Général Jacques Hogard. Stratège de la contre-insurrection

Par : Mériadec Raffray

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  • Nombre de pages124
  • PrésentationBroché
  • Poids0.24 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-7178-6659-9
  • EAN9782717866599
  • Date de parution07/01/2014
  • CollectionStratégies & Doctrines
  • ÉditeurEconomica
  • PréfacierBertrand de La Presle

Résumé

Jacques Hogard (1918-1999), général de brigade, saint-cyrien, officier d’infanterie de marine, vétéran de la Seconde Guerre mondiale et des guerres d’Indochine et d’Algérie, commandeur de la Légion d’honneur, appartient à la génération de lieutenants et de capitaines confrontés à la guerre subversive, dont l’idéal est vaincre sans combattre. Praticien mais aussi penseur oublié de la contreinsurrection, Hogard a analysé le phénomène avec détachement, dans sa globalité, en vue de le contrer.
Relues à l’aune du conflit afghan ou des nouvelles interventions françaises en Afrique, sa stratégie et sa tactique anti-subversives ouvrent des perspectives étonnamment modernes. Aux méthodes des combattants mus par une idéologie de conquête des peuples, ce stratège oppose des solutions pragmatiques et intemporelles, qui ne s’exonèrent pas des valeurs de civilisation propres à l’armée française. Il met en exergue et ordonne une série de lois ou de principes inhérents à tous les succès avérés sur le front de l’insurrection.
Leurs effets sont conditionnés, dit-il, à la capacité des responsables à les adapter avec intelligence et foi aux réalités du terrain ciblé. Tant il est vrai que "chaque pacification se fait sur la base d’une solution originale". Il est le véritable instigateur de l’école française de stratégie contreinsurrectionnelle. Son crédo ? Agir globalement en permanence, sans dissocier sécurité et pacification !
Jacques Hogard (1918-1999), général de brigade, saint-cyrien, officier d’infanterie de marine, vétéran de la Seconde Guerre mondiale et des guerres d’Indochine et d’Algérie, commandeur de la Légion d’honneur, appartient à la génération de lieutenants et de capitaines confrontés à la guerre subversive, dont l’idéal est vaincre sans combattre. Praticien mais aussi penseur oublié de la contreinsurrection, Hogard a analysé le phénomène avec détachement, dans sa globalité, en vue de le contrer.
Relues à l’aune du conflit afghan ou des nouvelles interventions françaises en Afrique, sa stratégie et sa tactique anti-subversives ouvrent des perspectives étonnamment modernes. Aux méthodes des combattants mus par une idéologie de conquête des peuples, ce stratège oppose des solutions pragmatiques et intemporelles, qui ne s’exonèrent pas des valeurs de civilisation propres à l’armée française. Il met en exergue et ordonne une série de lois ou de principes inhérents à tous les succès avérés sur le front de l’insurrection.
Leurs effets sont conditionnés, dit-il, à la capacité des responsables à les adapter avec intelligence et foi aux réalités du terrain ciblé. Tant il est vrai que "chaque pacification se fait sur la base d’une solution originale". Il est le véritable instigateur de l’école française de stratégie contreinsurrectionnelle. Son crédo ? Agir globalement en permanence, sans dissocier sécurité et pacification !