Essai sur les femmes. Suivi de Le Ménage à trois
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- Nombre de pages63
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.045 kg
- Dimensions10,5 cm × 15,0 cm × 0,5 cm
- ISBN2-84205-884-4
- EAN9782842058845
- Date de parution19/01/2005
- CollectionLa petite collection
- ÉditeurMille et une nuits
- TraducteurJean Bourdeau
- TraducteurDidier Raymond
Résumé
" Le seul aspect de la femme révèle qu'elle n'est destinée ni aux grands travaux de l'intelligence, ni aux grands travaux corporels. Elle paie sa dette à la vie non par l'action mais par la souffrance, les douleurs de l'enfantement [...] ; elle doit obéir à l'homme, être une compagne patiente qui le rassérène. " Dans son Essai sur les femmes (1851), Arthur Schopenhauer, célibataire endurci, défend les conceptions les plus rétrogrades de la femme pour justifier la domination masculine. Mais, pour échapper au cauchemar du mariage, le philosophe n'hésite pas à imaginer une étonnante solution : le " Ménage à trois " ; vibrant plaidoyer en faveur de la polygamie, ce court texte inédit, tiré d'un manuscrit de 1822, constitue une charte du bien-vivre ensemble qui assurerait au genre humain le bonheur.
" Le seul aspect de la femme révèle qu'elle n'est destinée ni aux grands travaux de l'intelligence, ni aux grands travaux corporels. Elle paie sa dette à la vie non par l'action mais par la souffrance, les douleurs de l'enfantement [...] ; elle doit obéir à l'homme, être une compagne patiente qui le rassérène. " Dans son Essai sur les femmes (1851), Arthur Schopenhauer, célibataire endurci, défend les conceptions les plus rétrogrades de la femme pour justifier la domination masculine. Mais, pour échapper au cauchemar du mariage, le philosophe n'hésite pas à imaginer une étonnante solution : le " Ménage à trois " ; vibrant plaidoyer en faveur de la polygamie, ce court texte inédit, tiré d'un manuscrit de 1822, constitue une charte du bien-vivre ensemble qui assurerait au genre humain le bonheur.