Kant et les sciences. Un dialogue philosophique avec la pluralité des savoirs

Par : Sophie Grapotte, Mai Lequan, Margit Ruffing

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  • Nombre de pages383
  • PrésentationBroché
  • Poids0.62 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,5 cm
  • ISBN978-2-7116-2401-0
  • EAN9782711624010
  • Date de parution01/10/2011
  • ÉditeurVrin

Résumé

Le présent volume, "Kant et les sciences. Un dialogue philosophique avec la pluralité des savoirs ", correspond à la seconde partie des Actes du 9e Congrès de la Société d'Etudes Kantiennes de Langue Française "Kant, la science et les sciences", qui s'est tenu en 2009 à l'Université Lyon III. Il analyse, non plus en amont la définition kantienne de la science, du savoir, de la scientificité en général, mais cette fois en aval la place des divers savoirs dont Kant a pu traiter.
Par une série d'études consacrées à diverses sciences en contexte kantien, le présent volume étudie comment Kant assigne à chaque science une unité idéale, une région ontique (un domaine d'objets), une méthode, voire une épistémologie, ainsi qu'un mode historique de constitution et de progression propres, avec le constant souci (issu du criticisme) de distinguer les sciences, de ne jamais confondre leurs limites.
Ce volume révèle ainsi un Kant, non pas seulement théoricien de la science, mais théoricien, voire praticien des sciences en leur pluralité. Kant y apparaît comme étant lui-même un Naturforscher, physicien, scientifique, savant dans les sciences de la nature au sens le plus large. Ce volume souligne l'apport de Kant à un grand nombre de sciences de son temps (mathématique, physique, chimie, biologie naissante, géographie physique, cosmologie, astronomie, mais aussi sciences qualifiées aujourd'hui de sciences de l'esprit ou de l'homme, comme anthropologie ou psychologie), comme en attestent les nombreux opuscules scientifiques que Kant consacre, de 1754 à 1794, à divers sujets de science physique ou d'histoire naturelle (séismes, volcans, marées, climats, vents, influence de la Lune sur la Terre, modification de la vitesse de rotation axiale de la Terre, météores, comètes, etc.).
Lecteur attentif des revues et manuels scientifiques de son temps, Kant se révèle être un acteur essentiel du dialogue entre philosophie et sciences, dans le contexte culturel et institutionnel favorable de l'Allemagne de la fin du XVIIIe siècle.
Le présent volume, "Kant et les sciences. Un dialogue philosophique avec la pluralité des savoirs ", correspond à la seconde partie des Actes du 9e Congrès de la Société d'Etudes Kantiennes de Langue Française "Kant, la science et les sciences", qui s'est tenu en 2009 à l'Université Lyon III. Il analyse, non plus en amont la définition kantienne de la science, du savoir, de la scientificité en général, mais cette fois en aval la place des divers savoirs dont Kant a pu traiter.
Par une série d'études consacrées à diverses sciences en contexte kantien, le présent volume étudie comment Kant assigne à chaque science une unité idéale, une région ontique (un domaine d'objets), une méthode, voire une épistémologie, ainsi qu'un mode historique de constitution et de progression propres, avec le constant souci (issu du criticisme) de distinguer les sciences, de ne jamais confondre leurs limites.
Ce volume révèle ainsi un Kant, non pas seulement théoricien de la science, mais théoricien, voire praticien des sciences en leur pluralité. Kant y apparaît comme étant lui-même un Naturforscher, physicien, scientifique, savant dans les sciences de la nature au sens le plus large. Ce volume souligne l'apport de Kant à un grand nombre de sciences de son temps (mathématique, physique, chimie, biologie naissante, géographie physique, cosmologie, astronomie, mais aussi sciences qualifiées aujourd'hui de sciences de l'esprit ou de l'homme, comme anthropologie ou psychologie), comme en attestent les nombreux opuscules scientifiques que Kant consacre, de 1754 à 1794, à divers sujets de science physique ou d'histoire naturelle (séismes, volcans, marées, climats, vents, influence de la Lune sur la Terre, modification de la vitesse de rotation axiale de la Terre, météores, comètes, etc.).
Lecteur attentif des revues et manuels scientifiques de son temps, Kant se révèle être un acteur essentiel du dialogue entre philosophie et sciences, dans le contexte culturel et institutionnel favorable de l'Allemagne de la fin du XVIIIe siècle.