Ils ont préféré en finir. Le suicide des chefs nazis

Par : Philippe Valode
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  • Nombre de pages261
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.3 kg
  • Dimensions14,2 cm × 22,7 cm × 2,1 cm
  • ISBN978-2-8098-4510-5
  • EAN9782809845105
  • Date de parution09/11/2023
  • ÉditeurArchipel (L')

Résumé

En 1945, quelque 20 000 Allemands se donnent la mort. Parmi eux, pas moins de 200 dignitaires nazis suivent la voie indiquée par Hitler et se suicident à leur tour. En détaillant le cas des nazis les plus célèbres (Rommel, Hitler, Goebbels, Goering, Himmler, Hess), Philippe Valode en explique les raisons et replace ce " phénomène " dans le contexte de la victoire alliée. Rommel, Goebbels, Goering, Himmler, Hess...
Ces dignitaires nazis qui choisirent d'imiter le Führer 30 avril 1945, aux alentours de 15 h 20. En se donnant la mort avec celle qu'il vient tout juste d'épouser, Eva Braun, Adolf Hitler déclenche une réaction en chaîne parmi l'élite de l'Etat nazi. Cyanure, pendaison, arme à feu... Cette voie suicidaire, ses plus proches collaborateurs vont en effet la suivre : Goebbels immédiatement, les autres contraints et forcés, à des échéances plus ou moins lointaines.
Paradoxe : les deux hommes les plus proches de Hitler, mais aussi les plus puissants du Reich, le Reichsführer Goering et le Reichsführer SS Himmler, n'ont aucune envie de se sacrifier lorsque tout apparaît perdu. Le suicide du Führer ne les convainc nullement de leur propre perdition. Le premier espère pouvoir négocier avec les Américains et devenir ministre des Affaires étrangères de la future Allemagne, alors que le second s'estime le mieux placé pour assurer la transition et joue sa carte personnelle en traitant avec les Alliés par l'intermédiaire de la Suède.
La condamnation à mort de Goering à Nuremberg et la capture de Himmler vont les contraindre à choisir une fin imprévue. Si le suicide du premier est certain, le doute plane encore sur celui du second... Dans les jours qui suivent, parfois un peu plus tard, au moins deux cents chefs nazis se donnent la mort. Leurs motivations sont variées : échapper à un juste châtiment face à des Alliés déterminés à faire payer les criminels, refuser le temps de la défaite et celui de la destruction de l'Etat national-socialiste.
Beaucoup de nazis n'acceptent pas de considérer leurs crimes comme tels et cherchent donc, dans le suicide ou la fuite, une solution définitive.
En 1945, quelque 20 000 Allemands se donnent la mort. Parmi eux, pas moins de 200 dignitaires nazis suivent la voie indiquée par Hitler et se suicident à leur tour. En détaillant le cas des nazis les plus célèbres (Rommel, Hitler, Goebbels, Goering, Himmler, Hess), Philippe Valode en explique les raisons et replace ce " phénomène " dans le contexte de la victoire alliée. Rommel, Goebbels, Goering, Himmler, Hess...
Ces dignitaires nazis qui choisirent d'imiter le Führer 30 avril 1945, aux alentours de 15 h 20. En se donnant la mort avec celle qu'il vient tout juste d'épouser, Eva Braun, Adolf Hitler déclenche une réaction en chaîne parmi l'élite de l'Etat nazi. Cyanure, pendaison, arme à feu... Cette voie suicidaire, ses plus proches collaborateurs vont en effet la suivre : Goebbels immédiatement, les autres contraints et forcés, à des échéances plus ou moins lointaines.
Paradoxe : les deux hommes les plus proches de Hitler, mais aussi les plus puissants du Reich, le Reichsführer Goering et le Reichsführer SS Himmler, n'ont aucune envie de se sacrifier lorsque tout apparaît perdu. Le suicide du Führer ne les convainc nullement de leur propre perdition. Le premier espère pouvoir négocier avec les Américains et devenir ministre des Affaires étrangères de la future Allemagne, alors que le second s'estime le mieux placé pour assurer la transition et joue sa carte personnelle en traitant avec les Alliés par l'intermédiaire de la Suède.
La condamnation à mort de Goering à Nuremberg et la capture de Himmler vont les contraindre à choisir une fin imprévue. Si le suicide du premier est certain, le doute plane encore sur celui du second... Dans les jours qui suivent, parfois un peu plus tard, au moins deux cents chefs nazis se donnent la mort. Leurs motivations sont variées : échapper à un juste châtiment face à des Alliés déterminés à faire payer les criminels, refuser le temps de la défaite et celui de la destruction de l'Etat national-socialiste.
Beaucoup de nazis n'acceptent pas de considérer leurs crimes comme tels et cherchent donc, dans le suicide ou la fuite, une solution définitive.
Lyon d'Antan
Philippe Valode, Francis Guyot
Grand Format
29,90 €