James Fillis. L'écuyer de l'Europe
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- Nombre de pages290
- PrésentationBroché
- Poids0.49 kg
- Dimensions15,2 cm × 22,0 cm × 2,5 cm
- ISBN978-2-7011-9647-3
- EAN9782701196473
- Date de parution05/10/2016
- CollectionHistoire et culture équestres
- ÉditeurBelin
- PréfacierPierre Durand
Résumé
Né à Londres, James Fillis (1834-1913) vint très jeune en France. Issu du monde du cirque, il côtoya d'abord Baucher, dont il fut tant admirateur que critique. Ecuyer chez Victor Franconi à Paris, il connut la gloire lors de présentations publiques de chevaux dressés en Haute-Ecole dans les années 1880-1890. Personnage hors du commun, montant jusqu'à seize chevaux par jour, James Fillis s'est intéressé à toutes les formes d'équitation.
Inscrivant sa doctrine dans la tradition de l'Ecole française, il fut aussi un auteur de renom. Fêté dans toute l'Europe, il devint écuyer en chef de l'Ecole centrale de cavalerie de Saint-Pétersbourg en 1898. Il y enseigna jusqu'en 1910 et peut être à bon droit considéré comme le père de l'école russe de dressage dont Filatov, médaillé d'or aux jeux olympiques de Rome en 1960, fut le digne représentant.
Son esprit critique et son fort tempérament, comme le goût qu'il avait pour les défis équestres (celui avec Saint-Phalle demeure le plus connu) lui attirèrent de nombreuses inimitiés. Mais le succès jamais démenti de son principal ouvrage, Principes de dressage et d'équitation (1890), rédigé avec l'aide de Georges Clemenceau, son élève et ami, prouve le rayonnement de son enseignement qui s'étendit jusqu'aux Etats-Unis d'Amérique.
Inscrivant sa doctrine dans la tradition de l'Ecole française, il fut aussi un auteur de renom. Fêté dans toute l'Europe, il devint écuyer en chef de l'Ecole centrale de cavalerie de Saint-Pétersbourg en 1898. Il y enseigna jusqu'en 1910 et peut être à bon droit considéré comme le père de l'école russe de dressage dont Filatov, médaillé d'or aux jeux olympiques de Rome en 1960, fut le digne représentant.
Son esprit critique et son fort tempérament, comme le goût qu'il avait pour les défis équestres (celui avec Saint-Phalle demeure le plus connu) lui attirèrent de nombreuses inimitiés. Mais le succès jamais démenti de son principal ouvrage, Principes de dressage et d'équitation (1890), rédigé avec l'aide de Georges Clemenceau, son élève et ami, prouve le rayonnement de son enseignement qui s'étendit jusqu'aux Etats-Unis d'Amérique.
Né à Londres, James Fillis (1834-1913) vint très jeune en France. Issu du monde du cirque, il côtoya d'abord Baucher, dont il fut tant admirateur que critique. Ecuyer chez Victor Franconi à Paris, il connut la gloire lors de présentations publiques de chevaux dressés en Haute-Ecole dans les années 1880-1890. Personnage hors du commun, montant jusqu'à seize chevaux par jour, James Fillis s'est intéressé à toutes les formes d'équitation.
Inscrivant sa doctrine dans la tradition de l'Ecole française, il fut aussi un auteur de renom. Fêté dans toute l'Europe, il devint écuyer en chef de l'Ecole centrale de cavalerie de Saint-Pétersbourg en 1898. Il y enseigna jusqu'en 1910 et peut être à bon droit considéré comme le père de l'école russe de dressage dont Filatov, médaillé d'or aux jeux olympiques de Rome en 1960, fut le digne représentant.
Son esprit critique et son fort tempérament, comme le goût qu'il avait pour les défis équestres (celui avec Saint-Phalle demeure le plus connu) lui attirèrent de nombreuses inimitiés. Mais le succès jamais démenti de son principal ouvrage, Principes de dressage et d'équitation (1890), rédigé avec l'aide de Georges Clemenceau, son élève et ami, prouve le rayonnement de son enseignement qui s'étendit jusqu'aux Etats-Unis d'Amérique.
Inscrivant sa doctrine dans la tradition de l'Ecole française, il fut aussi un auteur de renom. Fêté dans toute l'Europe, il devint écuyer en chef de l'Ecole centrale de cavalerie de Saint-Pétersbourg en 1898. Il y enseigna jusqu'en 1910 et peut être à bon droit considéré comme le père de l'école russe de dressage dont Filatov, médaillé d'or aux jeux olympiques de Rome en 1960, fut le digne représentant.
Son esprit critique et son fort tempérament, comme le goût qu'il avait pour les défis équestres (celui avec Saint-Phalle demeure le plus connu) lui attirèrent de nombreuses inimitiés. Mais le succès jamais démenti de son principal ouvrage, Principes de dressage et d'équitation (1890), rédigé avec l'aide de Georges Clemenceau, son élève et ami, prouve le rayonnement de son enseignement qui s'étendit jusqu'aux Etats-Unis d'Amérique.