Corot, Un Artiste Et Son Temps. Actes Des Colloques Organises Au Musee Du Louvre Par Le Service Culturel Les 1er Et 2 Mars 1996 A Paris Et Par L'Academie De France A Rome, Villa Medicis, Le 9 Mars 1996 A Rome

Par : Gérard De Wallens, Vincent Pomarède, Chiara Stefani

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  • Nombre de pages617
  • PrésentationBroché
  • Poids1.465 kg
  • Dimensions16,2 cm × 24,1 cm × 4,6 cm
  • ISBN2-252-03228-6
  • EAN9782252032282
  • Date de parution07/01/1999
  • CollectionConférences et colloques
  • ÉditeurKlincksieck

Résumé

" A propos de cette prétendue gaucherie de M. Corot, il nous semble qu'il y a ici un petit préjugé à relever. (...) Braves gens qui ignorent (...) qu'en général ce qui est bien fait n'est pas fini et qu'une chose très finie peut n'être pas faite du tout. " Ainsi Charles Baudelaire défendait-il la modernité du peintre contre des critiques à propos du Salon de 1845. A l'occasion du bicentenaire de la naissance de Jean-Baptiste Camille Corot, un colloque international a eu lieu à l'auditorium du musée du Louvre ainsi qu'à l'Académie de France à Rome. Ces actes en restituent la teneur et proposent à la fois une vue plus nuancée sur le " modernisme " de Corot et reconsidèrent ses racines dans la tradition néoclassique. Corot, que l'on voulait peintre de plein air, ne travaillait-il pas davantage en atelier en s'éloignant des sujets ébauchés sur le motif ? Quelle fut sa formation et que peut-on dire de son goût ? Quel est le profil de ses collectionneurs contemporains ? Font-ils partie d'un public " moderniste " ou " traditionaliste " ? Comment se définit son cercle d'amis ? Quels furent ses rapports avec le milieu des paysagistes en Italie ? Enfin, de telles questions permettent-elles de reformuler les problèmes d'attribution et de datation ?
" A propos de cette prétendue gaucherie de M. Corot, il nous semble qu'il y a ici un petit préjugé à relever. (...) Braves gens qui ignorent (...) qu'en général ce qui est bien fait n'est pas fini et qu'une chose très finie peut n'être pas faite du tout. " Ainsi Charles Baudelaire défendait-il la modernité du peintre contre des critiques à propos du Salon de 1845. A l'occasion du bicentenaire de la naissance de Jean-Baptiste Camille Corot, un colloque international a eu lieu à l'auditorium du musée du Louvre ainsi qu'à l'Académie de France à Rome. Ces actes en restituent la teneur et proposent à la fois une vue plus nuancée sur le " modernisme " de Corot et reconsidèrent ses racines dans la tradition néoclassique. Corot, que l'on voulait peintre de plein air, ne travaillait-il pas davantage en atelier en s'éloignant des sujets ébauchés sur le motif ? Quelle fut sa formation et que peut-on dire de son goût ? Quel est le profil de ses collectionneurs contemporains ? Font-ils partie d'un public " moderniste " ou " traditionaliste " ? Comment se définit son cercle d'amis ? Quels furent ses rapports avec le milieu des paysagistes en Italie ? Enfin, de telles questions permettent-elles de reformuler les problèmes d'attribution et de datation ?