Ecologie ou économie, il faut choisir
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- Nombre de pages192
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.275 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 0,6 cm
- ISBN978-2-37309-180-9
- EAN9782373091809
- Date de parution17/10/2025
- CollectionPour en finir avec
- ÉditeurL'Echappée
Résumé
Dans ce livre qui se penche sur les causes profondes des ravages environnementaux, Anselm Jappe démontre que la continuation de la vie sur terre est incompatible avec la poursuite du capitalisme. Celui-ci n'est pas à comprendre seulement dans sa forme néolibérale, ou comme domination des riches ou des marchés financiers. Ce sont les catégories de base de l'économie moderne - la valeur, le travail, la marchandise, l'argent - ainsi que la forme-Etat qui conduisent inévitablement à la catastrophe écologique.
A partir de ces présupposés, l'auteur examine les débats sur les solutions proposées. D'abord pour montrer l'inefficacité des mesures envisagées par les différents gestionnaires du capitalisme, de droite comme de gauche, parmi lesquels figurent les écologistes institutionnels. Ensuite, pour expliquer comment la résilience pourrait trouver son expression dans des formes d'écoléninisme ou au travers de procédures intégralement gérées par l'intelligence artificielle.
Enfin, pour souligner les vertus et les limites d'approches plus radicales (décroissance, écosocialisme, primitivisme, théories du vivant, technocritique...). Tous ces courants souffrent d'une prise en considération insuffisante des dynamiques créées par la valeur et l'argent, le travail et la marchandise, ainsi que par la dimension industrielle et technologique. Or nous n'avons plus le choix : entre écologie ou économie, il faut choisir !
A partir de ces présupposés, l'auteur examine les débats sur les solutions proposées. D'abord pour montrer l'inefficacité des mesures envisagées par les différents gestionnaires du capitalisme, de droite comme de gauche, parmi lesquels figurent les écologistes institutionnels. Ensuite, pour expliquer comment la résilience pourrait trouver son expression dans des formes d'écoléninisme ou au travers de procédures intégralement gérées par l'intelligence artificielle.
Enfin, pour souligner les vertus et les limites d'approches plus radicales (décroissance, écosocialisme, primitivisme, théories du vivant, technocritique...). Tous ces courants souffrent d'une prise en considération insuffisante des dynamiques créées par la valeur et l'argent, le travail et la marchandise, ainsi que par la dimension industrielle et technologique. Or nous n'avons plus le choix : entre écologie ou économie, il faut choisir !
Dans ce livre qui se penche sur les causes profondes des ravages environnementaux, Anselm Jappe démontre que la continuation de la vie sur terre est incompatible avec la poursuite du capitalisme. Celui-ci n'est pas à comprendre seulement dans sa forme néolibérale, ou comme domination des riches ou des marchés financiers. Ce sont les catégories de base de l'économie moderne - la valeur, le travail, la marchandise, l'argent - ainsi que la forme-Etat qui conduisent inévitablement à la catastrophe écologique.
A partir de ces présupposés, l'auteur examine les débats sur les solutions proposées. D'abord pour montrer l'inefficacité des mesures envisagées par les différents gestionnaires du capitalisme, de droite comme de gauche, parmi lesquels figurent les écologistes institutionnels. Ensuite, pour expliquer comment la résilience pourrait trouver son expression dans des formes d'écoléninisme ou au travers de procédures intégralement gérées par l'intelligence artificielle.
Enfin, pour souligner les vertus et les limites d'approches plus radicales (décroissance, écosocialisme, primitivisme, théories du vivant, technocritique...). Tous ces courants souffrent d'une prise en considération insuffisante des dynamiques créées par la valeur et l'argent, le travail et la marchandise, ainsi que par la dimension industrielle et technologique. Or nous n'avons plus le choix : entre écologie ou économie, il faut choisir !
A partir de ces présupposés, l'auteur examine les débats sur les solutions proposées. D'abord pour montrer l'inefficacité des mesures envisagées par les différents gestionnaires du capitalisme, de droite comme de gauche, parmi lesquels figurent les écologistes institutionnels. Ensuite, pour expliquer comment la résilience pourrait trouver son expression dans des formes d'écoléninisme ou au travers de procédures intégralement gérées par l'intelligence artificielle.
Enfin, pour souligner les vertus et les limites d'approches plus radicales (décroissance, écosocialisme, primitivisme, théories du vivant, technocritique...). Tous ces courants souffrent d'une prise en considération insuffisante des dynamiques créées par la valeur et l'argent, le travail et la marchandise, ainsi que par la dimension industrielle et technologique. Or nous n'avons plus le choix : entre écologie ou économie, il faut choisir !


















