"Jacques le Fataliste" et "Le Compère Mathieu", deux romans-dialogues. Ou les "bigarrures" du dialogue philosophique et esthétique

Par : Annick Azerhad
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  • Nombre de pages274
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Dimensions15,5 cm × 23,5 cm × 0,0 cm
  • ISBN978-2-7453-6267-4
  • EAN9782745362674
  • Date de parution07/03/2025
  • CollectionLes dix-huitièmes siècles
  • ÉditeurHonoré Champion

Résumé

Jacques le Fataliste et Le Compère Mathieu donnent naissance à une nouvelle forme d'écriture qui sert la démarche philosophique de Dulaurens et de Diderot. Le dialogue en est la composante essentielle et structure les deux oeuvres. Tandis que les personnages parlent sans discontinuer, satisfaisant un besoin vital, la parole est mise à l'épreuve et interrogée en permanence. Quelles sont les vertus et les limites de l'échange dialogué ? Donne-t-il accès à une vérité, du moins à une sagesse ? Comment interroge-t-il les concepts des Lumières et en examine-t-il les apories ? L'interpénétration entre le dialogue et le genre du roman permet de tirer parti de l'expérience de personnages vivant des aventures dans la durée et se questionnant au fur et à mesure de leur confrontation aux événements.
Comment le caractère ludique de la fiction romanesque favorise-t-il l'expérimentation de situations extrêmes et comment pousse-t-il le dialogue philosophique dans ses derniers retranchements, tant sur le plan du contenu que sur celui de sa forme ?
Jacques le Fataliste et Le Compère Mathieu donnent naissance à une nouvelle forme d'écriture qui sert la démarche philosophique de Dulaurens et de Diderot. Le dialogue en est la composante essentielle et structure les deux oeuvres. Tandis que les personnages parlent sans discontinuer, satisfaisant un besoin vital, la parole est mise à l'épreuve et interrogée en permanence. Quelles sont les vertus et les limites de l'échange dialogué ? Donne-t-il accès à une vérité, du moins à une sagesse ? Comment interroge-t-il les concepts des Lumières et en examine-t-il les apories ? L'interpénétration entre le dialogue et le genre du roman permet de tirer parti de l'expérience de personnages vivant des aventures dans la durée et se questionnant au fur et à mesure de leur confrontation aux événements.
Comment le caractère ludique de la fiction romanesque favorise-t-il l'expérimentation de situations extrêmes et comment pousse-t-il le dialogue philosophique dans ses derniers retranchements, tant sur le plan du contenu que sur celui de sa forme ?