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Je ne lui ai pas dit au revoir. Des enfants de déportés parlent
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- Nombre de pages210
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.17 kg
- Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 1,2 cm
- ISBN2-07-040085-9
- EAN9782070400850
- Date de parution01/11/1996
- CollectionFolio
- ÉditeurGallimard
- PostfacierBruno Bettelheim
Résumé
" Si j'avais pu oublier totalement le passé, peut-être j'aurais pu vivre comme les autres, être heureux de ce que j'ai, et ne plus penser à ce que je n'ai plus. Je n'ai pas de photos de mes parents, je n'ai pas leur dernière lettre ; je n'ai pas de tombe où me recueillir. Un seul document : Disparus... Auschwitz 1943 ". Ainsi s'exprime un de ceux qui ont accepté de s'entretenir avec Claudine Vegh.
Tous sont des orphelins juifs dont les parents sont morts dans les camps. A cette époque, ils avaient entre cinq et treize ans. Ils ont encore l'impression de vivre " par accident ". Comme l'exprime Bruno Bettelheim dans la postface : pour ces enfants, le deuil s'est avéré impossible. Et des années après, au cours de leur entretien, c'est toujours la même plainte : " Je ne lui ai pas dit au revoir ".
Tous sont des orphelins juifs dont les parents sont morts dans les camps. A cette époque, ils avaient entre cinq et treize ans. Ils ont encore l'impression de vivre " par accident ". Comme l'exprime Bruno Bettelheim dans la postface : pour ces enfants, le deuil s'est avéré impossible. Et des années après, au cours de leur entretien, c'est toujours la même plainte : " Je ne lui ai pas dit au revoir ".
" Si j'avais pu oublier totalement le passé, peut-être j'aurais pu vivre comme les autres, être heureux de ce que j'ai, et ne plus penser à ce que je n'ai plus. Je n'ai pas de photos de mes parents, je n'ai pas leur dernière lettre ; je n'ai pas de tombe où me recueillir. Un seul document : Disparus... Auschwitz 1943 ". Ainsi s'exprime un de ceux qui ont accepté de s'entretenir avec Claudine Vegh.
Tous sont des orphelins juifs dont les parents sont morts dans les camps. A cette époque, ils avaient entre cinq et treize ans. Ils ont encore l'impression de vivre " par accident ". Comme l'exprime Bruno Bettelheim dans la postface : pour ces enfants, le deuil s'est avéré impossible. Et des années après, au cours de leur entretien, c'est toujours la même plainte : " Je ne lui ai pas dit au revoir ".
Tous sont des orphelins juifs dont les parents sont morts dans les camps. A cette époque, ils avaient entre cinq et treize ans. Ils ont encore l'impression de vivre " par accident ". Comme l'exprime Bruno Bettelheim dans la postface : pour ces enfants, le deuil s'est avéré impossible. Et des années après, au cours de leur entretien, c'est toujours la même plainte : " Je ne lui ai pas dit au revoir ".