À Casablanca, entre la Grande Mosquée et le phare d'El-Hank, il y a un no man's land qu'une rude barrière de ciment sépare de la mer. Ici, l'été comme l'hiver, les bedaouis – femmes, enfants, jeunes employés, couples, personnes âgées – viennent regarder l'océan. C'est ce que les gens d'ici appellent el bahr : «la mer» ou «la plage» (en arabe, les deux champs sémantiques se confondent)
À Casablanca, entre la Grande Mosquée et le phare d'El-Hank, il y a un no man's land qu'une rude barrière de ciment sépare de la mer. Ici, l'été comme l'hiver, les bedaouis – femmes, enfants, jeunes employés, couples, personnes âgées – viennent regarder l'océan. C'est ce que les gens d'ici appellent el bahr : «la mer» ou «la plage» (en arabe, les deux champs sémantiques se confondent)