Clément V, Aliénor d'Aquitaine, L'ordre des Templiers, Le procès des Templiers

Par : Jean de Richecour

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  • Nombre de pages175
  • PrésentationBroché
  • Poids0.22 kg
  • Dimensions15,0 cm × 20,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-7504-2506-7
  • EAN9782750425067
  • Date de parution01/03/2010
  • CollectionRediviva
  • ÉditeurLacour (Editions)

Résumé

Nogaret le perfide, conseiller de Philippe le Bel, mourut subitement en avril 1313 avant l'exécution de Jacques de Molay. Il avait fait l'objet de la malédiction suivante de la part d'un Templier conduit au supplice : "Indigne ministre, ton maître est devenu, avec le Pape, notre plus redoutable ennemi. Nous en appelons au juge des vivants et des morts, c'est à ce tribunal que nous te citons aujourd'hui pour y comparaître dans la huitaine".
Nogaret mourut subitement le huitième jour. Jacques de Molay sur son bûcher prophétisa la vengeance du ciel sur les bourreaux de son ordre : "Je vois ici mon jugement. Ou mourir me convient vraiment. Dieu sait que c'est à tort ou à péché. S'en viendra bientôt un temps mauvais Sur ceux qui nous condamnent à tort Dieu en vengera notre mort. Seigneurs ici n'oubliez pas de dire. Que tous ceux qui nous sont contraires.
Pour nous en auront à souffrir".
Nogaret le perfide, conseiller de Philippe le Bel, mourut subitement en avril 1313 avant l'exécution de Jacques de Molay. Il avait fait l'objet de la malédiction suivante de la part d'un Templier conduit au supplice : "Indigne ministre, ton maître est devenu, avec le Pape, notre plus redoutable ennemi. Nous en appelons au juge des vivants et des morts, c'est à ce tribunal que nous te citons aujourd'hui pour y comparaître dans la huitaine".
Nogaret mourut subitement le huitième jour. Jacques de Molay sur son bûcher prophétisa la vengeance du ciel sur les bourreaux de son ordre : "Je vois ici mon jugement. Ou mourir me convient vraiment. Dieu sait que c'est à tort ou à péché. S'en viendra bientôt un temps mauvais Sur ceux qui nous condamnent à tort Dieu en vengera notre mort. Seigneurs ici n'oubliez pas de dire. Que tous ceux qui nous sont contraires.
Pour nous en auront à souffrir".