Du front à l'asile, 1914-1918
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- Nombre de pages416
- PrésentationBroché
- Poids0.458 kg
- Dimensions15,7 cm × 21,6 cm × 2,8 cm
- ISBN978-2-36279-077-5
- EAN9782362790775
- Date de parution12/09/2013
- CollectionEssai Histoire
- ÉditeurAlma Editeur
Résumé
Dès la mobilisation générale et les premiers combats la guerre de 1914 – dont personne ne prévoyait qu'elle durerait jusqu'en 1918 – imposa un rythme et une violence auxquels nul n'était préparé. La psychiatrie et la médecine militaire furent prises au dépourvu. De l'homme de troupe jusqu'à l'officier, ils furent des milliers à souffrir de troubles du comportement qu'on ne savait ni soigner, ni décrire : dingos, idiots, fous...
Peu à peu, toutefois, se développa une réflexion sur les névroses et les traumatismes de guerre. Mais celle-ci fut " oubliée ", refoulée, au fil des années 1920/1930 – tout comme furent marginalisés, délaissés ceux que la guerre avait rendu fous sans qu'ils aient nécessairement de blessure visible. Se fondant sur des documents inédits, puisés dans les archives des asiles et des hôpitaux, Hervé Guillemain et Stéphane Tison font entendre la voix des ceux qui furent brisés par la guerre : les hommes, leurs femmes, leurs enfants.
Rythmant leur étude de récits vrais, bouleversants dans leur simplicité et leur sobriété, ils montrent l'ampleur du défi auquel fut confrontée la psychiatrie, et la révolution intellectuelle qui mit plusieurs décennies à s'accomplir.
Peu à peu, toutefois, se développa une réflexion sur les névroses et les traumatismes de guerre. Mais celle-ci fut " oubliée ", refoulée, au fil des années 1920/1930 – tout comme furent marginalisés, délaissés ceux que la guerre avait rendu fous sans qu'ils aient nécessairement de blessure visible. Se fondant sur des documents inédits, puisés dans les archives des asiles et des hôpitaux, Hervé Guillemain et Stéphane Tison font entendre la voix des ceux qui furent brisés par la guerre : les hommes, leurs femmes, leurs enfants.
Rythmant leur étude de récits vrais, bouleversants dans leur simplicité et leur sobriété, ils montrent l'ampleur du défi auquel fut confrontée la psychiatrie, et la révolution intellectuelle qui mit plusieurs décennies à s'accomplir.
Dès la mobilisation générale et les premiers combats la guerre de 1914 – dont personne ne prévoyait qu'elle durerait jusqu'en 1918 – imposa un rythme et une violence auxquels nul n'était préparé. La psychiatrie et la médecine militaire furent prises au dépourvu. De l'homme de troupe jusqu'à l'officier, ils furent des milliers à souffrir de troubles du comportement qu'on ne savait ni soigner, ni décrire : dingos, idiots, fous...
Peu à peu, toutefois, se développa une réflexion sur les névroses et les traumatismes de guerre. Mais celle-ci fut " oubliée ", refoulée, au fil des années 1920/1930 – tout comme furent marginalisés, délaissés ceux que la guerre avait rendu fous sans qu'ils aient nécessairement de blessure visible. Se fondant sur des documents inédits, puisés dans les archives des asiles et des hôpitaux, Hervé Guillemain et Stéphane Tison font entendre la voix des ceux qui furent brisés par la guerre : les hommes, leurs femmes, leurs enfants.
Rythmant leur étude de récits vrais, bouleversants dans leur simplicité et leur sobriété, ils montrent l'ampleur du défi auquel fut confrontée la psychiatrie, et la révolution intellectuelle qui mit plusieurs décennies à s'accomplir.
Peu à peu, toutefois, se développa une réflexion sur les névroses et les traumatismes de guerre. Mais celle-ci fut " oubliée ", refoulée, au fil des années 1920/1930 – tout comme furent marginalisés, délaissés ceux que la guerre avait rendu fous sans qu'ils aient nécessairement de blessure visible. Se fondant sur des documents inédits, puisés dans les archives des asiles et des hôpitaux, Hervé Guillemain et Stéphane Tison font entendre la voix des ceux qui furent brisés par la guerre : les hommes, leurs femmes, leurs enfants.
Rythmant leur étude de récits vrais, bouleversants dans leur simplicité et leur sobriété, ils montrent l'ampleur du défi auquel fut confrontée la psychiatrie, et la révolution intellectuelle qui mit plusieurs décennies à s'accomplir.