Demeurer, défendre et paraître. Orientations récentes de l'archéologie des fortifications et des résidences aristocratiques médiévales entre Loire et Pyrénées
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- Nombre de pages700
- PrésentationRelié
- Poids3.26 kg
- Dimensions21,5 cm × 30,0 cm × 4,3 cm
- ISBN979-10-90534-20-9
- EAN9791090534209
- Date de parution01/12/2014
- CollectionMémoire
- ÉditeurAPC
Résumé
Entre Loire et Pyrénées, les recherches consacrées aux fortifications et aux résidences élitaires du Moyen Age se sont largement enrichies au cours de la dernière décennie. Fouilles sédimentaires, archéologie du bâti et étude des ensembles mobiliers, lecture des textes ou des formes, études monographiques et enquêtes régionales se combinent désormais pour apporter des éclairages inédits et poser de nouvelles questions.
Il semblait donc opportun de dresser un nouvel état des lieux dix ans après le colloque tenu à Pau en 2002 et de réfléchir collectivement aux articulations des champs de recherche dans le domaine castral. Au-delà de l'image classique du château médiéval, ce colloque a abordé toute la gamme des sites fortifiés et résidentiels, des implantations encore mal connues du haut Moyen Age aux lendemains de la guerre de Cent Ans, des grandes enceintes de cités aux modestes habitats des élites rurales.
Après un bilan collectif de l'activité et de la bibliographie des années 2002-2012, les interventions s'articulent autour de trois thèmes : les origines de la résidence élitaire (VIe-XIe siècle) ; quelques constantes et particularités de l'habitat castral du Grand Sud-Ouest à partir du XIe siècle et, enfin, la dimension emblématique de l'architecture du pouvoir laïc (Xe-XVe siècle). En outre, les textes issus de deux tables rondes permettent d'aborder des questions encore mal élucidées : comment les sources écrites médiévales parlent-elles du "château" et quelles sont les nuances régionales et chronologiques des mots qui en désignent les composantes ? Dans quelle mesure la culture matérielle des sites élitaires se distingue-t-elle de celle des autres habitats ?
Il semblait donc opportun de dresser un nouvel état des lieux dix ans après le colloque tenu à Pau en 2002 et de réfléchir collectivement aux articulations des champs de recherche dans le domaine castral. Au-delà de l'image classique du château médiéval, ce colloque a abordé toute la gamme des sites fortifiés et résidentiels, des implantations encore mal connues du haut Moyen Age aux lendemains de la guerre de Cent Ans, des grandes enceintes de cités aux modestes habitats des élites rurales.
Après un bilan collectif de l'activité et de la bibliographie des années 2002-2012, les interventions s'articulent autour de trois thèmes : les origines de la résidence élitaire (VIe-XIe siècle) ; quelques constantes et particularités de l'habitat castral du Grand Sud-Ouest à partir du XIe siècle et, enfin, la dimension emblématique de l'architecture du pouvoir laïc (Xe-XVe siècle). En outre, les textes issus de deux tables rondes permettent d'aborder des questions encore mal élucidées : comment les sources écrites médiévales parlent-elles du "château" et quelles sont les nuances régionales et chronologiques des mots qui en désignent les composantes ? Dans quelle mesure la culture matérielle des sites élitaires se distingue-t-elle de celle des autres habitats ?
Entre Loire et Pyrénées, les recherches consacrées aux fortifications et aux résidences élitaires du Moyen Age se sont largement enrichies au cours de la dernière décennie. Fouilles sédimentaires, archéologie du bâti et étude des ensembles mobiliers, lecture des textes ou des formes, études monographiques et enquêtes régionales se combinent désormais pour apporter des éclairages inédits et poser de nouvelles questions.
Il semblait donc opportun de dresser un nouvel état des lieux dix ans après le colloque tenu à Pau en 2002 et de réfléchir collectivement aux articulations des champs de recherche dans le domaine castral. Au-delà de l'image classique du château médiéval, ce colloque a abordé toute la gamme des sites fortifiés et résidentiels, des implantations encore mal connues du haut Moyen Age aux lendemains de la guerre de Cent Ans, des grandes enceintes de cités aux modestes habitats des élites rurales.
Après un bilan collectif de l'activité et de la bibliographie des années 2002-2012, les interventions s'articulent autour de trois thèmes : les origines de la résidence élitaire (VIe-XIe siècle) ; quelques constantes et particularités de l'habitat castral du Grand Sud-Ouest à partir du XIe siècle et, enfin, la dimension emblématique de l'architecture du pouvoir laïc (Xe-XVe siècle). En outre, les textes issus de deux tables rondes permettent d'aborder des questions encore mal élucidées : comment les sources écrites médiévales parlent-elles du "château" et quelles sont les nuances régionales et chronologiques des mots qui en désignent les composantes ? Dans quelle mesure la culture matérielle des sites élitaires se distingue-t-elle de celle des autres habitats ?
Il semblait donc opportun de dresser un nouvel état des lieux dix ans après le colloque tenu à Pau en 2002 et de réfléchir collectivement aux articulations des champs de recherche dans le domaine castral. Au-delà de l'image classique du château médiéval, ce colloque a abordé toute la gamme des sites fortifiés et résidentiels, des implantations encore mal connues du haut Moyen Age aux lendemains de la guerre de Cent Ans, des grandes enceintes de cités aux modestes habitats des élites rurales.
Après un bilan collectif de l'activité et de la bibliographie des années 2002-2012, les interventions s'articulent autour de trois thèmes : les origines de la résidence élitaire (VIe-XIe siècle) ; quelques constantes et particularités de l'habitat castral du Grand Sud-Ouest à partir du XIe siècle et, enfin, la dimension emblématique de l'architecture du pouvoir laïc (Xe-XVe siècle). En outre, les textes issus de deux tables rondes permettent d'aborder des questions encore mal élucidées : comment les sources écrites médiévales parlent-elles du "château" et quelles sont les nuances régionales et chronologiques des mots qui en désignent les composantes ? Dans quelle mesure la culture matérielle des sites élitaires se distingue-t-elle de celle des autres habitats ?