Journal du voyage fait à la mer du Sud
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- Nombre de pages269
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.184 kg
- Dimensions10,9 cm × 17,8 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-38094-313-9
- EAN9782380943139
- Date de parution23/11/2022
- CollectionChronos
- ÉditeurNouveau monde
- PréfacierPatrick Villiers
Résumé
Comme les écrits de William Dampier et Alexandre-Olivier Exmelin, le journal de Jacques Raveneau de Lussan est un des grands récits de pirate du Grand Siècle. De la vie du marin peu de choses sont connues. Né à Paris vers 1663, fils d'un notaire royal, il serait mort vers 1690 à Saint-Domingue. L'homme n'a pas toujours été dans la flibuste, il a d'abord entamé une carrière conventionnelle dans la guerre de course.
Son récit nous embarque dans un périple entrepris à la fin de l'année 1684. Sa destination : la mer du Sud, au large des côtes du Pérou. Ses objectifs : piller autant que possible les vaisseaux de l'Amérique espagnole. Depuis 1680, le secrétaire d'Etat à la Marine de Louis XIV Seignelay, fils de Colbert, cherche pourtant à interdire les campagnes flibustières. Tôt ou tard, sur les mers et océans du globe, la France devra combattre ses puissances rivales, et la Marine du Roi ne saurait tolérer le moindre affront venu des bateaux pirates.
Durant des années cependant, l'interdiction tarde à être appliquée, laissant à Raveneau de Lussan et ses compagnons d'armes la liberté de voguer et de combattre dans les Caraïbes et la mer du Sud. Ce témoignage fait ainsi revivre le Grand Siècle de la flibuste. Il nous dévoile les lieux marins que privilégient les pirates pour l'abordage, nous fait contempler les richesses pillées qu'ils partagent, et nous emmène, aussi, pour quelques escales, sur la terre ferme.
Comme par exemple au Rendez-vous de l'île d'Or, près de l'archipel de San Blas, où les flibustiers du monde se retrouvent chaque année pour franchir, avec l'aide des Indiens Kunas, l'isthme de Panama, et foncer dans la mer du Sud vers de nouveaux butins en territoire espagnol...
Son récit nous embarque dans un périple entrepris à la fin de l'année 1684. Sa destination : la mer du Sud, au large des côtes du Pérou. Ses objectifs : piller autant que possible les vaisseaux de l'Amérique espagnole. Depuis 1680, le secrétaire d'Etat à la Marine de Louis XIV Seignelay, fils de Colbert, cherche pourtant à interdire les campagnes flibustières. Tôt ou tard, sur les mers et océans du globe, la France devra combattre ses puissances rivales, et la Marine du Roi ne saurait tolérer le moindre affront venu des bateaux pirates.
Durant des années cependant, l'interdiction tarde à être appliquée, laissant à Raveneau de Lussan et ses compagnons d'armes la liberté de voguer et de combattre dans les Caraïbes et la mer du Sud. Ce témoignage fait ainsi revivre le Grand Siècle de la flibuste. Il nous dévoile les lieux marins que privilégient les pirates pour l'abordage, nous fait contempler les richesses pillées qu'ils partagent, et nous emmène, aussi, pour quelques escales, sur la terre ferme.
Comme par exemple au Rendez-vous de l'île d'Or, près de l'archipel de San Blas, où les flibustiers du monde se retrouvent chaque année pour franchir, avec l'aide des Indiens Kunas, l'isthme de Panama, et foncer dans la mer du Sud vers de nouveaux butins en territoire espagnol...
Comme les écrits de William Dampier et Alexandre-Olivier Exmelin, le journal de Jacques Raveneau de Lussan est un des grands récits de pirate du Grand Siècle. De la vie du marin peu de choses sont connues. Né à Paris vers 1663, fils d'un notaire royal, il serait mort vers 1690 à Saint-Domingue. L'homme n'a pas toujours été dans la flibuste, il a d'abord entamé une carrière conventionnelle dans la guerre de course.
Son récit nous embarque dans un périple entrepris à la fin de l'année 1684. Sa destination : la mer du Sud, au large des côtes du Pérou. Ses objectifs : piller autant que possible les vaisseaux de l'Amérique espagnole. Depuis 1680, le secrétaire d'Etat à la Marine de Louis XIV Seignelay, fils de Colbert, cherche pourtant à interdire les campagnes flibustières. Tôt ou tard, sur les mers et océans du globe, la France devra combattre ses puissances rivales, et la Marine du Roi ne saurait tolérer le moindre affront venu des bateaux pirates.
Durant des années cependant, l'interdiction tarde à être appliquée, laissant à Raveneau de Lussan et ses compagnons d'armes la liberté de voguer et de combattre dans les Caraïbes et la mer du Sud. Ce témoignage fait ainsi revivre le Grand Siècle de la flibuste. Il nous dévoile les lieux marins que privilégient les pirates pour l'abordage, nous fait contempler les richesses pillées qu'ils partagent, et nous emmène, aussi, pour quelques escales, sur la terre ferme.
Comme par exemple au Rendez-vous de l'île d'Or, près de l'archipel de San Blas, où les flibustiers du monde se retrouvent chaque année pour franchir, avec l'aide des Indiens Kunas, l'isthme de Panama, et foncer dans la mer du Sud vers de nouveaux butins en territoire espagnol...
Son récit nous embarque dans un périple entrepris à la fin de l'année 1684. Sa destination : la mer du Sud, au large des côtes du Pérou. Ses objectifs : piller autant que possible les vaisseaux de l'Amérique espagnole. Depuis 1680, le secrétaire d'Etat à la Marine de Louis XIV Seignelay, fils de Colbert, cherche pourtant à interdire les campagnes flibustières. Tôt ou tard, sur les mers et océans du globe, la France devra combattre ses puissances rivales, et la Marine du Roi ne saurait tolérer le moindre affront venu des bateaux pirates.
Durant des années cependant, l'interdiction tarde à être appliquée, laissant à Raveneau de Lussan et ses compagnons d'armes la liberté de voguer et de combattre dans les Caraïbes et la mer du Sud. Ce témoignage fait ainsi revivre le Grand Siècle de la flibuste. Il nous dévoile les lieux marins que privilégient les pirates pour l'abordage, nous fait contempler les richesses pillées qu'ils partagent, et nous emmène, aussi, pour quelques escales, sur la terre ferme.
Comme par exemple au Rendez-vous de l'île d'Or, près de l'archipel de San Blas, où les flibustiers du monde se retrouvent chaque année pour franchir, avec l'aide des Indiens Kunas, l'isthme de Panama, et foncer dans la mer du Sud vers de nouveaux butins en territoire espagnol...