Continuités et ruptures dans l'apprentissage. Des constats aux pistes d'action
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- Nombre de pages158
- PrésentationBroché
- Poids0.263 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 0,0 cm
- ISBN978-2-87558-751-0
- EAN9782875587510
- Date de parution13/07/2019
- CollectionCRIPEDIS (Centre de recherche
- ÉditeurPU LOUVAIN
- CompilateurJim Plumat
- CompilateurCéline Mousset
- CompilateurPierre Smets
- CompilateurPhilippe Soutmans
Résumé
L'apprentissage dans l'enseignement obligatoire n'est pas un long fleuve tranquille. Sous l'apparente continuité du curriculum se cachent des ruptures au niveau des contenus disciplinaires. C'est le constat que des enseignants formateurs - dans différentes disciplines : français, mathématiques, sciences, langues modernes, histoire et éducation physique - et à différents niveaux de formation - du préscolaire à l'université - ont pu faire lorsqu'ils se sont réunis lors d'une journée d'études du Centre de recherche interdisciplinaire sur les pratiques enseignantes et les disciplines scolaires.
L'objet de la réflexion était d'étudier la manière selon laquelle un concept particulier ou une compétence - par exemple le concept de l'égalité en mathématique ou la compétence de lecture en français - pouvait voyager et être enseigné tout au long de la scolarité. Les analyses effectuées dans les diverses disciplines révèlent que la progression curriculaire que certains imaginaient continue présente régulièrement des tensions, voire des ruptures.
L'apprentissage longitudinal d'un concept ou d'une compétence s'avère souvent lacunaire, et dès lors difficile pour les élèves. Au départ de ce constat, les équipes de formateurs impliquées dans ce projet proposent des pistes d'action très concrètes, qui invitent leurs étudiants, futurs enseignants, à travailler de manière davantage conjointe et à se forger une image plus construite du savoir à enseigner.
L'objet de la réflexion était d'étudier la manière selon laquelle un concept particulier ou une compétence - par exemple le concept de l'égalité en mathématique ou la compétence de lecture en français - pouvait voyager et être enseigné tout au long de la scolarité. Les analyses effectuées dans les diverses disciplines révèlent que la progression curriculaire que certains imaginaient continue présente régulièrement des tensions, voire des ruptures.
L'apprentissage longitudinal d'un concept ou d'une compétence s'avère souvent lacunaire, et dès lors difficile pour les élèves. Au départ de ce constat, les équipes de formateurs impliquées dans ce projet proposent des pistes d'action très concrètes, qui invitent leurs étudiants, futurs enseignants, à travailler de manière davantage conjointe et à se forger une image plus construite du savoir à enseigner.
L'apprentissage dans l'enseignement obligatoire n'est pas un long fleuve tranquille. Sous l'apparente continuité du curriculum se cachent des ruptures au niveau des contenus disciplinaires. C'est le constat que des enseignants formateurs - dans différentes disciplines : français, mathématiques, sciences, langues modernes, histoire et éducation physique - et à différents niveaux de formation - du préscolaire à l'université - ont pu faire lorsqu'ils se sont réunis lors d'une journée d'études du Centre de recherche interdisciplinaire sur les pratiques enseignantes et les disciplines scolaires.
L'objet de la réflexion était d'étudier la manière selon laquelle un concept particulier ou une compétence - par exemple le concept de l'égalité en mathématique ou la compétence de lecture en français - pouvait voyager et être enseigné tout au long de la scolarité. Les analyses effectuées dans les diverses disciplines révèlent que la progression curriculaire que certains imaginaient continue présente régulièrement des tensions, voire des ruptures.
L'apprentissage longitudinal d'un concept ou d'une compétence s'avère souvent lacunaire, et dès lors difficile pour les élèves. Au départ de ce constat, les équipes de formateurs impliquées dans ce projet proposent des pistes d'action très concrètes, qui invitent leurs étudiants, futurs enseignants, à travailler de manière davantage conjointe et à se forger une image plus construite du savoir à enseigner.
L'objet de la réflexion était d'étudier la manière selon laquelle un concept particulier ou une compétence - par exemple le concept de l'égalité en mathématique ou la compétence de lecture en français - pouvait voyager et être enseigné tout au long de la scolarité. Les analyses effectuées dans les diverses disciplines révèlent que la progression curriculaire que certains imaginaient continue présente régulièrement des tensions, voire des ruptures.
L'apprentissage longitudinal d'un concept ou d'une compétence s'avère souvent lacunaire, et dès lors difficile pour les élèves. Au départ de ce constat, les équipes de formateurs impliquées dans ce projet proposent des pistes d'action très concrètes, qui invitent leurs étudiants, futurs enseignants, à travailler de manière davantage conjointe et à se forger une image plus construite du savoir à enseigner.