El Djazaïr
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- Nombre de pages71
- PrésentationRelié
- FormatAlbum
- Poids0.64 kg
- Dimensions24,3 cm × 31,7 cm × 1,0 cm
- ISBN979-10-91837-00-2
- EAN9791091837002
- Date de parution01/12/2012
- ÉditeurCoédition Envie de lire/Ici Même
Résumé
Notre pavé, El Djazaïr, s'offre volontiers à la colère de qui le descelle, il est la fortune du sans-grade, la providence du prolétaire, la politesse du colonisé. A l'heure où l'on disserte, avec un aplomb sans pareil, à propos de la violence de l'insurrection algérienne emportant tout sur son passage tel un fleuve sorti de son lit, notre pavé El Djazaïr a le poids d'une évidence. Il nous rappelle que la première violence fut celle des rives qui l'enserraient.
Alors que de cette violence-là, la violence coloniale, il serait de bon ton, à nouveau, de taire la cruauté ordinaire et l'insondable cupidité. Notre pavé El Djazaïr est une oeuvre minérale. Elle affleure des soubassements, du temps long. Trente-quatre ans après sa publication en espagnol, son trait ne s'est pas émoussé. Le dessin de Luis Garcia en conserve intact le tranchant. Il cisèle une fresque de ce que fut la longue nuit coloniale pour le peuple algérien.
Ainsi El Djazaïr est aussi un moucharabieh de carbone où poser nos cils et voir pour apprendre ou se remémorer. Omar et Cava lui prêtent propos et plume, érudit et sans apprêts, économe et précise. Ils servent au mieux le dessein qui présida à leur oeuvre commune : faire entendre aux générations d'après l'indépendance ce que furent 124 ans de barbarie... Et 124 années de luttes pour se défaire du joug de la France.
Jusqu'à ce 1er novembre 1954 qui vit s'initier l'assaut final... Qu'El Djazaïr vous soit utile à vivre et à bâtir de beaux lendemains.
Alors que de cette violence-là, la violence coloniale, il serait de bon ton, à nouveau, de taire la cruauté ordinaire et l'insondable cupidité. Notre pavé El Djazaïr est une oeuvre minérale. Elle affleure des soubassements, du temps long. Trente-quatre ans après sa publication en espagnol, son trait ne s'est pas émoussé. Le dessin de Luis Garcia en conserve intact le tranchant. Il cisèle une fresque de ce que fut la longue nuit coloniale pour le peuple algérien.
Ainsi El Djazaïr est aussi un moucharabieh de carbone où poser nos cils et voir pour apprendre ou se remémorer. Omar et Cava lui prêtent propos et plume, érudit et sans apprêts, économe et précise. Ils servent au mieux le dessein qui présida à leur oeuvre commune : faire entendre aux générations d'après l'indépendance ce que furent 124 ans de barbarie... Et 124 années de luttes pour se défaire du joug de la France.
Jusqu'à ce 1er novembre 1954 qui vit s'initier l'assaut final... Qu'El Djazaïr vous soit utile à vivre et à bâtir de beaux lendemains.
Notre pavé, El Djazaïr, s'offre volontiers à la colère de qui le descelle, il est la fortune du sans-grade, la providence du prolétaire, la politesse du colonisé. A l'heure où l'on disserte, avec un aplomb sans pareil, à propos de la violence de l'insurrection algérienne emportant tout sur son passage tel un fleuve sorti de son lit, notre pavé El Djazaïr a le poids d'une évidence. Il nous rappelle que la première violence fut celle des rives qui l'enserraient.
Alors que de cette violence-là, la violence coloniale, il serait de bon ton, à nouveau, de taire la cruauté ordinaire et l'insondable cupidité. Notre pavé El Djazaïr est une oeuvre minérale. Elle affleure des soubassements, du temps long. Trente-quatre ans après sa publication en espagnol, son trait ne s'est pas émoussé. Le dessin de Luis Garcia en conserve intact le tranchant. Il cisèle une fresque de ce que fut la longue nuit coloniale pour le peuple algérien.
Ainsi El Djazaïr est aussi un moucharabieh de carbone où poser nos cils et voir pour apprendre ou se remémorer. Omar et Cava lui prêtent propos et plume, érudit et sans apprêts, économe et précise. Ils servent au mieux le dessein qui présida à leur oeuvre commune : faire entendre aux générations d'après l'indépendance ce que furent 124 ans de barbarie... Et 124 années de luttes pour se défaire du joug de la France.
Jusqu'à ce 1er novembre 1954 qui vit s'initier l'assaut final... Qu'El Djazaïr vous soit utile à vivre et à bâtir de beaux lendemains.
Alors que de cette violence-là, la violence coloniale, il serait de bon ton, à nouveau, de taire la cruauté ordinaire et l'insondable cupidité. Notre pavé El Djazaïr est une oeuvre minérale. Elle affleure des soubassements, du temps long. Trente-quatre ans après sa publication en espagnol, son trait ne s'est pas émoussé. Le dessin de Luis Garcia en conserve intact le tranchant. Il cisèle une fresque de ce que fut la longue nuit coloniale pour le peuple algérien.
Ainsi El Djazaïr est aussi un moucharabieh de carbone où poser nos cils et voir pour apprendre ou se remémorer. Omar et Cava lui prêtent propos et plume, érudit et sans apprêts, économe et précise. Ils servent au mieux le dessein qui présida à leur oeuvre commune : faire entendre aux générations d'après l'indépendance ce que furent 124 ans de barbarie... Et 124 années de luttes pour se défaire du joug de la France.
Jusqu'à ce 1er novembre 1954 qui vit s'initier l'assaut final... Qu'El Djazaïr vous soit utile à vivre et à bâtir de beaux lendemains.