Giron Frères. Histoires de velours, du ruban à l'étoffe 1820-1980
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- Nombre de pages132
- PrésentationBroché
- Poids0.725 kg
- Dimensions21,5 cm × 30,0 cm × 1,1 cm
- ISBN2-901282-06-7
- EAN9782901282068
- Date de parution01/02/2005
- ÉditeurMusée d'art et d'industrie
Résumé
Séduisant et étonnant, d'antique mémoire, et pourtant matière de nouveau convoitée par la mode, le velours noue plus d'un fil de son histoire avec la ville de Saint-Etienne. Cette notoriété revient en grande partie à la manufacture de rubans et velours
Giron Frères qui fut l'une des plus grandes entreprises textiles de la région stéphanoise, et l'un des trois principaux fabricants de velours au niveau mondial.
L'histoire atypique de cette manufacture a pu être redécouverte grâce aux archives, aux objets, échantillons, bustes, photographies, conservés par les Archives départementales de la Loire, le musée d'Art et d'Industrie ou les descendants de la famille Giron. Etablis en 1851 fabricants donneurs d'ordres, comme leurs confrères rubaniers et soyeux, ces fils de passementiers, Antoine et Marcellin Giron, démontrent très vite leur originalité et leur mordant.
Après un voyage en Amérique, ils prennent l'initiative incroyable de bâtir une immense usine en ville et ouvrent en 1867 la manufacture Chantegrillet. Bien plus, en pleine crise de velours, dans les années 1880, ils soufflent à leur concurrent de Krefeld en Allemagne, la production de l'étoffe velours. Les successeurs de ces pionniers porteront encore le nom de Giron et de ses marques, tel " Bellissime ", aux quatre coins du monde, et dans toute la presse féminine.
En 1980, après 160 ans de règne sur le velours, Giron Frères, ne pouvant faire face à la crise de la mode, est en liquidation, à la stupeur générale. Après la fermeture de l'entreprise, les bâtiments de l'usine de Chantegrillet ont été reconvertis ; ils forment aujourd'hui le parc Giron qui perpétue dans le paysage stéphanois la mémoire de cette activité industrielle disparue.
L'histoire atypique de cette manufacture a pu être redécouverte grâce aux archives, aux objets, échantillons, bustes, photographies, conservés par les Archives départementales de la Loire, le musée d'Art et d'Industrie ou les descendants de la famille Giron. Etablis en 1851 fabricants donneurs d'ordres, comme leurs confrères rubaniers et soyeux, ces fils de passementiers, Antoine et Marcellin Giron, démontrent très vite leur originalité et leur mordant.
Après un voyage en Amérique, ils prennent l'initiative incroyable de bâtir une immense usine en ville et ouvrent en 1867 la manufacture Chantegrillet. Bien plus, en pleine crise de velours, dans les années 1880, ils soufflent à leur concurrent de Krefeld en Allemagne, la production de l'étoffe velours. Les successeurs de ces pionniers porteront encore le nom de Giron et de ses marques, tel " Bellissime ", aux quatre coins du monde, et dans toute la presse féminine.
En 1980, après 160 ans de règne sur le velours, Giron Frères, ne pouvant faire face à la crise de la mode, est en liquidation, à la stupeur générale. Après la fermeture de l'entreprise, les bâtiments de l'usine de Chantegrillet ont été reconvertis ; ils forment aujourd'hui le parc Giron qui perpétue dans le paysage stéphanois la mémoire de cette activité industrielle disparue.
Séduisant et étonnant, d'antique mémoire, et pourtant matière de nouveau convoitée par la mode, le velours noue plus d'un fil de son histoire avec la ville de Saint-Etienne. Cette notoriété revient en grande partie à la manufacture de rubans et velours
Giron Frères qui fut l'une des plus grandes entreprises textiles de la région stéphanoise, et l'un des trois principaux fabricants de velours au niveau mondial.
L'histoire atypique de cette manufacture a pu être redécouverte grâce aux archives, aux objets, échantillons, bustes, photographies, conservés par les Archives départementales de la Loire, le musée d'Art et d'Industrie ou les descendants de la famille Giron. Etablis en 1851 fabricants donneurs d'ordres, comme leurs confrères rubaniers et soyeux, ces fils de passementiers, Antoine et Marcellin Giron, démontrent très vite leur originalité et leur mordant.
Après un voyage en Amérique, ils prennent l'initiative incroyable de bâtir une immense usine en ville et ouvrent en 1867 la manufacture Chantegrillet. Bien plus, en pleine crise de velours, dans les années 1880, ils soufflent à leur concurrent de Krefeld en Allemagne, la production de l'étoffe velours. Les successeurs de ces pionniers porteront encore le nom de Giron et de ses marques, tel " Bellissime ", aux quatre coins du monde, et dans toute la presse féminine.
En 1980, après 160 ans de règne sur le velours, Giron Frères, ne pouvant faire face à la crise de la mode, est en liquidation, à la stupeur générale. Après la fermeture de l'entreprise, les bâtiments de l'usine de Chantegrillet ont été reconvertis ; ils forment aujourd'hui le parc Giron qui perpétue dans le paysage stéphanois la mémoire de cette activité industrielle disparue.
L'histoire atypique de cette manufacture a pu être redécouverte grâce aux archives, aux objets, échantillons, bustes, photographies, conservés par les Archives départementales de la Loire, le musée d'Art et d'Industrie ou les descendants de la famille Giron. Etablis en 1851 fabricants donneurs d'ordres, comme leurs confrères rubaniers et soyeux, ces fils de passementiers, Antoine et Marcellin Giron, démontrent très vite leur originalité et leur mordant.
Après un voyage en Amérique, ils prennent l'initiative incroyable de bâtir une immense usine en ville et ouvrent en 1867 la manufacture Chantegrillet. Bien plus, en pleine crise de velours, dans les années 1880, ils soufflent à leur concurrent de Krefeld en Allemagne, la production de l'étoffe velours. Les successeurs de ces pionniers porteront encore le nom de Giron et de ses marques, tel " Bellissime ", aux quatre coins du monde, et dans toute la presse féminine.
En 1980, après 160 ans de règne sur le velours, Giron Frères, ne pouvant faire face à la crise de la mode, est en liquidation, à la stupeur générale. Après la fermeture de l'entreprise, les bâtiments de l'usine de Chantegrillet ont été reconvertis ; ils forment aujourd'hui le parc Giron qui perpétue dans le paysage stéphanois la mémoire de cette activité industrielle disparue.