Délire et destin. Les vingt ans d'une Espagnole
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- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.383 kg
- Dimensions13,6 cm × 21,1 cm × 2,5 cm
- ISBN2-7210-0465-4
- EAN9782721004659
- Date de parution01/01/1997
- Collectiondes femmes
- ÉditeurDes Femmes
Résumé
Ecrite à La Havane au début des années cinquante, cette autobiographie à la troisième personne paraît en Espagne en 1989. Maria Zambrano évoque les grands événements historiques qui marquèrent son destin et celui de tous les Espagnols de sa génération, explorant en elle, comme dans l'âme espagnole, leur résonance. "La pensée qui révèle la réalité crée un espace vital, respirable. L'une des fonctions vitales de la pensée est de rendre l'atmosphère respirable, de libérer les êtres humains de l'asphyxie due au manque d'espace intérieur, quand la conscience s'emplit d'ombres, d'incertitude, quand l'ombre des autres, y compris la nôtre, a rendu trop opaque notre espace intérieur, premier espace où nous nous mouvions, où nous existions.
[... ] C'est ainsi que parfois la pensée devient sang ; elle pénètre dans le sang et l'oblige à se verser, car nous ne pouvons simplement pas le lui refuser". M. Z
[... ] C'est ainsi que parfois la pensée devient sang ; elle pénètre dans le sang et l'oblige à se verser, car nous ne pouvons simplement pas le lui refuser". M. Z
Ecrite à La Havane au début des années cinquante, cette autobiographie à la troisième personne paraît en Espagne en 1989. Maria Zambrano évoque les grands événements historiques qui marquèrent son destin et celui de tous les Espagnols de sa génération, explorant en elle, comme dans l'âme espagnole, leur résonance. "La pensée qui révèle la réalité crée un espace vital, respirable. L'une des fonctions vitales de la pensée est de rendre l'atmosphère respirable, de libérer les êtres humains de l'asphyxie due au manque d'espace intérieur, quand la conscience s'emplit d'ombres, d'incertitude, quand l'ombre des autres, y compris la nôtre, a rendu trop opaque notre espace intérieur, premier espace où nous nous mouvions, où nous existions.
[... ] C'est ainsi que parfois la pensée devient sang ; elle pénètre dans le sang et l'oblige à se verser, car nous ne pouvons simplement pas le lui refuser". M. Z
[... ] C'est ainsi que parfois la pensée devient sang ; elle pénètre dans le sang et l'oblige à se verser, car nous ne pouvons simplement pas le lui refuser". M. Z