histoire de Kyoko. L’histoire initiatique, immensément solidaire, soude les personnages dans une même galaxie de bonté. Vers Kyoko qui veut retrouver José, cubain, exilé aux Etats Unis. Cet ancien militaire, fervent danseur, a appris LA DANSE à Kyoko jeune enfant. Ils dansaient au-delà des grilles encerclant l’armée. Echappatoire pour José efféminé mais surtout rejeté des autres militaires et pour Kyoko échappatoire pour son enfance quasi solitaire. Jeune adulte Kyoko part à la recherche de José. Chaque protagoniste de ce récit conte l’histoire de Kyoko, jeune femme éblouissante d’altruisme, de magnanimité, de courage. Elle aura de cesse d’être le fil conducteur de ce récit. Cette jeune femme sera comme un aimant. Sa pureté et sa beauté, sa fragilité, troubleront les êtres rencontrés durant son périple incertain mais volontaire. Elle le retrouvera aidée de chacun, telle une chaîne fraternelle et soudée. José Fernando Cortès se trouve dans un hôpital ou plutôt un centre pour malades du SIDA. La rencontre sera étrange, forte, et troublante. José prénommant Kyoko, du prénom d’une ancienne amie et ne voulant pas reconnaître volontairement Kyoko. José a décoré sa chambre de photos de danses, mais pas celles que lui-même dansait . Sans doute pour effacer cette période de lui où le sida a happé sa vie. Kyoko partira dans un bus aménagé pour José avec lui rejoindre la famille de José pour que ce dernier vive ses derniers jours près de siens. Cette dernière partie de l’histoire est incontestablement la plus tragique. Ils achèteront selon la volonté de José un abat-jour pour la mère de José. Ce dernier mourra avant la fin du périple en voulant sauver Kyoko des mains de violeurs invétérés. José avant sa mort aura trouvé dans le sac de Kyoko les chaussons de danse rose qu’il lui avait offert lorsqu’elle était jeune enfant. A partir de ce moment il la nommera Kyoko. Lorsque José parle à la fin du récit, c’est l’aube qui se lève métaphoriquement. On sent le souffle final de la vague des mots .José arrivera mort chez lui. Ce sera terrible mais le point le plus beau de ce récit. Kyoko partira ensuite visiter Cuba la terre natale de José sentir la danse à pleins poumons. Kyoko en narrateur délivrant un fort potentiel d’émotions dira dans l’épilogue : « Parce que la danse que m’a enseignée José elle est là dans mon corps , elle vit en moi ». Kyoko est un roman sentimental dans le sens le plus profond et le plus sublime. Il délivre une formidable espérance en l’autre. C’est un livre vivant et c’est sans doute pourquoi Kyoko a fait l’objet d’un film. Il marque d’un sceau les consciences, il interpelle et en même temps ,il apaise le lecteur. Evlyne Léraut.
Kyoko Murakami Ryù Ce récit a la particularité d’être dans la lignée des « Récits chorale » Où chacun des narrateurs raconte l’histoire de Kyoko. L’histoire initiatique, immensément solidaire, soude les personnages dans une même galaxie de bonté. Vers Kyoko qui veut retrouver José, cubain, exilé aux Etats Unis. Cet ancien militaire, fervent danseur, a appris LA DANSE à Kyoko jeune enfant. Ils dansaient au-delà des grilles encerclant l’armée. Echappatoire pour José efféminé mais surtout rejeté des autres militaires et pour Kyoko échappatoire pour son enfance quasi solitaire. Jeune adulte Kyoko part à la recherche de José. Chaque protagoniste de ce récit conte l’histoire de Kyoko, jeune femme éblouissante d’altruisme, de magnanimité, de courage. Elle aura de cesse d’être le fil conducteur de ce récit. Cette jeune femme sera comme un aimant. Sa pureté et sa beauté, sa fragilité, troubleront les êtres rencontrés durant son périple incertain mais volontaire. Elle le retrouvera aidée de chacun, telle une chaîne fraternelle et soudée. José Fernando Cortès se trouve dans un hôpital ou plutôt un centre pour malades du SIDA. La rencontre sera étrange, forte, et troublante. José prénommant Kyoko, du prénom d’une ancienne amie et ne voulant pas reconnaître volontairement Kyoko. José a décoré sa chambre de photos de danses, mais pas celles que lui-même dansait . Sans doute pour effacer cette période de lui où le sida a happé sa vie. Kyoko partira dans un bus aménagé pour José avec lui rejoindre la famille de José pour que ce dernier vive ses derniers jours près de siens. Cette dernière partie de l’histoire est incontestablement la plus tragique. Ils achèteront selon la volonté de José un abat-jour pour la mère de José. Ce dernier mourra avant la fin du périple en voulant sauver Kyoko des mains de violeurs invétérés. José avant sa mort aura trouvé dans le sac de Kyoko les chaussons de danse rose qu’il lui avait offert lorsqu’elle était jeune enfant. A partir de ce moment il la nommera Kyoko. Lorsque José parle à la fin du récit, c’est l’aube qui se lève métaphoriquement. On sent le souffle final de la vague des mots .José arrivera mort chez lui. Ce sera terrible mais le point le plus beau de ce récit. Kyoko partira ensuite visiter Cuba la terre natale de José sentir la danse à pleins poumons. Kyoko en narrateur délivrant un fort potentiel d’émotions dira dans l’épilogue : « Parce que la danse que m’a enseignée José elle est là dans mon corps , elle vit en moi ». Kyoko est un roman sentimental dans le sens le plus profond et le plus sublime. Il délivre une formidable espérance en l’autre. C’est un livre vivant et c’est sans doute pourquoi Kyoko a fait l’objet d’un film. Il marque d’un sceau les consciences, il interpelle et en même temps ,il apaise le lecteur. Evlyne Léraut.
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