Du Glacier Du Mont-Blanc Au Glacier Des Bossons

Par : Christian Mollier

Formats :

Actuellement indisponible
Cet article est actuellement indisponible, il ne peut pas être commandé sur notre site pour le moment. Nous vous invitons à vous inscrire à l'alerte disponibilité, vous recevrez un e-mail dès que cet ouvrage sera à nouveau disponible.
  • Nombre de pages132
  • PrésentationBroché
  • Poids0.575 kg
  • Dimensions21,0 cm × 28,5 cm × 1,3 cm
  • ISBN2-88295-288-0
  • EAN9782882952882
  • Date de parution12/07/2000
  • CollectionArchives vivantes
  • ÉditeurCabédita

Résumé

Le glacier des Bossons, ou glacier du Mont-Blanc, est exceptionnel à plus d'un titre. Issu de la plus haute cime d'Europe, il descend à l'altitude la plus basse de tous les appareils glaciaires alpins (1180 m), constituant la plus grande chute de glace du monde (environ 3600 m de dénivelé). En raison de ses fortes pentes, sa vitesse d'écoulement peut atteindre 1,50 m par jour en période de crue ; ainsi tous les débris tombés sur le sommet du Mont-Blanc, comme les corps d'alpinistes disparus ou les passagers des avions tombés sur la cime, se retrouvent dans la vallée une quarantaine d'années plus tard. C'est un des tout premiers glaciers alpins à avoir été archivé et dessiné dès le XVIIIe siècle. En 1860, on y creusait déjà la grotte pour les touristes. Visible de toute la vallée, d'une blancheur légendaire, mêlé étroitement à l'histoire de l'alpinisme et à la conquête du Mont-Blanc, ce grand glacier méritait bien un ouvrage spécifique.
Le glacier des Bossons, ou glacier du Mont-Blanc, est exceptionnel à plus d'un titre. Issu de la plus haute cime d'Europe, il descend à l'altitude la plus basse de tous les appareils glaciaires alpins (1180 m), constituant la plus grande chute de glace du monde (environ 3600 m de dénivelé). En raison de ses fortes pentes, sa vitesse d'écoulement peut atteindre 1,50 m par jour en période de crue ; ainsi tous les débris tombés sur le sommet du Mont-Blanc, comme les corps d'alpinistes disparus ou les passagers des avions tombés sur la cime, se retrouvent dans la vallée une quarantaine d'années plus tard. C'est un des tout premiers glaciers alpins à avoir été archivé et dessiné dès le XVIIIe siècle. En 1860, on y creusait déjà la grotte pour les touristes. Visible de toute la vallée, d'une blancheur légendaire, mêlé étroitement à l'histoire de l'alpinisme et à la conquête du Mont-Blanc, ce grand glacier méritait bien un ouvrage spécifique.