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Jean-Abram Noverraz. Le dernier Vaudois de Napoléon
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- Nombre de pages160
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.366 kg
- Dimensions15,0 cm × 22,0 cm × 0,9 cm
- ISBN978-2-88295-907-2
- EAN9782882959072
- Date de parution28/05/2021
- ÉditeurCabédita
Résumé
Le nom de Jean-Abram Noverraz interpelle tout passionné de Napoléon qui se respecte, car il a été l'un de ses serviteurs les plus dévoués, et ce jusqu'à son dernier souffle et même bien au-delà. Connu pour sa présence sur le célèbre tableau présentant l'empereur au moment de son trépas, on le voit agenouillé au pied du lit. Mais pourquoi se trouve-t-il sur cette image ? Qui est vraiment ce Vaudois atypique, valet de chambre et courrier, simple civil perdu dans l'histoire tumultueuse de son temps, parmi des milliers de militaires du même canton sacrifiés sur les champs de bataille de l'insatiable empereur.
Modeste, certes, et pourtant essentielle présence auprès de Napoléon qui le surnommait affectueusement son "bon ours d'Helvétie". Lui-même paya de sa personne au printemps 1814, afin de préserver la vie de l'empereur en partance pour l'exil, et fut témoin privilégié au plus près du déclenchement des grands bouleversements historiques lancés par son maître, sur la mémoire et l'héritage duquel ce dernier Vaudois de Napoléon prit soin de veiller.
Modeste, certes, et pourtant essentielle présence auprès de Napoléon qui le surnommait affectueusement son "bon ours d'Helvétie". Lui-même paya de sa personne au printemps 1814, afin de préserver la vie de l'empereur en partance pour l'exil, et fut témoin privilégié au plus près du déclenchement des grands bouleversements historiques lancés par son maître, sur la mémoire et l'héritage duquel ce dernier Vaudois de Napoléon prit soin de veiller.
Le nom de Jean-Abram Noverraz interpelle tout passionné de Napoléon qui se respecte, car il a été l'un de ses serviteurs les plus dévoués, et ce jusqu'à son dernier souffle et même bien au-delà. Connu pour sa présence sur le célèbre tableau présentant l'empereur au moment de son trépas, on le voit agenouillé au pied du lit. Mais pourquoi se trouve-t-il sur cette image ? Qui est vraiment ce Vaudois atypique, valet de chambre et courrier, simple civil perdu dans l'histoire tumultueuse de son temps, parmi des milliers de militaires du même canton sacrifiés sur les champs de bataille de l'insatiable empereur.
Modeste, certes, et pourtant essentielle présence auprès de Napoléon qui le surnommait affectueusement son "bon ours d'Helvétie". Lui-même paya de sa personne au printemps 1814, afin de préserver la vie de l'empereur en partance pour l'exil, et fut témoin privilégié au plus près du déclenchement des grands bouleversements historiques lancés par son maître, sur la mémoire et l'héritage duquel ce dernier Vaudois de Napoléon prit soin de veiller.
Modeste, certes, et pourtant essentielle présence auprès de Napoléon qui le surnommait affectueusement son "bon ours d'Helvétie". Lui-même paya de sa personne au printemps 1814, afin de préserver la vie de l'empereur en partance pour l'exil, et fut témoin privilégié au plus près du déclenchement des grands bouleversements historiques lancés par son maître, sur la mémoire et l'héritage duquel ce dernier Vaudois de Napoléon prit soin de veiller.