Grammairiens et philosophes dans l'Antiquité gréco-romaine

Par : Brigitte Pérez, Michel Griffe

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  • Nombre de pages248
  • PrésentationBroché
  • Poids0.56 kg
  • Dimensions1,6 cm × 2,4 cm × 0,0 cm
  • ISBN978-2-84269-838-6
  • EAN9782842698386
  • Date de parution01/07/2008
  • ÉditeurPULM

Résumé

La grammaire est née en Grèce avec la diffusion progressive de l'écriture phénicienne à partir du IXe siècle avant J. -C. et de son enseignement aux enfants dans les cités. Avec les Stoïciens, la grammaire conquiert un statut bien défini dans la philosophie, entre la logique et la dialectique. Elle perfectionne ses concepts, les catégories grammaticales, entre autres, et l'étymologie des mots, sans devenir pour autant une science du langage indépendante.
A Rome, la grammaire a eu un succès considérable : les élites politiques estimaient qu'on ne pouvait prétendre gouverner le monde sans maîtriser le latin, appelé à devenir la première langue administrative de l'empire. La latinitas, pendant exact de l'hellenismos, conserve l'exigence systématique de la tradition philosophique, tandis qu'elle acquiert des nécessités de l'enseignement une ambition normative.
Les études ici réunies apportent des regards croisés de philosophes, de philologues et de linguistes sur leurs disciplines d'enseignement et leurs représentants antiques.
La grammaire est née en Grèce avec la diffusion progressive de l'écriture phénicienne à partir du IXe siècle avant J. -C. et de son enseignement aux enfants dans les cités. Avec les Stoïciens, la grammaire conquiert un statut bien défini dans la philosophie, entre la logique et la dialectique. Elle perfectionne ses concepts, les catégories grammaticales, entre autres, et l'étymologie des mots, sans devenir pour autant une science du langage indépendante.
A Rome, la grammaire a eu un succès considérable : les élites politiques estimaient qu'on ne pouvait prétendre gouverner le monde sans maîtriser le latin, appelé à devenir la première langue administrative de l'empire. La latinitas, pendant exact de l'hellenismos, conserve l'exigence systématique de la tradition philosophique, tandis qu'elle acquiert des nécessités de l'enseignement une ambition normative.
Les études ici réunies apportent des regards croisés de philosophes, de philologues et de linguistes sur leurs disciplines d'enseignement et leurs représentants antiques.