Exil Et Engagement. Les Intellectuels Allemands Et
Par :Formats :
Disponible d'occasion :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 5 août et le 8 aoûtCet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 5 août et le 8 août
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages416
- PrésentationBroché
- Poids0.454 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 2,4 cm
- ISBN2-07-072118-3
- EAN9782070721184
- Date de parution01/01/1991
- CollectionBibliothèque des idées
- ÉditeurGallimard
Résumé
Cette étude a pour ambition de resituer dans toute sa complexité le réseau d'action et de réaction de ce champ politico-littéraire dont les deux pôles furent le Troisième Reich et la France, le national-socialisme et la patrie des droits de l'homme. Foyer de combustion dont la crise économique, l'arrivée de Hitler au pouvoir, le Volksfront et la chute de Paris sont venus, en dix ans, relancer l'intensité tragique ; et dont l'épicentre se situe dans les débats des écrivains allemands exilés en France.
Les données de base sont relativement connues, à travers les figures de proue que furent Heinrich Mann, Bertold Brecht ou Walter Benjamin. Ce qui l'est beaucoup moins, ce sont les conditions mêmes du débat, l'exil comme expression paroxystique de l'engagement, les organes et les moyens dont ces écrivains disposaient pour faire entendre une voix qui s'adressait tantôt aux milieux internes de l'émigration, tantôt, par-delà la censure, à leurs compatriotes, tantôt aux intellectuels français plus ou moins sourds.
Les données de base sont relativement connues, à travers les figures de proue que furent Heinrich Mann, Bertold Brecht ou Walter Benjamin. Ce qui l'est beaucoup moins, ce sont les conditions mêmes du débat, l'exil comme expression paroxystique de l'engagement, les organes et les moyens dont ces écrivains disposaient pour faire entendre une voix qui s'adressait tantôt aux milieux internes de l'émigration, tantôt, par-delà la censure, à leurs compatriotes, tantôt aux intellectuels français plus ou moins sourds.
Cette étude a pour ambition de resituer dans toute sa complexité le réseau d'action et de réaction de ce champ politico-littéraire dont les deux pôles furent le Troisième Reich et la France, le national-socialisme et la patrie des droits de l'homme. Foyer de combustion dont la crise économique, l'arrivée de Hitler au pouvoir, le Volksfront et la chute de Paris sont venus, en dix ans, relancer l'intensité tragique ; et dont l'épicentre se situe dans les débats des écrivains allemands exilés en France.
Les données de base sont relativement connues, à travers les figures de proue que furent Heinrich Mann, Bertold Brecht ou Walter Benjamin. Ce qui l'est beaucoup moins, ce sont les conditions mêmes du débat, l'exil comme expression paroxystique de l'engagement, les organes et les moyens dont ces écrivains disposaient pour faire entendre une voix qui s'adressait tantôt aux milieux internes de l'émigration, tantôt, par-delà la censure, à leurs compatriotes, tantôt aux intellectuels français plus ou moins sourds.
Les données de base sont relativement connues, à travers les figures de proue que furent Heinrich Mann, Bertold Brecht ou Walter Benjamin. Ce qui l'est beaucoup moins, ce sont les conditions mêmes du débat, l'exil comme expression paroxystique de l'engagement, les organes et les moyens dont ces écrivains disposaient pour faire entendre une voix qui s'adressait tantôt aux milieux internes de l'émigration, tantôt, par-delà la censure, à leurs compatriotes, tantôt aux intellectuels français plus ou moins sourds.