Grenoble, le voyage immobile. Une année place Victor Hugo en cent haïkus de square
Par : ,Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 26 juin et le 2 juilletCet article sera commandé chez un fournisseur et sera expédié 6 à 12 jours après la date de votre commande.
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 26 juin et le 2 juillet
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages102
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.158 kg
- Dimensions13,0 cm × 19,0 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-36868-610-2
- EAN9782368686102
- Date de parution22/11/2019
- ÉditeurStellamaris
- PréfacierMartine Jullian
- PostfacierPhilippe Boué
Résumé
Qui a jamais osé demander à Hector Berlioz, depuis qu'à l'exemple du Penseur de Rodin, il s'est posé le menton sur la main il y a soixante-cinq ans, à quoi donc il pense... ? A la prochaine Symphonie Fantastique ? Au drame de Roméo et Juliette ? Ou encore à Victor Hugo, son exact contemporain, l'immense écrivain qui a donné son nom illustre à cette grande Place de notre ville où il médite chaque jour sans bouger ? Vingt-huit impressions ou images fugaces d'un voyage immobile pour chaque saison qui passe, brossées à la diable sur un banc un jour ou bien un autre, dans ce grand square au coeur de la ville qui s'est voulue un jour capitale, en trois maigres lignes de haïkus pour ceux et celles qui comme moi, continuent à s'émerveiller de ce qui reste encore la plus grande beauté du Monde : celle du quotidien...
Qui a jamais osé demander à Hector Berlioz, depuis qu'à l'exemple du Penseur de Rodin, il s'est posé le menton sur la main il y a soixante-cinq ans, à quoi donc il pense... ? A la prochaine Symphonie Fantastique ? Au drame de Roméo et Juliette ? Ou encore à Victor Hugo, son exact contemporain, l'immense écrivain qui a donné son nom illustre à cette grande Place de notre ville où il médite chaque jour sans bouger ? Vingt-huit impressions ou images fugaces d'un voyage immobile pour chaque saison qui passe, brossées à la diable sur un banc un jour ou bien un autre, dans ce grand square au coeur de la ville qui s'est voulue un jour capitale, en trois maigres lignes de haïkus pour ceux et celles qui comme moi, continuent à s'émerveiller de ce qui reste encore la plus grande beauté du Monde : celle du quotidien...