Le Père Jérôme suivait un chemin qui tenait le juste milieu (P. Nicolas). Refusant l'excès, dans un sens comme dans l'autre, il avait su prendre le difficile virage de l'après-vatican II, et avait repensé la vie monastique. Ses écrits, sa vie et ses expériences s'offrent comme autant de réponses simples et lumineuses.
Le Père Jérôme suivait un chemin qui tenait le juste milieu (P. Nicolas). Refusant l'excès, dans un sens comme dans l'autre, il avait su prendre le difficile virage de l'après-vatican II, et avait repensé la vie monastique. Ses écrits, sa vie et ses expériences s'offrent comme autant de réponses simples et lumineuses.