Commentaire sur la République. Tome 1, Dissertations I-VI (République I-III)

Par : Proclus

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  • Nombre de pages221
  • PrésentationBroché
  • Poids0.23 kg
  • Dimensions13,5 cm × 20,5 cm × 1,4 cm
  • ISBN2-7116-0632-5
  • EAN9782711606320
  • Date de parution03/05/2000
  • CollectionTextes Philosophiques
  • ÉditeurVrin
  • TraducteurAndré-Jean Festugière

Résumé

Le Commentaire de Proclus sur la République de Platon ne suit pas le texte platonicien phrase à phrase, comme les Commentaires sur l'Alcibiade ou sur le Timée, mais il offre une succession de dix-sept dissertations dans l'ordre des livrees de la République. Deux d'entres elles sont très étendues : la sixième qui est une défense d'Homère contre Platon et la seizième sur le mythe d'Er, qui est adressée à Marinus, le disciple de Proclus, auteur de la Vita Procli.
Cette dernière dissertation, de l'aveu même de son auteur, rapporte et discute plusieurs fois les opinions de Porphyre. Proclus y a retenu et traité en détail deux sujets : l'entrée de l'âme dans le corps et le crime horrible de manger ses propres enfants. La dix-septième dissertation sur les critiques d'Aristote contre la République dans le deuxième livre du Politique, est incomplète. Le traducteur a proposé une division du texte et a donné d'abondantes notes qui forment une sorte de commentaire perpétuel.
Le Commentaire de Proclus sur la République de Platon ne suit pas le texte platonicien phrase à phrase, comme les Commentaires sur l'Alcibiade ou sur le Timée, mais il offre une succession de dix-sept dissertations dans l'ordre des livrees de la République. Deux d'entres elles sont très étendues : la sixième qui est une défense d'Homère contre Platon et la seizième sur le mythe d'Er, qui est adressée à Marinus, le disciple de Proclus, auteur de la Vita Procli.
Cette dernière dissertation, de l'aveu même de son auteur, rapporte et discute plusieurs fois les opinions de Porphyre. Proclus y a retenu et traité en détail deux sujets : l'entrée de l'âme dans le corps et le crime horrible de manger ses propres enfants. La dix-septième dissertation sur les critiques d'Aristote contre la République dans le deuxième livre du Politique, est incomplète. Le traducteur a proposé une division du texte et a donné d'abondantes notes qui forment une sorte de commentaire perpétuel.