Géographie buissonnière

Par : Claude Raffestin
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 5 juillet et le 8 juillet
      Cet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages186
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.225 kg
  • Dimensions13,0 cm × 19,0 cm × 1,4 cm
  • ISBN978-2-940517-38-1
  • EAN9782940517381
  • Date de parution22/06/2016
  • CollectionGéographie(s)
  • ÉditeurHeros-Limite
  • PréfacierAlexandre Chollier

Résumé

Par sa disponibilité et sa connivence avec les choses du quotidien, par son attention portée aux êtres et aux relations qu'ils nouent entre eux et avec leur environnement immédiat ou non, par son coup d'oeil pour l'infime et l'intime tout autant que pour les grands mouvements qui bousculent et façonnent le monde, Claude Raffestin s'engage de plain-pied sur le chemin d'une géographie refondée, dont l'horizon n'est autre que celui de notre existence commune. Qu'il s'agisse de faire parler les marges, de mettre en demeure notre responsabilité géographique, de questionner la territorialité de l'argent, d'élaborer une critique renouvelée du paysage, le géographe se place toujours face au réel. Prolongeant ses analyses sur le pouvoir, nourries en grande partie de sa proximité avec l'atelier foucaldien, il franchit les barrières de sa discipline de prédilection pour dialoguer avec tous ceux qui, faisant fi de la pensée réflexe, ont pensé la relation : d'Alexander von Humboldt à Elisée Reclus, de Michel Foucault à Serge Moscovici, mais aussi et parmi tant d'autres Gilles Deleuze, Peter Sloterdijk, Georg Simmel, Henri Lefebvre... Faisant feu de tout bois, cette géographie immédiate, hors les cadres, à la fois érudite et buissonnière, nous ramène toujours à son point de départ. Au vécu sans lequel il n'y a pas de connaissance, pas de connu.
Par sa disponibilité et sa connivence avec les choses du quotidien, par son attention portée aux êtres et aux relations qu'ils nouent entre eux et avec leur environnement immédiat ou non, par son coup d'oeil pour l'infime et l'intime tout autant que pour les grands mouvements qui bousculent et façonnent le monde, Claude Raffestin s'engage de plain-pied sur le chemin d'une géographie refondée, dont l'horizon n'est autre que celui de notre existence commune. Qu'il s'agisse de faire parler les marges, de mettre en demeure notre responsabilité géographique, de questionner la territorialité de l'argent, d'élaborer une critique renouvelée du paysage, le géographe se place toujours face au réel. Prolongeant ses analyses sur le pouvoir, nourries en grande partie de sa proximité avec l'atelier foucaldien, il franchit les barrières de sa discipline de prédilection pour dialoguer avec tous ceux qui, faisant fi de la pensée réflexe, ont pensé la relation : d'Alexander von Humboldt à Elisée Reclus, de Michel Foucault à Serge Moscovici, mais aussi et parmi tant d'autres Gilles Deleuze, Peter Sloterdijk, Georg Simmel, Henri Lefebvre... Faisant feu de tout bois, cette géographie immédiate, hors les cadres, à la fois érudite et buissonnière, nous ramène toujours à son point de départ. Au vécu sans lequel il n'y a pas de connaissance, pas de connu.