Du pouvoir dans la modernité et la postmodernité

Par : Javier Barraycoa
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  • Nombre de pages157
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.2 kg
  • Dimensions14,0 cm × 23,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN2-915844-03-8
  • EAN9782915844030
  • Date de parution01/12/2005
  • CollectionCité
  • ÉditeurHora Decima
  • PréfacierThibaud Collin
  • TraducteurEmmanuel Albert

Résumé

Aux frontières de la sociologie et de la philosophie politique, un décorticage critique de la conception moderne du pouvoir, née du rejet de l'autorité et de la contrainte extérieure. Tout en revendiquant sa propre liberté, l'individu est prêt à l'aliéner pour permette la cohabitation des individualismes. Toute la modernité vit sur cette tension entre liberté individuelle et/maintien d'une vie sociale dans laquelle le pouvoir est vécu comme un mal nécessaire.
Avec l'avènement de la modernité finissante, on assiste dans le même temps à la mort du politique et à sa transformation. Le pouvoir devient complexe, multiforme et derrière ses institutions visibles se cache l'action des lobbies. Face à cette "neutralisation" de l'Etat et au désenchantement généralisé, la tentation est grande de s'insérer à son tour dans le système pour y constituer un lobby réformiste.
Mais ce serait illusion tant le préalable à toute restauration de l'ordre politique est précisément de sortir du carcan intellectuel constitué par l'obligation quasi totalitaire de rallier la logique moderne des jeux de pouvoir.
Aux frontières de la sociologie et de la philosophie politique, un décorticage critique de la conception moderne du pouvoir, née du rejet de l'autorité et de la contrainte extérieure. Tout en revendiquant sa propre liberté, l'individu est prêt à l'aliéner pour permette la cohabitation des individualismes. Toute la modernité vit sur cette tension entre liberté individuelle et/maintien d'une vie sociale dans laquelle le pouvoir est vécu comme un mal nécessaire.
Avec l'avènement de la modernité finissante, on assiste dans le même temps à la mort du politique et à sa transformation. Le pouvoir devient complexe, multiforme et derrière ses institutions visibles se cache l'action des lobbies. Face à cette "neutralisation" de l'Etat et au désenchantement généralisé, la tentation est grande de s'insérer à son tour dans le système pour y constituer un lobby réformiste.
Mais ce serait illusion tant le préalable à toute restauration de l'ordre politique est précisément de sortir du carcan intellectuel constitué par l'obligation quasi totalitaire de rallier la logique moderne des jeux de pouvoir.